Sarrelouis Saarlouis |
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L’église Saint-Louis. |
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Héraldique |
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Administration | |||||||||||
Pays | Allemagne | ||||||||||
Land | Sarre | ||||||||||
Arrondissement (Landkreis) | Sarrelouis | ||||||||||
Nombre de quartiers (Ortsteile) | 8 | ||||||||||
Bourgmestre (Bürgermeister) | Roland Henz | ||||||||||
Partis au pouvoir | CDU, SPD, Grüne, FWG | ||||||||||
Code postal | 66711–66740 | ||||||||||
Code communal (Gemeindeschlüssel) | 10 0 44 115 | ||||||||||
Indicatif téléphonique | 06831 | ||||||||||
Immatriculation | SLS | ||||||||||
Démographie | |||||||||||
Population | 34 356 hab. (2011) | ||||||||||
Densité | 794 hab./km2 | ||||||||||
Géographie | |||||||||||
Coordonnées | |||||||||||
Altitude | 181 m | ||||||||||
Superficie | 4 327 ha = 43,27 km2 | ||||||||||
Liens | |||||||||||
Site web | www.saarlouis.de | ||||||||||
Sarrelouis (en allemand : Saarlouis, en Sarrois : Saarlui) est aujourd’hui une des principales villes du Land de la Sarre en Allemagne. Elle compte environ 38 000 habitants et son district plus de 215 000.
Le surnom des habitants est Saarloujer Buleen[1].
Géographie[]
Quartiers[]
- Beaumarais
- Fraulautern
- Lisdorf
- Neuforweiler
- Picard
- Roden
- Steinrausch
Voies de communication et transports[]
- Autoroute A31 (France) ;
- 37.2 à 324 km : Illange, Yutz-Est, Bouzonville, Trier (D), Saarlouis (D).
- Bundesautobahn 8, autoroute fédérale allemande : elle dessert les villes de Sarrelouis, Neunkirchen, Deux-Ponts, Karlsruhe, Pforzheim, Stuttgart, Kirchheim unter Teck, Ulm, Guntzbourg, Augsbourg, Munich et Rosenheim
- Route nationale 33 (France), est une route nationale française reliant Saint-Avold à Creutzwald et Sarrelouis
- La route nationale 3bis était une route nationale française reliant Saint-Avold à Creutzwald et Sarrelouis. La réforme de la numérotation des routes nationales a conduit à la renumérotation des embranchements. La RN 3 bis a alors été renumérotée en RN 33.
- La route nationale 418 était une route nationale française reliant Thionville à Sarrelouis en Allemagne
- La route nationale 54 (France) a été déclassée en RD 954 dans les années 1970. Elle reliait Metz à la frontière allemande vers Sarrelouis en passant par Boulay-Moselle et Téterchen
Histoire[]
En 1288 Bouchard d'Avesnes (1251-1296) est en guerre contre Ferry III de Lorraine et Henri III de Bar à propos du comté de Castres (Blieskastel), un fief qui avait été engagé. Allié à l'évêque de Strasbourg Conrad de Lichtenberg, Bouchard d'Avesnes remporte une victoire importante près du futur Sarrelouis[2].
En 1680, l'année suivant le traité de Nimègue qui rattacha le duché de Lorraine à la France et mit fin à la Guerre de Hollande, le roi Louis XIV ordonna le démantèlement de la petite ville lorraine de Vaudrevange et, avec le matériau fourni par les remparts de cette ancienne capitale du bailliage d'Allemagne, ruinés par les Suédois, l’édification de la nouvelle ville-forteresse de « Saarlouis ».
Vauban élabore le plan de la ville-forteresse qui accueillera les troupes françaises. Le 5 août 1680, le père Célestin de Saint-Dié (1648-1709), capucin, gardien du couvent de Vaudrevange puis du futur couvent de Sarrelouis, pose la première pierre de la cité naissante, laquelle sera construite par des soldats du régiment de Beaumarais et du régiment de la Picardie. Encore aujourd'hui, deux quartiers de Sarrelouis sont ainsi nommés « Beaumarais » et « Picard ». La forteresse devra défendre les nouvelles possessions royales françaises en Lorraine (qui donne un accès sans contournement frontalier aux plus anciennes possessions françaises en Alsace).
Le présidial de Sarrelouis est créé en 1685. La même année, Louis XIV] autorise le marquis Charles Henri de Lénoncourt à construire une aciérie avec un four de fusion aux portes de la ville fortifiée de Saarlouis : c'est la future Dillinger Hütte.
En 1697, avec le traité de Ryswick, la majeure partie de la Lorraine regagne son indépendance (à condition de rester neutre et de ne pas s’allier au Saint-Empire). Cette concession de Louis XIV lui permet de s'allier à l’Espagne dans la perspective de sa succession sur le trône ; l'Espagne reprend ainsi la souveraineté de l’essentiel des Pays-Bas du Sud, mais Louis XIV obtient de l’Espagne de garder Saarlouis et la région environnante comme une enclave française dans la région, afin d’éviter qu’elle ne retombe sous le pouvoir des princes allemands. Par ce traité, Louis XIV obtient aussi de compléter la possession de l’essentiel de l’Alsace et donc la souveraineté de la rive gauche du Rhin, ce qui lui permet aussi de laisser Guillaume III prince d'Orange asseoir sa couronne en Angleterre sans aucune prétention sur les possessions espagnoles ou l’ancien duché de Lorraine.
Le traité d'Utrecht de 1713 et le traité de Rastatt de 1714 mettant fin à la guerre de Succession d'Espagne donnent l'Espagne et son empire colonial à la maison de Bourbon, mais les Pays-Bas Espagnols restent dans la maison de Habsbourg puisqu'ils passent sous suzeraineté autrichienne.
La bonne entente entre le duc Léopold Ier de Lorraine, également duc de Bar, et son cousin l'empereur Charles VI du Saint-Empire, font craindre à la France de Louis XV une alliance entre les deux pays qui se traduirait par le mariage de l'héritière des Habsbourgs, Marie-Thérèse avec l'héritier du duché de Lorraine François-Étienne. Une telle union mettrait Paris à moins de 200 km des armées impériales.
Néanmoins, en 1766, le duché de Lorraine et le duché de Bar sont rattachés au royaume de France ainsi que l'avait décidé le traité de Vienne à la fin de la guerre de Succession de Pologne (détenu alors par le beau-père de Louis XV, résultant d'un arrangement politique qui avait permis d’éviter le rattachement direct de la Lorraine à la France pour ne pas mécontenter les anciens alliés prussiens) et d’un arrangement avec l’Autriche qui administrait le reste des anciens Pays-Bas espagnols et à qui Louis XV cède ses précédentes possessions dans les Pays-Bas du Sud ; ce rattachement de la Lorraine laisse Sarrelouis exclavé mais dans une région sarroise désormais alliée à la France et à l’Autriche contre la Prusse au Nord, les Provinces-Unies au Nord-Ouest et l’Angleterre.
Pendant la Révolution française, la Lorraine et Sarrelouis s’allient aux révolutionnaires contre la coalition des princes germaniques alliés à l'Angleterre ; les révolutionnaires, trouvant son nom trop royal, rebaptisent la ville Sarrelibre, jusqu’en 1810 après que Napoléon eut repris une partie du Sud des Pays-Bas désormais définitivement perdus par l'Espagne.
La ville fut chef-lieu de district de 1790 à 1795.
Après la défaite des armées de l’Empire français, le traité de Paris de 1815 transfère la propriété de la ville de Sarrelouis à la Prusse qui administre l’ancienne Sarre autrichienne reprise à la France (Rhénanie prussienne). La ville libre devient ensuite allemande, et partie intégrante de la Sarre avec l’unification de l’Allemagne à la fin du XIXe siècle.
Au lendemain de la Première Guerre mondiale, Sarrelouis est occupée par la France, sous mandat de la Société des Nations, et la région de la Sarre est détachée de l’Allemagne et devient une région autonome, la Saargebiet de 1919 à 1935, jusqu'à ce qu'elle soit rattachée à nouveau à l'Allemagne sous son nom précédent de Saarland après un référendum. En 1936, les Nazis trouvant son nom trop français unifient la ville de Saarlouis avec la commune voisine de Fraulautern sur la rive est de la rivière Sarre et la rebaptisent Saarlautern.
Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale en 1945, sous l’occupation française provisoire de la région, la ville a retrouvé son nom allemand de Saarlouis, sa devise et ses armoiries, ainsi que ses anciennes limites territoriales (Fraulautern en est à nouveau détachée). Saarlouis rejoindra ensuite la nouvelle République fédérale d'Allemagne avec l’adhésion du Land de la Sarre le 1er janvier 1957, peu après la fin en 1954 du régime d’occupation militaire alliée dans la partie occidentale de l'Allemagne et l’échec des tentatives d’en faire une région internationale européenne, ébauche d’une future Europe unie pour la paix.
Héraldique et devise[]
Blason | D'argent, à un soleil d'or au-dessus d'une nue d'azur, mouvante du canton sénestre de l'écu ; au chef d'azur, chargé de trois fleurs de lys d'or[3].
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Détails | Les armoiries de Sarrelouis sont parlantes : la devise et le soleil qui y figurent rappellent très probablement d'abord la destruction et ensuite la reconstruction de cette ville par Louis XIV ; le chef est la marque de propriété du roi de France[3]. |
La devise de la ville est en latin :
« Dissipat atque fovet »
Elle signifie :
« Le soleil dissipe (les nuages dessinés sur le blason) et il réchauffe. »
Le soleil fait ici référence au « Roi Soleil » Louis XIV, fondateur de la ville, qui s’octroie par cette devise un pouvoir important.
Monuments et sites d’intérêt[]
Les principaux sites pittoresques sont :
- la place le grand marché avec la Kommandantur et l’église Saint-Louis (dont la nef a été reconstruite en 1970 par Gottfried Böhm)
- la fontaine de Sainte-Marie,
- la vieille ville et les Casemates.
Administration[]
Gouverneurs[]
- 1680-1710 : Thomas de Choisy, marquis de Moigneville (1632-26 février 1710), a été le premier gouverneur de la ville.
Maires (Oberbürgermeister)[]
- 1815 : Michel Reneauld
- ...
- 1945-1947 : Ernst Bloch
- 1947-1957 : Anton Merziger (CVP)
- 1957-1967 : Hubert Schreiner CDU
- 1967-1987 : Dr. Manfred Henrich SPD
- 1987-1997 : Richard Nospers SPD
- 1997-2005 : Hans-Joachim Fontaine CDU
- 2005- : Roland Henz SPD
Économie[]
- L'usine Ford, implantée depuis 1970, emploie 6 524 personnes assemblant trois modèles du constructeur américain :
- Ford C-Max ;
- Ford Focus ;
- Ford Kuga ;
- Ford Orion ;
Éducation[]
- le Robert-Schuman-Gymnasium (Saarlouis) (de) ou « lycée Robert-Schuman (Sarrelouis) ».
Culte[]
- Chapelle Saint-Valentin
Présence militaire[]
- Régiment Royal-Liégeois ;
- Régiment de Berry (1684) ;
- Régiment de Bouillon ;
- Régiment de Toustain cavalerie ;
- janvier 1737 : Régiment d'Alsace
- octobre 1776 : Régiment Royal-Deux-Ponts,
- novembre 1774 : Régiment d'Alsace
Le 2e bataillon du 96e régiment d'infanterie, ci-devant régiment allemand de Nassau, avait été échelonné de Montmédy à Verdun pour protéger la fuite du roi Louis XVI à Varennes. Ce mouvement avait jeté une telle défaveur sur ce régiment que Sedan, Thionville et Sarrelouis refusèrent de le recevoir.
- novembre 1792-décembre 1792 : 4e bataillon de volontaires de Paris est envoyé au camp des Chèvres, près de Sarrelouis.
- janvier 1793 : 4e bataillon de volontaires de Paris
- avril 1793-décembre 1793 : 4e bataillon de volontaires de Paris
- 1802 : dépôt à Sarrelouis (Sarrelibre) du 5e régiment de hussards
- 1814 : 61e régiment d'infanterie de ligne
- 1814 : 76e régiment d'infanterie de ligne
- Lothringisches Train-Bataillon Nr. 16, ou 16e bataillon du train, Lorrain', était rattaché au XVIe Corps d'Armée. Cette unité était en garnison à Saarlouis.
- Créé le 1er octobre 1913, le Jäger-Regiment zu Pferde Nr. 13 régiment de chasseurs à cheval n°13 était en garnison à Sarrelouis
- À la mobilisation d’août 1914, le Infanterie-Regiment „Graf Werder“ (4. Rheinisches) Nr. 30 (86. Infanterie-Brigade, 34e division d'infanterie), est en garnison à Saarlouis
- Entre le 2 et le 11 août 1914, la 10e division d'infanterie allemande se concentre de la division dans la région de Sarrelouis
En 1918 dirigé, après l'armistice, sur Sarrelouis, le 2e régiment de cuirassiers n'y reste que jusqu'au 25 novembre et revient bientôt en France à Héricourt, puis à Lyon.
- 1921 : casernement à Sarrelouis et Sarrebruck du 3e régiment de dragons
- En début d'année 1945, la 347e division d'infanterie allemande combat à Sarrelouis ;
- Le 28 août 1944 la 9e division d'infanterie américaine' franchit la Marne, traverse Sarrelouis, puis tient des positions défensives de Montjoie à Losheim en novembre-décembre 1944
- Du 29 janvier au 6 mars 1945, la 26e division d'infanterie US tient des positions défensives, sur la rive est de la Sarre dans la zone Saarlautern.
- Le 17 mars, la 65e division d'infanterie US franchit la Saar et prend Saarlautern le 19 mars alors que la ligne Siegfried cède.
- Forces françaises en Allemagne :
- 303e groupement d'artillerie de marine 303e GAMA du à 1968 quartier Ney
- 601e batterie d'emission de fumées (601e BEF) de 1963 ( reconstitution ) à 1965 (dissolution )
- Brigade aéroportée 26 de Fallschirmjäger (Saarlouis)
- Siège Social (Saarlouis)
- Compagnie du génie aéroporté 260 (Saarlouis)
Personnages liés à la ville[]
- À Laybach, près de Sarrelibre, le 22 octobre 1793, étant coupé de sa division avec un détachement de 300 hommes, Jacques Lecapitaine (1765-1815), alors capitaine, combattit pendant trois jours contre un ennemi supérieur eu nombre qui le tenait cerné et parvint à rejoindre le gros de l'armée, où il reçut les félicitations du général Hoche.
- François Charles Absolut de La Gastine (1751-1814), directeur des fortifications de Sarrelouis (1810)
- Frédéric Auguste de Beurmann (1777-1815), général de brigade, alla recevoir à Sarrelouis, le 9 novembre 1811, les remontes destinées aux corps de cavalerie stationnés dans cette place et ses environs.
- Gilles-François Guéret, général d'Empire, colonel commandant d'armes à Sarrelouis en 1813 ;
- Soldat Lacroix (de), personnage de fiction.
Personnes nées à Sarrelouis[]
- François Muller (1764-1808), général des armées de la République, né à Sarrelouis.
- Paul Grenier, général de division (né le 29 janvier 1768 à Sarrelouis – mort le 18 avril 1827 à Morembert)
- Michel Ney (1769-1815), maréchal d'Empire, fidèle de Napoléon (1804) qui le fait duc d'Elchingen, et prince de la Moskowa. Né à Sarrelouis, il est surnommé « le brave parmi les braves ». Rallié à Napoléon lors des Cent jours, il est fusillé à Paris en décembre 1815 pour haute trahison à la seconde restauration.
- Heinrich Marx (1777-1838), avocat français et père de Karl Marx.
- Pierre Nicolas Gannal (1778-1832), officier d'artillerie français mort au Siège de la citadelle d'Anvers (1832).
- Jean-Nicolas Gannal (1791-1852), pharmacien, chimiste, inventeur français, frère du précédent.
- François-Auguste Cheussey (1781-1857), architecte.
- Eduard von Knorr (8 mars 1840 en tant qu'Eduard Knorr-17 février 1920 à Berlin), amiral.
- Paul von Lettow-Vorbeck (20 mars 1870-9 mars 1964 à Hambourg), général durant la campagne d’Afrique de l’Est, homme politique et écrivain.
- Max Donnevert (1872-1936), homme politique allemand, député au Landtag d'Alsace-Lorraine.
- Hubert Ney (de), (12 octobre 1892-3 février 1984), homme politique (Deutsche Zentrumspartei, CVP puis CDU), Ministre-président de la Sarre de 1956 à 1957.
- Oskar Lafontaine (1943-), homme politique, fondateur du parti Die Linke
- Herbert Demange (de) (1959-), un ancien footballeur allemand ;
- Ralf Altmeyer (1966-), virologue.
Jumelages[]
- Saint-Nazaire (France) depuis 1969
- Eisenhüttenstadt (Allemagne) depuis 1986 (le premier jumelage germano-allemand)
- Matiguás (Nicaragua) depuis 1986
- Bochnia (Pologne) depuis 2001
- Drancy (France) depuis 2014
Sports[]
En 1969, année du jumelage entre Saint-Nazaire et Saarlouis, les deux associations du Sport Verein 1909 de Fraulautern et de l'UM Penhoët décident de se jumeler.
- Les Saarlouis Hornets, club allemand de baseball basé à Sarrelouis évoluant en championnat d'Allemagne.
- Sarrelouis est une étable de l'ITF Men's Circuit (tennis) :
- ITF Men's Circuit 2015 ;
- ITF Men's Circuit 2016 ;
- Le HG Saarlouis participe au championnat d'Allemagne de handball de deuxième division ;
- En 2008, Saarlouis organgise les championnats d'Europe de kin-ball
- Championnat de France féminin de kin-ball 2008-2009 ;
- Boris Stein (né en 1984), vainqueur du triathlon de Sarrelouis en 2010
Voir aussi[]
Articles connexes[]
- Liste des villes d'Allemagne ;
- Abbaye de Sturzelbronn ;
- Abibac ;
- Albert Besnard ;
- Ambassade de France en Allemagne ;
- Armand Charles Guilleminot ;
- Arrondissement de Sarrelouis ;
- Bailliage de Sarrelouis ;
- Benjamin Auguste Léonor Houssin de Saint-Laurent ;
- Bonaventure Hippolyte Sabatier ;
- Boris Stein ;
- Bouchard d'Avesnes (1251-1296) ;
- Bous (Sarre) ;
- Bouzonville ;
- Campagne de Lorraine ;
- Canton de Pange ;
- Canton de Sarrelouis ;
- Centrale à charbon d'Ensdorf ;
- Charles Hannaire-Viéville ;
- Charles Peaucellier ;
- Charles-François Desbureaux ;
- Christian Guy ;
- Chronologie des relations internationales au XIXe siècle ;
- Claude Étienne Paquin de Vauzlemont ;
- Combinaison Hazmat ;
- Condé-Northen ;
- Denis Félicité Bizot-Charmoy ;
- Dillingen (Sarre) ;
- Dillinger Hütte ;
- Edgar Feuchtinger ;
- Eduard von Knorr ;
- Eisenhüttenstadt ;
- Emmanuel de Serviez ;
- Emmanuel-Michel-Bertrand-Gaspard Neuhaus ;
- Ensdorf (Sarre) ;
- Esther Bejarano ;
- Europe 1 ;
- Émetteur d'Europe 1 ;
- Famille de Bigault ;
- Ferange ;
- Formation territoriale de la France métropolitaine ;
- Fort Lauvallières ;
- Forteresse de Mont-Royal ;
- Franz Schubert (Kreisleiter) ;
- François Cante-Pacos ;
- François Marie d'Aboville ;
- François Muller ;
- François de Pange ;
- François-Auguste Cheussey ;
- François-Joseph d'Offenstein ;
- François-Louis-Antoine de Bourbon Busset ;
- François-Marie-Claude Richard de Hautesierck ;
- Frontière entre l'Allemagne et la France ;
- Frédéric Auguste de Beurmann ;
- Gabriel de Bonnay de Breuille ;
- Georges Méric de Bellefon ;
- Gerhard Tappen ;
- Gouvernement militaire ;
- Grande Région ;
- Guerre de succession d'Espagne dans les Pays-Bas espagnols ;
- Guy Creuzet de Richerand ;
- Généralité de Metz ;
- Heer (armée) ;
- Heiko Maas ;
- Heiko Maas ;
- Heinrich Marx ;
- Heinrich Welsch ;
- Histoire de la Moselle ;
- Histoire des départements français ;
- Histoire du Racing Club de Strasbourg ;
- Histoire philatélique et postale de la Moselle ;
- Histoire philatélique et postale de la Sarre ;
- Ivan Contreras-Brunet ;
- Jacques Bidoit ;
- Jacques Charles René Delaunay ;
- Jacques Julien Guérin ;
- Jacques Lecapitaine ;
- Jacques-Aubin Gaudin de La Bérillais ;
- Jean Baptiste Brice Bizot ;
- Jean Estrix ;
- Jean Georges Grenier ;
- Jean Paul Timoléon de Cossé-Brissac ;
- Jean-Baptiste Schlachter ;
- Jean-François Toussaint (général) ;
- Jean-Nicolas Gannal ;
- Josef Stübben ;
- Joseph Daultanne ;
- Jules de Polignac (1780-1847) ;
- Kimris ;
- L'Hôpital (Moselle) ;
- Laurent Barnabé Dedon ;
- Laurent Schobert ;
- Lebach ;
- Lisdorf ;
- Liste de forts, fortifications, citadelles et places fortes en France ;
- Liste de gentilés ;
- Liste de personnalités liées à Carling ;
- Liste de personnalités liées à L'Hôpital (Moselle) ;
- Liste de personnalités lorraines ;
- Liste des anciennes communes de la Moselle ;
- Liste des arrondissements d'Allemagne ;
- Liste des autoroutes de l'Allemagne ;
- Liste des communes de Sarre ;
- Liste des communes françaises ayant changé de nom au cours de la Révolution ;
- Liste des devises de villes ;
- Liste des garnisons de l'Armée de terre ;
- Liste des identifiants territoriaux des plaques d'immatriculation allemandes ;
- Liste des membres de la noblesse d'Empire ;
- Liste des membres de la quatorzième législature du Landtag de Sarre ;
- Liste des membres de la quinzième législature du Landtag de Sarre ;
- Liste des noms français de toponymes germaniques ;
- Liste des noms français des villes européennes ;
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- Liste des routes impériales françaises de 1811 ;
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- Liste des tramways en Europe ;
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- Liste des villes jumelées de France ;
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- Novembre 1815 ;
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- Pierre Rielle de Schauenbourg ;
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- Rainer Rupp ;
- Ralf Altmeyer ;
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- Requiem (Mozart) ;
- Règlement des États généraux de 1789 ;
- Rémy Vincent ;
- Réorganisation des corps d'infanterie français (1803) ;
- Saargau ;
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- Siège de Metz (1814) ;
- Territoire du Bassin de la Sarre ;
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- Traité de Paris (1814) ;
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Liens externes[]
Notes et références[]
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