Marc François Jérôme Wolff Marx Wolff[1] | |
A. Maurin, Le baron Marc-François-Jérôme Wolff, Lieutenant-Général
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Naissance | 4 mars 1776[2],[3] Strasbourg |
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Décès | 24 octobre 1848 (à 72 ans)[4] Paris |
Origine | Alsacienne |
Allégeance | République française Empire français Royaume de Westphalie Empire français Royaume de France Empire français (Cent-Jours) Royaume de France Royaume de France |
Arme | Cavalerie |
Grade | Lieutenant-général |
Années de service | 1794 – 1838 |
Conflits | Guerres révolutionnaires Guerres napoléoniennes |
Commandement | Gardes du corps westphaliens Chevau-légers de la garde de Westphalie Cavalerie westphalienne |
Faits d'armes | Siège de Mannheim Bataille de Gross Beeren Combat de Zahna Bataille de Juterbock |
Distinctions | Légion d'honneur Ordre de Saint-Louis Ordre de la Couronne de Westphalie Ordre royal des Deux-Siciles Ordre de Saint-Henri de Saxe |
Hommages | Nom gravé sous l'arc de triomphe de l'Étoile (pilier Ouest, 39e colonne) |
Signature | |
Liste des généraux de la Révolution et du Premier Empire | |
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Marc François Jérôme, baron Wolff (Strasbourg, 4 mars 1776 – Paris, 24 octobre 1848), est un général et français des XVIIIe et XIXe siècles.
Issu d'une famille juive alsacienne, Marx Wolff s'engagea dans l'armée révolutionnaire française. Commandant de la cavalerie westphalienne sous l'Empire, il continua à servir sous la Restauration française et la monarchie de Juillet.
Biographie[]
Né à Strasbourg le 4 mars 1776, Marc-François-Jérôme Wolff débuta à l'âge de dix-huit ans dans la carrière militaire[3]. « Cédant aux inspirations intimes que lui avait fait naître, au collége de sa ville natale, la lecture de Plutarque et de César, et entraîné par les idées patriotiques du temps »[5], le jeune collégien d'Alsace s'engagea dans le 2e régiment de chasseurs, le 5 avril 1794[2],[3],[6].
Il fut dirigé sur l'armée du Rhin où il fit les campagnes de l'an II à l'an IV[7].
Adjoint au corps du génie depuis le 6 juin 1795[5],[6], il se trouvait au siège de Mayence, au passage du Rhin, vis-à-vis de Neuwiedt en l'an IV, et se distingua, le 5 brumaire an IV (27 octobre 1795), au siège de Mannheim où il fut blessé d'un coup de feu à la cuisse[3],[5]. Fait prisonnier le 30 octobre, il fut échangé le 26 avril 1796[5].
L'Empire et la Westphalie[]
À partir de cette époque, M. Wolff ne cessa point de se trouver à presque toutes les grandes batailles, à presque tous les combats qui eurent lieu en Allemagne (1805), en Prusse (1806)[8], en Pologne (1807)[8], en Espagne[8], au Portugal (1809), en Russie, en France, en Belgique : « les noms d'Ulm, d'Austerlitz, d'Iéna, d'Eylau, de Friedland, de Dresde, de Waterloo, décorent l'état de ses services »[5].
Il devint successivement sous-lieutenant au 5e dragons (5 mai 1799), lieutenant (2 février 1800)[6], aide de camp du général Louis Bonaparte (16 novembre 1803), capitaine de dragons (6 avril 1804)[5],[8].
Peu de jours après la bataille d'Iéna (octobre 1806), le capitaine Wolff fut chargé d'une reconnaissance sur Magdebourg : il ramena des prisonniers, se fit remarquer de ses chefs et reçut en récompense, le 20 novembre suivant, le grade de chef d'escadron[5].
Passé au service du roi de Westphalie par autorisation de l'empereur en 1808, pour y organiser la cavalerie[3], il fut nommé successivement major et colonel des gardes du corps, colonel-commandant les chevau-légers de la Garde[5]. Il eut le commandement de la cavalerie westphalienne (ainsi qu'une partie de la cavalerie bavaroise[3]), qui se conduisit, sur les champs de bataille de la Grande Armée[5], pendant la campagne de Wagram, « de manière à honorer son chef et son organisateur »[2]. Il fut maintenu dans son commandement lors des campagnes de 1809, 1812 et 1813[3].
Par son décret du 4 juin 1809, l'Empereur avait donné à M. le colonel Wolff une dotation[8] de 2 000 francs en Allemagne, pour en jouir à partir du 1er janvier 1808[2]. Nommé général de brigade le 16 avril 1812[2],[3], le commandement de la cavalerie légère du IVe corps de la Grande Armée lui fut confié[2].
Campagne de Saxe (1813)[]
L'année 1813 doit être restée en souvenir au général Wolff. Le 1er janvier, le roi de Westphalie le plaça au nombre de ses aides-de-camp[2],[9]. Le 1er mars, après la retraite de Russie, l'empereur le chargea de la défense importante des défilés du Hartz : le général déploya beaucoup d'habileté dans cette défense[9],[3], eut plusieurs engagements avec les Russes, parvint à entretenir les communications avec le prince Eugène, qui manœuvrait sur l'Elbe, et reprit de vive force sur l'ennemi, le 13 avril, la ville de Nordhausen. Le 28 du même mois, il avait le commandement de la cavalerie légère du VIe corps de la Grande Armée[2].
Il combattit à Lutzen (2 mai)[2]. Neuf jours après cette bataille, le pont sur l'Elbe, à Dresde, ayant été rétabli, le génral Wolff, à la tête de sa cavalerie, passe le fleuve, par ordre et sous les yeux de l'empereur, attaqua l'arrière-garde ennemie avec sa bravoure accoutumée, près de Reichenbach, lui fit des prisonniers, et prit position à Moritzburg[2].
Le 26 juillet, il eut le commandement de la 29e brigade de cavalerie légère au XIIe corps, que dirigeait le duc de Reggio. Appelé à soutenir la retraite au combat de Gross Beeren, il fut blessé d'un coup de feu à l'épaule droite, le 30 août. Il venait de perdre un cheval tué sous lui de deux coups de lance[2].
Il se distingua, toujours à la tête de sa brigade, au combat de Zahna, le 5 septembre, et le 6 à la bataille d'Interbock. Le 3 octobre, le général était au combat de Wartembourg, et soutint la retraite du VIe corps pendant toute la journée contre la cavalerie et l'artillerie ennemies, supérieures en nombre. Le 8, il défendit le passage de l'Elbe contre le corps d'armée du général Blücher[2].
« L'estime qu'il avait su inspirer aux troupes allemandes lui fit surmonter la plupart des difficultés de cette campagne[3]. »
À la suite de la bataille de Hanau, livrée le 30 octobre, l'empereur, « qui se connaissait en bons officiers »[2], rappela le général Wolff du service de Westphalie, le replaça dans les cadres français et lui confia une brigade de cavalerie du IIIe corps. Il le chargea, aussitôt après, de la défense du Rhin entre Andernach et Bonn, ensuite entre Bonn et Cologne, où le « général Wolff se fit remarquer par les plus heureuses dispositions militaires »[2].
Le général Wolff commandait, en 1814, un corps de dragons, sous le duc de Tarente[3]. Pendant la campagne de France (1814), « ce brave général combattit avec une rare intrépidité[8] ».
Restauration et Monarchie de Juillet[]
Il suivit le sort de l'armée, fit la campagne de 1815 au IIe corps (il fut un des derniers à quitter le champ de bataille à Waterloo[8]) et revint à Paris après le licenciement de la Loire[2] (16 juillet 1815).
Quoique porté dans la « quatorzième des catégories inventées par les ministres bourbonniens[2] »[n 1], la Restauration ne lui tint cependant pas rigueur absolue. Elle l'employa de 1815 à 1830, presque sans intervalle, soit comme inspecteur général de cavalerie ou de gendarmerie, ou des remontes, soit comme membre du comité spécial de cavalerie, du comité des remontes et de la commission des remontes et haras du ministère de l'Intérieur.
Juif converti au catholicisme au début de la Restauration (sous Louis XVIII), il est fait baron le 11 juin 1819[1]. Malgré l'ancienneté de ses services, les Bourbons laissèrent M. Wolff maréchal de camp.
Louis-Philippe le conserva à l'inspection générale et à la commission des remontes, et lui conféra ensuite le grade de lieutenant-général (31 décembre 1835)[2],[8]. Wolff était inspecteur-général de gendarmerie ou de cavalerie de 1836 à 1838[2].
Cet officier général, « un des plus distingués de l'armée[2] », avait été nommé chevalier de la Légion d'honneur, le 28 messidor an XII (17 juillet 1804), année de l'organisation[2], officier le 22 juillet 1813[10] ; ensuite commandant (19 novembre suivant) et enfin grand officier (30 octobre 1829)[4]. Lorsqu'en 1814, le gouvernement de la Restaution « fit ses grandes distributions de l'ordre qu'il prisait le plus[10] », M. Wolff reçut, comme tous les autres, la croix de Saint-Louis[4]. Ce général est en outre décoré des ordres de Saint-Henri de Saxe, de Westphalie et des Deux-Siciles[10].
Premier général d'origine juive et officier de carrière en France, totalisant plus de 40 années de service[1], Wolff est du nombre de ceux dont les noms sont inscrits sur les pilastres de l'arc de triomphe de l'Étoile[8].
États de service[]
Depuis le | Jusqu'au | Grade/Fonction | Unité | Campagnes et batailles disputées |
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5 avril 1794 | Chasseur | 2e régiment de chasseurs (armée du Rhin) | Première Coalition | |
6 juin 1795 | Adjoint au corps du génie | Blocus de Mayence Passage du Rhin Bataille de Neuwied Siège de Mannheim | ||
30 octobre 1795 | 26 avril 1796 | Prisonnier de guerre | ||
5 mai 1799 | Sous-lieutenant | 5e régiment de dragons | ||
2 février 1800 | Lieutenant | |||
16 novembre 1803 | Aide de camp du général Louis Bonaparte | |||
6 avril 1804 | Capitaine de dragons | Troisième Coalition : Campagne d'Allemagne (1805) Bataille d'Ulm Bataille d'Austerlitz | ||
20 novembre 1806 | Chef d'escadron | Quatrième Coalition : Campagne de Prusse (1806) Bataille d'Iéna Campagne de Pologne (1807) Bataille d'Eylau Bataille de Friedland | ||
1808 | Major | Gardes du corps ( Royaume de Westphalie) |
Cinquième Coalition : Campagne d'Espagne (1808) Campagne de Portugal (1809) | |
Colonel | ||||
Colonel-commandant | Chevau-légers de la Garde ( Royaume de Westphalie) | |||
Cavalerie westphalienne | Campagne d'Autriche (1809) Bataille de Wagram Sixième Coalition : Campagne de Russie (1812) | |||
16 avril 1812 | Général de brigade | |||
Commandant | Cavalerie légère du IVe corps de la Grande Armée | |||
1er janvier 1813 | Aide de camp du roi Jérôme Napoléon | |||
28 avril 1813 | Commandant | Cavalerie légère du VIe corps de la Grande Armée | Campagne de Saxe (1813) Bataille de Lützen | |
26 juillet 1813 | 29e brigade de cavalerie légère au XIIe corps | Bataille de Gross Beeren Bataille de Dresde Bataille de Zahn Bataille de Juterbock Bataille de Wartenburg Bataille de Hanau | ||
30 octobre 1813 | Général de brigade | Rappelé au service français ( Empire français) |
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Commandant | une brigade de cavalerie du IIIe corps | |||
1814 | un corps de dragons, sous le duc de Tarente | Campagne de France (1814) | ||
1815 | 16 juillet 1815 | au IIe corps | Septième Coalition : Campagne de Belgique (1815) Bataille de Waterloo | |
1815 | 1830 | Inspecteur général | de cavalerie, de gendarmerie, des remontes | |
Membre | du comité spécial de cavalerie, du comité des remontes, de la commission des remontes et haras du ministère de l'Intérieur. |
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1830 | 1838 | Inspecteur général | de cavalerie | |
Membre | de la commission des remontes | |||
31 décembre 1835 | Lieutenant-général |
Famille[]
Issu d'une famille juive alsacienne, Marx Wolff était le fils aîné de Levy Louis Wolff (né en 1745[11]) et de Mina Minette Cerfberr (1757-1825)[1]. Par sa mère, le général Wolff était petit-fils de Cerf Beer (1726-1793), homme politique et un philanthrope, « préposé général de la nation juive d'Alsace »[12].
Le général avait un frère cadet[1], Emmanuel Saint Albe Wolff (Strasbourg, 29 août 1779 - 21 mars 1845), sous-lieutenant au 5e régiment de dragons (1804-1805), lieutenant en second à la gendarmerie royale de Paris (1815-1816), officier de la Légion d'honneur (18 mai 1820)[13], marié avec Jeanne Boeteux 1791-1875, d'où une fille.
Distinctions[]
Titres[]
- Donataire (r. 2 000 francs) en Westphalie par décret impérial du 19 mars 1808[14] ;
- Chevalier Wolff et de l'Empire par lettres patentes du 29 août 1810[15],[14],[16],[17] ;
- Baron Wolff :
Décorations[]
- Légion d'honneur[4] :
- Légionnaire (28 messidor an XII : 17 juillet 1804)[2], puis,
- Officier (22 juillet 1813)[10], puis,
- Commandant (19 novembre 1813)[10], puis,
- Grand officier de la Légion d'honneur (30 octobre 1829) ;
- Chevalier de l'Ordre royal et militaire de Saint-Louis[4] (1814[10]) ;
- Chevalier de Ire classe de l'ordre de la Couronne de Westphalie (26 janvier 1810)[18] ;
- Chevalier de l'ordre royal des Deux-Siciles[19],[10]
- Chevalier de l'ordre militaire de Saint-Henri de Saxe[10].
Hommage, honneurs, mentions,...[]
Son nom apparaît parmi ceux des 660 officiers inscrits sur l'Arc de triomphe de l'Étoile (39e colonne, l'Arc indique WOLFF).
Héraldique[]
Armoiries | Blasonnement | |
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Armes du chevalier Wolff et de l'Empire
D'argent à la fasce bretessée de gueules, chargée du signe des chevaliers légionnaires, accompagnée en chef d'un sabre, posé en fasce et la pointe à dextre, de gueules, et, en pointe, d'un cheval galopant de sable, soutenu de sinople[14]. | ||
Armes du baron Wolff
D'argent à la fasce bretessée de gueules chargée de deux étoiles d'argent acc en chef d'un sabre de gueules posé en fasce et en pointe d'un cheval galopant de sable soutenu de sinople[16],[14]. |
Notes et références[]
- ↑ « Après le second retour du roi, on crut que le malaise de la société ne pouvait être guéri que par des remèdes extraordinaires. La loi du 9 novembre 1815 fut rendue pour punir les cris séditieux et les provocations à la révolte. Eh bien ! messieurs, cette loi d'exception, cette loi de représailles, cette loi de vengeance a respecté ce que ne respecte pas l'administration actuelle; elle a rangé sur la même ligne d'inviolabilité la pension de retraite et le traitement de non-activité; elle a voulu que les tribunaux seuls pussent toucher à l'un et à l'autre. L'article 10 de la loi est conçu en ces termes :
Et qu'on ne dise pas que l'objet de l'article 10 était seulement d'attribuer aux tribunaux de police correctionnelle le pouvoir d'infliger des peines que le code n'a pas prononcées. Où aurait été la nécessité de cette attribution extraordinaire, au moins en ce qui concerne les traitements de non-activité, si le gouvernement eût cru avoir le droit de les abolir ? Pourquoi n'aurait-il pas exercé ce droit lui-même après chaque condamnation ; lui qui avait les moyens de réviser et d'apprécier la vie entière du condamné, tandis que les juges ne pouvaient apercevoir de cette vie qu'une action isolée ?« Tout condamné qui se trouvera jouir d'une pension de retraite civile ou militaire, ou d'un traitement quelconque de non-activité, sera privé de tout ou partie de la pension de retraite, ou de tout ou partie de son traitement de non-activité, pour un temps qui sera déterminé par le tribunal. »
À peu près dans le même temps, les officiers de l'armée furent classés en catégories, à raison des fautes plus ou moins graves qu'on les accusait d'avoir commises. L'objet du classement était, suivant les termes de l'instruction ministérielle du 6 novembre, écarter du tableau d'activité des hommes dangereux. Eh bien! messieurs, ces hommes dangereux, les plus dangereux de tous, ceux qu'on avait rangés dans la quatorzième catégorie, jamais on n'a pensé à leur enlever ou leur grade ou leur traitement, et la solde de non-activité leur est restée, comme indemnité de la préférence que d'autres obtenaient sur eux pour être employés. »
— Tissot 1826, p. 256-258, Discours par le Général Foy
- ↑ 1,0 1,1 1,2 1,3 et 1,4 Roglo 2012.
- ↑ 2,00 2,01 2,02 2,03 2,04 2,05 2,06 2,07 2,08 2,09 2,10 2,11 2,12 2,13 2,14 2,15 2,16 2,17 2,18 2,19 et 2,20 Sarrut et Saint-Edme 1837, p. 326.
- ↑ 3,00 3,01 3,02 3,03 3,04 3,05 3,06 3,07 3,08 3,09 et 3,10 Michaud 1819, p. 549.
- ↑ 4,0 4,1 4,2 4,3 et 4,4 Léonore LH/2762/2.
- ↑ 5,0 5,1 5,2 5,3 5,4 5,5 5,6 5,7 et 5,8 Sarrut et Saint-Edme 1837, p. 325.
- ↑ 6,0 6,1 et 6,2 Lesage 1844, p. 321.
- ↑ Revue alsacienne 1887, p. 464.
- ↑ 8,0 8,1 8,2 8,3 8,4 8,5 8,6 8,7 et 8,8 Lesage 1844, p. 322.
- ↑ 9,0 et 9,1 Almanach de Westphalie 1813, p. 73.
- ↑ 10,0 10,1 10,2 10,3 10,4 10,5 10,6 et 10,7 Sarrut et Saint-Edme 1837, p. 327.
- ↑ Généanet 2016.
- ↑ Cerfberr 1878, p. 158.
- ↑ Léonore LH/2762/11.
- ↑ 14,0 14,1 14,2 14,3 14,4 et 14,5 Révérend 1897, p. 403.
- ↑ 15,0 et 15,1 Dictionnaire des anoblis 1875, p. 250.
- ↑ 16,0 16,1 16,2 et 16,3 Rietstap 1884.
- ↑ 17,0 17,1 et 17,2 Maltagenealogy.com 2011.
- ↑ Almanach de Westphalie 1813, p. 98.
- ↑ Almanach de Westphalie 1813, p. 119.
Annexes[]
Articles connexes[]
- Liste des chevaliers de l'Empire ;
- Armorial des chevaliers de l'Empire ;
- Liste des grands officiers de la Légion d'honneur ;
- Liste des chevaliers de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis ;
- Liste des grands officiers de la Légion d'honneur ;
- Ordre royal des Deux-Siciles ;
- Liste des grands officiers de la Légion d'honneur ;
- Ordre de la Couronne de Westphalie ;
- Liste des grands officiers de la Légion d'honneur ;
- Liste des généraux de la Révolution et du Premier Empire ;
- Louis-François Lejeune ;
- Noms gravés sous l'arc de triomphe de l'Étoile ;
- Famille Cerfberr de Medelsheim ;
- Ordre de bataille de la Grande Armée pendant la campagne de Russie ;
Liens externes[]
- « Notice no LH/2762/2 », base Léonore, ministère français de la Culture ;
- « Notice no LH/2762/11 », base Léonore, ministère français de la Culture ;
- (en) « Maltagenealogy.com », List of Titles granted during the French Empires, sur www.saidvassallo.com (consulté le 3 décembre 2011) ;
- « Marc François Jérôme Wolff » , sur le site de Généalogie - Roglo, base de donnée généalogique [fiche] ;
- « Marx Marc François Jérome Wolff LÉVY » , sur le site de Généanet, base de donnée généalogique ;
Bibliographie[]
: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
- Almanach royal de Westphalie : pour l'an M.DCCC.XIII., Cassel, Imprimerie royale, 1813, 413 p. [lire en ligne (page consultée le juin 26, 2016 à 21:25 (UTC))] [présentation en ligne] ;
- Louis Gabriel Michaud, Biographie des hommes vivants : ou Histoire par ordre alphabétique de la vie publique de tous les hommes qui se sont fait remarquer par leurs actions ou leurs écrits : PA-Z, t. Ve, 1819, 558 p. [lire en ligne (page consultée le juin 24, 2016 à 12:47 (UTC))], p. 549 ;
- M.P.F. Tissot, Discours par le Général Foy, t. Ier, Paris, chez Moutardier, 1826, 2e éd., 423 p. [lire en ligne (page consultée le juillet 2, 2016 à 06:11 (UTC))], p. 256-258 ;
- Germain Sarrut et B. Saint-Edme, Biographie des hommes du jour industriels, conseillers-d'État, artistes, chambellans, députés, prêtres, militaires, écrivains, rois, diplomates..., t. III, 2e partie, 1837, 400 p. [lire en ligne (page consultée le juin 25, 2016 à 13:40 (UTC))], p. 325-327 ;
- Les bulletins de la Grande Armée : précédés des rapports sur l'armée française depuis Toulon jusqu'à Waterloo, extraits textuellement du Moniteur et des Annales de l'Empire, histoire militaire du général Bonaparte et de l'empereur Napoléon, avec des notes historiques et biographiques sur chaque officier, vol. 5 à 6, Paris, Lesage, 1844 [lire en ligne (page consultée le juin 26, 2016 à 21:25 (UTC))], p. 321-322 ;
- Dictionnaire des anoblis : 1270-1868, Bachelin-Deflorenne, 1875, 252 p. [lire en ligne (page consultée le juillet 3, 2016 à 17:44 (UTC))], p. 250 ;
- Alphonse Cerfberr, Biographie alsacienne-lorraine, Éditions Lemerre, 1878, 326 p. [présentation en ligne], p. 158 ;
- Jean-Baptiste Rietstap, Armorial général, t. (I & II), Gouda, G.B. van Goor zonen, 1884-1887 [lire en ligne] « et ses Compléments », sur www.euraldic.com ;
- Adolphe Le Reboullet, Eugène Seinguerlet et Mehl, Revue alsacienne, vol. 10, Nancy, Berger-Levrault et Cie, 1887 [lire en ligne (page consultée le juillet 2, 2016 à 09:46 (UTC))], p. 464 ;
- Vicomte A. Révérend, Armorial du Premier Empire : titres, majorats et armoiries concédés par Napoléon Ier, t. IVe (lettres P à Z), Paris, Au bureau de L'Annuaire de la noblesse et chez Honoré Champion, 1897, 450 p. [lire en ligne], p. 403 ;
- Alphonse Halter, Nouveau dictionnaire de biographie alsacienne : Marc François Jérôme (baron de) Wolff, vol. 40, p. 4307 ;
- Paul Bettelheim, Le Général Marc-François-Jérôme, baron Wolff, 1943 ;
- Pierre-André Meyer, Le clan Goudchaux Berr Wolff Marx, de Nancy et sa descendance (18e-20e siècles) , Cercle de Généalogie Juive, Paris, 2016 ;
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