Louis Hector Drummond | ||
Titre | Comte de Melfort (1726 – 1788) | |
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Autre titre | Seigneur d'Ivoy-le-Pré | |
Prédécesseur | André Drummond de Melfort | |
Successeur | Louis Pierre Milcolombe Drummond | |
Arme | Cavalerie Infanterie Infanterie légère | |
Allégeance | ||
Grade militaire | Lieutenant-général des armées du roi[1] | |
Années de service | 1735 | |
Commandement | Régiment de La Marche Régiment d'Orléans-Cavalerie Légion Royale | |
Conflits | Guerre de Succession de Pologne Guerre de Succession d'Autriche Guerre de Sept Ans | |
Faits d'armes | Bataille de Rhadern Bataille de Verle | |
Distinctions | Grand-croix de Saint-Louis | |
Autres fonctions | Inspecteur général des troupes légères | |
Biographie | ||
Dynastie | Clan Drummond | |
Origine | ||
Naissance | 4 novembre 1721[2] Paroisse Saint-Sulpice (Paris) | |
Décès | 6 octobre 1788 (à 66 ans) Château d'Ivoy-le-Pré | |
Père | André Drummond de Melfort | |
Mère | Madeleine Sylvie de Sainte-Hermine | |
Conjoint | Jeanne Élisabeth de La Porte | |
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Louis Hector Drummond, comte de Melfort (Paroisse Saint-Sulpice (Paris), 4 novembre 1721[2] – Château d'Ivoy-le-Pré, 6 octobre 1788), est un militaire français du XVIIIe siècle.
Biographie[]
« Louis Hector Drummond était l'un des descendants de Maurice Drummond[1] » qui était, selon la légende et les Europäische Stammtafeln, « petit-fils d'André Ier, roi de Hongrie, et qui fut le chef de la famille illustre de Drummond, qui subsista longtemps en Écosse. Maurice Drummond serait venu s'établir en Angleterre, et il quitta ce pays, en l'an 1066, avec Edgard Ætheling, héritier du trône, pour éviter les persécutions de Guillaume le Conquérant. Marguerite, sœur d'Edgar, étant devenue reine d'Écosse, maria avantageusement Maurice Drummond, le combla de biens, et lui donna la charge de sénéchal de Lennox[1]. »
Le comte de Melfort entra au service comme cornette, au régiment de cavalerie de Gesvres, le 15 avril 1735. Il fit la campagne de cette année, sur le Rhin, et se trouva à l'affaire de Clausen[3].
Guerre de Succession d'Autriche[]
Devenu capitaine au régiment Royal-Piémont, le 7 novembre 1739, il commanda sa compagnie à l'armée de Westphalie, sur les frontières de Bohême, au secours de Braunau, au ravitaillement d'Egra, à la défense de plusieurs postes de la Bavière, et sur le Rhin, en 1741, 1742 et 1743[3]. Il la commanda aussi à la conquête du comté de Nice ; au siège de Demont, à celui de Coni, et à la bataille de la Madona-del-Ulmo, en 1744[3].
Aide-de-camp du Maurice de Saxe, il ne quitta pas un moment le maréchal pendant la bataille de Fontenoy, gagnée sur le duc de Cumberland, le 11 mai 1745[1],[4].
Nommé colonel du régiment d'infanterie de la Marche, par commission du 26 mai 1745, il le commanda pendant la campagne de cette année, d'abord à l'armée du Bas-Rhin, sous les ordres du prince de Conti, puis à la marche de Maubeuge sur Herentals, en Brabant, sous les ordres du comte d'Estrées, et enfin, aux sièges de Mons, de Charleroi et de Namur[3]. Il combattit avec son régiment, à Raucoux, en 1746[3].
Il fut fait mestre-de-camp-lieutenant du régiment de cavalerie d'Orléans, en se démettant de celui de la Marche, le 3 mars 1747[3]. Il commanda son nouveau régiment, à la bataille de Lawfeld, le 2 juillet suivant, et au siège de Maastricht, en 1748[3].
Drummond profita de l'accès que son oncle George Keith, connu sous le nom d'Earl Marischal (comte-maréchal d'Écosse), lui facilitait auprès du grand Frédéric, pour étudier la tactique prussienne, à laquelle l'opinion de tous les militaires accordait alors une grande supériorité[1]. Le comte de Melfort, voulant que sa patrie profitât des connaissances qu'il avait acquises consigna d'abord ses observations dans un premier Essai sur la cavalerie légère, imprimé en 1748[1], et publia, en 1776, un Traité sur la cavalerie, avec un atlas[5].
Guerre de Sept Ans[]
Il se démit du régiment d'Orléans, au mois d'avril 1752, et fut entretenu, par ordre du 10 du même mois, colonel réformé, à la suite du régiment Royal-Écossais[3], avec lequel il servit au camp de la Sambre, en 1753, et au camp de Calais, en 1756[6].
Devenu aide-maréchal-général-des-logis[7] de l'armée d'Allemagne, par ordre du 15 juin 1757, il se trouva à la bataille de Hastenbeck, à la prise de Minden et du Hanovre, au camp de Closterseven, et à la marche sur Zell[6].
Il obtint le grade de brigadier, par brevet du 1er mai 1758, et combattit à Crewelt, le 23 juin[6]. Il eut, le 24 février 1759, un ordre pour commander une brigade de troupes légères, composée des volontaires de Flandre et de Hainaut, des volontaires étrangers, et des volontaires liègeois. Employé comme brigadier, à l'armée d'Allemagne, par lettres du 1er mai 1759, il couvrit, avec sa brigade, la marche de l'armée, dissipa les ennemis qui occupaient Borck, de l'autre côté de la rivière de Lippe, et s'empara de cette ville, le 29 juin[6]. Il combattit à Minden, le 1er août, et enleva, au mois de septembre, un détachement de dragons hanovriens, à Mardorff, près de Homberg-sur-l'Ohm. Il attaqua, le 27 octobre, un détachement ennemi, barraqué à Nordecken et dans les environs, le surprit, le dispersa, et fit prisonniers 30 dragons et 20 hussards[6].
Nommé colonel de la Légion Royale, par commission du 16 mai 1760, il la commanda aux batailles de Corbach et de Warbourg[6]. Il se distingua particulièrement, sous les ordres du comte de Stainville, le 13 septembre, à Rhadern, où le corps du général von Bülow fut battu et dispersé entièrement, après avoir perdu son canon et ses munitions[6].
Promu au grade de maréchal-de-camp, par brevet du 20 février 1761, il se démit de la Légion Royale[6]. Il fut employé l'armée d'Allemagne, par lettres du 8 avril 1761, se distingua à l'attaque de Verle[8], sous les ordres du marquis de Voyer, et soutint, pendant la même campagne, les troupes qui s'emparèrent d'Osnabrück[6]. Il avait été nommé, par commission du 27 mars de la même année, l'un des deux inspecteurs-généraux des troupes légères. Employé à l'armée d'Allemagne, en 1762, il remporta un avantage sur les ennemis, du côté de Holstmar, le 4 juillet. Il se comporta avec distinction, à l'affaire du 30 août, près de Friedberg[6].
Il fut créé commandeur de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis, le 25 août 1779[9], lieutenant-général des armées du roi le 1er mars 1780[10], et Grand'croix de l'ordre royal militaire de Saint-Louis[10].
Le comte de Melfort mourut en Berry, dans sa terre d'Ivoy-le-Pré[5], au mois d'octobre 1788. Il fut inhumé le 8 octobre dans le chœur de l'église d'Ivoy[2].
Ascendance et postérité[]
32. | |||||||||||||||||||
16. John Drummond, comte de Perth (vers 1584-1662) | |||||||||||||||||||
33. | |||||||||||||||||||
8. James Drummond, comte de Perth (vers 1615-1675) | |||||||||||||||||||
34. | |||||||||||||||||||
17. Jean Kerr | |||||||||||||||||||
35. | |||||||||||||||||||
4. John Drummond (vers 1649-1714), duc de Melfort | |||||||||||||||||||
36. | |||||||||||||||||||
18. George Gordon, marquis de Huntly (1592-1649) | |||||||||||||||||||
37. | |||||||||||||||||||
9. Anne Gordon ( † 1656) | |||||||||||||||||||
38. | |||||||||||||||||||
19. Anne Campbell (1594-1638) | |||||||||||||||||||
39. | |||||||||||||||||||
2. Andrew Drummond (1693-1726), comte de Melfort | |||||||||||||||||||
40. | |||||||||||||||||||
20. William Wallace (1605-1673) | |||||||||||||||||||
41. Margaret Maxwell | |||||||||||||||||||
10. Thomas Wallace (1631-1680), 2e baronnet de Craigie | |||||||||||||||||||
42. Thomas Boyd of Bollinshaw | |||||||||||||||||||
21. Agnes Boyd | |||||||||||||||||||
43. | |||||||||||||||||||
5. Euphemia Wallace (1654-1743) | |||||||||||||||||||
44. | |||||||||||||||||||
22. | |||||||||||||||||||
45. | |||||||||||||||||||
11. Euphemia Gemmill | |||||||||||||||||||
46. | |||||||||||||||||||
23. | |||||||||||||||||||
47. | |||||||||||||||||||
1. Louis Hector Drummond (1721-1788), comte de Melfort | |||||||||||||||||||
48. | |||||||||||||||||||
24. Hélie de Sainte-Hermine, seigneur de La Leigne | |||||||||||||||||||
49. Barbe Goumard | |||||||||||||||||||
12. Hélie, marquis de Sainte-Hermine ( † 1687) | |||||||||||||||||||
50. | |||||||||||||||||||
25. Isabeau de Polignac | |||||||||||||||||||
51. | |||||||||||||||||||
6. Henri Louis, marquis de Sainte-Hermine (1652-après 1706) | |||||||||||||||||||
52. | |||||||||||||||||||
26. Benjamin Le Vallois, marquis de Villète (1582-1661) | |||||||||||||||||||
53. | |||||||||||||||||||
13. Madeleine Le Valois de Villette (née en 1621) | |||||||||||||||||||
54. | |||||||||||||||||||
27. Louise d'Aubigné (1584-1663) | |||||||||||||||||||
55. | |||||||||||||||||||
3. Madeleine Sylvie de Sainte-Hermine (1690-1725) | |||||||||||||||||||
56. | |||||||||||||||||||
28. Guillaume de Morell, sieur de Putanges | |||||||||||||||||||
57. | |||||||||||||||||||
14. Achille de Morell (1616-1687), seigneur de Putanges | |||||||||||||||||||
58. | |||||||||||||||||||
29. Claude Catinat | |||||||||||||||||||
59. | |||||||||||||||||||
7. Marie Geneviève de Morell de Putanges | |||||||||||||||||||
60. | |||||||||||||||||||
30. | |||||||||||||||||||
61. | |||||||||||||||||||
15. | |||||||||||||||||||
62. | |||||||||||||||||||
31. | |||||||||||||||||||
63. | |||||||||||||||||||
- Fils d'Andrew/André Drummond (juin 1693 - Paris Saint Sulpice, 12 février 1726), comte de Melfort, lieutenant-général des armées du roi de France et de Madeleine Sylvie de Sainte-Hermine (1690 - Paris Saint Sulpice, 31 octobre 1725), Louis Hector Drummond épousa, 31 janvier 1759 et contrat du 28 janvier[11], Jeanne Elisabeth de La Porte (28 juillet 1742 - Saint-Germain-en-Laye, 12 août 1783), fille de Pierre Jean-François de La Porte, marquis de Presles, seigneur de Meslay, intendant du Dauphiné[10] et d'Anne Elisabeth Lefebvre de Caumartin[11]. De ce mariage sont issus[10]:
- Louis-Pierre-Milcolombe/Malcolm Drummond, comte de Melfort (1760-1833), maréchal de camp, marié à trois reprises, dont le 26 floréal an III (15 mai 1795) à Paris[2], avec Lady Caroline[10] (paroisse Saint-Georges, Londres, 7 juillet 1766 - 1847), fille de Kenneth Mackenzie (1744-1781), vicomte Fortrose, baron Ardelve (18 novembre 1766), 1er comte de Seaforth (2de création, 1771), il eut :
- une fille[2],
- Louis Charles Marie Mackenzie Drummond (1790-1880), comte de Melfort, chef d'escadron au corps royal d'état-major, chevalier de Saint-Louis, de la Légion d'honneur et de Saint-Ferdinand d'Espagne[10], marié en 1823[n 1],[n 2] à Eudoxie (née Jeanne Marie Thérèse Endora des Cherriers, 1807 - 26 juin 1879), dont il eut trois filles :
- Marie-Caroline ( † 4 avril 1907), compositrice d'opéra, romancière, châtelaine de Bazoilles-sur-Meuse en 1887, mariée le 20 mai 1869 à Paris, avec Gaston, 3e baron Durand de Fontmagne (1821-1877), conseiller général de l'Hérault, chevalier de l'ordre de Saint-Grégoire-le-Grand[2] ;
- Alice Henriette (1826 - Moirans, 26 août 1894), mariée le 2 avril 1852 à Paris, avec Louis Charles Hippolyte Muyart de Vouglans (1814-1885), colonel, chef de la 21e légion de gendarmerie (1862), officier de la Légion d'honneur (21 décembre 1866), dont une fille ;
- Edith (1833 - Menton, (1er mars 1896), mariée le 22 janvier 1853 à Paris avec René de Fleischmann (1826-1864), secrétaire de la légation du Wurtemberg| à Paris : union sans postérité.
- Edouard Louis Helenas Drummond (Amiens, 1801 - entre 1842 et 1844), vicomte de Melfort, page d'honneur du prince Murat[2], ancien capitaine de hussards[10], marié, le 11 janvier 1826, en la chapelle Saint-Louis-de-France (Little George Street, Portman Square, Londres), avec Mary Sabina Naysmith (née en Jamaïque - Nice, 7 mars 1878), protestante[2], dont :
- Annabelle/Arabella-Henriette Drummond de Melfort (Paris la Madeleine, 15 avril 1765 - après 1831), dame pour accompagner de Madame Elisabeth (sœur de Louis XVI, 1789), mariée, le 20 juin 1784, à Versailles et par contrat signé de la famille royale, au comte Edouard Marie de Marguerye de Vierville (Bayeux, 5 septembre 1755 - Exécuté à Paris, 12 prairial an II (31 mai 1794), major de la garde du roi, major en second du régiment de la reine, victime de la Révolution française, dont
- Alfred Marie Edouard de Marguerye de Vierville (Paris Saint Roch, 2 juillet 1785 - 1809), sans alliance ;
- Anne Marie Caroline de Marguerye de Vierville (Paris Notre-Dame-des-Champs, 2 août 1786 - 1861), femme de lettres, mariée, le 31 mai 1802 à Bayeux, avec Eugène Gabriel Texier, comte d'Hautefeuille (1779-1846), maréchal de camp ;
- Louis-Édouard-Geneviève Drummond de Melfort (11 septembre 1767 - 1832), élève à l'École royale Militaire, reçu chevalier de Malte de minorité dans la langue de France (5 février 1777), capitaine d'état-major de la 18e division militaire, chevalier de Saint-Louis, marié, le 7 mai 1817 à Dijon, avec Françoise Baron (née le 18 août 1778 à Dijon), sans enfants.
- Louis-Pierre-Milcolombe/Malcolm Drummond, comte de Melfort (1760-1833), maréchal de camp, marié à trois reprises, dont le 26 floréal an III (15 mai 1795) à Paris[2], avec Lady Caroline[10] (paroisse Saint-Georges, Londres, 7 juillet 1766 - 1847), fille de Kenneth Mackenzie (1744-1781), vicomte Fortrose, baron Ardelve (18 novembre 1766), 1er comte de Seaforth (2de création, 1771), il eut :
Publications[]
- Le gouvernement français adopta, par ordonnances rendues en 1788, 1791 et 1793, plusieurs des manœuvres indiquées dans ce dernier ouvrage ; et elles étaient encore en vigueur en 1823[5]. Le comte de Melfort donna dans le même ouvrage les premières notions sur l'artillerie volante, depuis connue sous les noms d'artillerie légère et d'artillerie à cheval : cette arme a beaucoup contribué aux brillants succès des armées françaises dans les guerres de la Révolution et de l'Empire[5].
Distinctions[]
Titres[]
- Comte de Melfort (titre français[13], 12 février 1726 – 6 octobre 1788) ;
- Seigneur d'Ivoy-le-Pré[2],
- Seigneur de Lussan et de Valerose[14].
Décorations[]
![]() |
- Ordre royal et militaire de Saint-Louis :
- Commandeur (25 août 1779)[9], puis,
- Grand-croix de Saint-Louis (1787)[2],[14].
Hommage, honneurs, mentions,...[]
Héraldique[]
Armoiries | Blasonnement | |
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Armes des Drummond de Melfort
Écartelé : 1 et 4, d'or, à trois fasces ondées de gueules (Drummond); 2 et 3, d'azur, au lion d'argent, enclos dans un double trescheur fleuronné et contre-fleuronné du même[14],[15],[11]. |
Notes et références[]
- ↑ 1,0 1,1 1,2 1,3 1,4 et 1,5 Courcelles-généraux 1823, p. 417.
- ↑ 2,00 2,01 2,02 2,03 2,04 2,05 2,06 2,07 2,08 et 2,09 Roglo 2012.
- ↑ 3,0 3,1 3,2 3,3 3,4 3,5 3,6 et 3,7 Courcelles-généraux 1822, p. 316.
- ↑ Généanet Pierre de LAUBIER.
- ↑ 5,0 5,1 5,2 5,3 et 5,4 Courcelles-généraux 1823, p. 418.
- ↑ 6,00 6,01 6,02 6,03 6,04 6,05 6,06 6,07 6,08 et 6,09 Courcelles-généraux 1822, p. 317.
- ↑ Saint-Allais 1840, p. 82.
- ↑ Saint-Allais 1840, p. 83.
- ↑ 9,0 et 9,1 Courcelles-généraux 1822, p. 318.
- ↑ 10,0 10,1 10,2 10,3 10,4 10,5 et 10,6 Saint-Allais 1840, p. 84.
- ↑ 11,0 11,1 et 11,2 La Chenaye et Badier 1865, p. 50.
- ↑ Laughton 1895, p. 271.
- ↑ Généanet Pierfit.
- ↑ 14,0 14,1 et 14,2 Bunel 2011, p. Ordre de Saint-Louis.
- ↑ Dubuisson 1757.
Annexes[]
Articles connexes[]
- Liste des grands-croix de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis ;
- Régiment de La Marche (1684) ;
- Régiment d'Orléans cavalerie ;
- Légion Royale ;
Liens externes[]
- « Louis Hector Drummond » , sur le site de Généalogie - Roglo, base de donnée généalogique [fiche] ;
- « Louis-Hector * Drummond » , sur le site de Généanet, base de donnée généalogique ;
- « Louis Hector DRUMMOND » , sur le site de Généanet, base de donnée généalogique ;
- Arnaud BUNEL, « Armorial de l'Ordre de Saint-Louis », Louis de Drummond, sur ordresaintlouis.blogspot.fr, blogspot par Blogger, 01/07/2011 (consulté le 07/09/2014) ;
Bibliographie[]
: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
- Pierre Paul Dubuisson, Armorial des principales maisons et familles du royaume, de Paris et de l'Île de France, Edizioni Orsini de Marco, 1757 (réimpr. 2007) (ISBN 978-88-7531-088-2) ;
- « DRUMMOND (Louis), comte de Melfort », Jean Baptiste Pierre Jullien de Courcelles, Dictionnaire historique et biographique des généraux français : depuis le onzième siècle jusqu'en 1820, vol. V [détail des éditions] [lire en ligne], p. 316
;
- « DE MELFORT (Louis-Hector), comte de Drummond de Melfort », Jean Baptiste Pierre Jullien de Courcelles, Dictionnaire historique et biographique des généraux français : depuis le onzième siècle jusqu'en 1820, vol. VII [détail des éditions] [lire en ligne], p. 417
;
- Nicolas de Saint-Allais, Nobiliaire universel de France, ou Recueil général des généalogies historiques des maisons nobles de ce royaume, l’auteur, 1840, 546 p. [lire en ligne (page consultée le 14 septembre 2013)], p. 86
;
- André Borel d'Hauterive, Revue historique de la noblesse, vol. 2, Bureau de la publication, 1841 [lire en ligne], p. 96 ;
- La Chenaye et Badier, Dictionnaire de la noblesse : contenant les généalogies, l'histoire et la chronologie, des familles nobles de la France, l'explication de leurs armes et l'état des grandes terres du royaume, possédées à titre de principautés, duchés, marquisats, comtés, vicomtés, baronies, Sc., par création, héritages, alliances, donations, substitutions, mutations, achats ou autrement., t. VII, Chez Schlesinger frères, libraires-éditeurs, 1865, 3e éd. [lire en ligne], p. 50 ;
- (en) J. K. Laughton, « Pellew, Sir Fleetwood Broughton Reynolds (1789-1861) », dans Dictionary of National Biography, Oxford University Press, 1895 [lire en ligne] ;
Louis Hector Drummond Clan Drummond
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Titre de noblesse | ||
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Précédé par André Drummond de Melfort |
(12 février 1726 – 6 octobre 1788) |
Suivi par Louis Pierre Milcolombe Drummond |
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