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Duc de Lorges | |
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Armes des ducs de Lorges : Écartelé: aux 1 et 4, d'argent, à la bande d'azur (Durfort); aux 2 et 3, de gueules, au lion d'argent (Lomagne), au lambel de gueules en chef, brochant sur les deux premiers quartiers[1],[2],[3]. |
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Création | 1706 |
Premier titulaire | Guy Nicolas de Durfort |
Résidence officielle | Château de Quintin Château de Randan Château de Lorge |
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Lorges, en Beauce (France), était, sous l'Ancien Régime, une seigneurie puis un comté ayant appartenu à la famille de Montgomery puis à la maison de Durfort.
Historique[]
Lyonne de Lodes, dame héritière de Lorges, fille de Guillaume de Lodes († 1464), seigneur de Vez et de Huguette de Jaye, apporta, lors de son mariage le 25 août 1481 à Blois[4],[5], la seigneurie de Lorges-en-Beauce à son époux, Robert de Montgomery. Au puîné, Jacques Ier, il était réservé de continuer la lignée des nouveaux seigneurs de Lorges[6].
Jacques Ier de Montgommery fait ériger Lorges en châtellenie en février 1551[7].
La baronnie de Quintin, en Bretagne, fut érigée en duché non pairie par lettres d'érection de 1691, enregistrées les 31 mars et 12 octobre de la même année. La « transmutation » du titre de ducs de Quintin en celui de ducs de Lorges, en Orléanais eut lieu par lettres de 1706[8].
Par lettres patentes du 25 mars 1773[5], Adélaïde Philippine de Durfort de Lorges, en qualité d'héritière de sa branche, eut la permission de transmettre le duché de Lorges à son mari, Jean-Laurent de Durfort-Civrac (1746-1826).
La succession de Guy Louis de Durfort de Lorges donne lieu à un procès auquel met fin un arrêt du roi du 29 septembre 1778. Quintin, qui cesse d'être duché pour redevenir baronnie reste aux Choiseul-Praslin, tandis qu'une terre, située en Orléanais et érigée en Duché de Lorges, est confiée à la descendance de Adélaïde Philippine et Jean-Laurent[9].
Jean-Laurent de Durfort-Civrac est appelé à la chambre des pairs le 4 juin 1814[3] (pair « à vie »). Il est fait duc et pair pair héréditaire le 31 août 1817[3].
Le titre ducal de Lorges est encore porté en 2012.
Seigneurs de Lorges[]
- Lionne de Lodes, dame héritière de Lorges, fille de Guillaume de Lodes († 1464), seigneur de Vez et de Huguette de Jaye, mariée, le 25 août 1481 à Blois[4],[5], avec Robert (alias René) de Montgomery († 1486), seigneur de Cormainville (Dunois (Orléanais)) ; de Lorges (Beauce) et de Vé (près de Crépy-en-Valois) par mariage[10] ;
- Jacques Ier de Montgommery (vers 1485-1560), fils des précédents, seigneur de Lorges et de Bourgbarré[n 1], capitaine des gardes du corps du Roi, colonel de l'infanterie française de François Ier ;
- Gabriel Ier de Montgommery (vers 1530-1574), fils du précédent et de Claude de La Bouexière, dame de Ducey, comte de Montgommery, seigneur de Lorges, seigneur de Ducey, capitaine des gardes du corps du Roi ;
- Jacques II de Montgommery (vers 1554-1609), fils du précédent et d'Isabeau de La Tousche (née vers 1529), seigneur de Lorges, capitaine des gardes du corps du Roi ;Il dut vendre la seigneurie de Bourgbarré, comme son père Gabriel avait déjà vendu la terre de La Vairie en 1570, à Antoine de la Bouëxière[5].
- Marguerite de Montgommery (1585-1606), fille du précédent et de Perronelle de Champagne-La Suze dame de Bazoges (vers 1551 - après 1585), dame de Lorges, mariée le 20 mai 1603 avec Jacques de Durfort (1547-1626), 1er marquis de Duras (février 1609), baron de Blanquefort, 1er comte de Rauzan (25 octobre 1625), capitaine de 50 hommes des ordonnances du roi, conseiller d'État sous Henri IV de France, dont :
- Guy Aldonce Ier de Durfort (1605-1665), fils des précédent, 2e marquis de Duras, 2e comte de Rauzan, seigneur de Lorges, maréchal de camp, capitaine des gardes du corps du Roi, marié le 27 juin 1619 avec Elisabeth de La Tour d'Auvergne (1606-1685), dont :
Comtes de Lorges[]
- Guy Aldonce II de Durfort (1630-1702), troisième fils du précédent, comte de Lorges, baron de Quintin (par acquêt, le 27 septembre 1681), 1er duc de Quintin (31 mars 1691, dit duc de Lorges), maréchal de France, capitaine des gardes du corps du Roi, chevalier du Saint-Esprit, marié le 19 mars 1676 avec Geneviève de Frémont d'Auneuil (1658-1717), dont :
- Guy Nicolas de Durfort (20 février 1683 - Chaillot, 3 mars 1758), fils du précédent, 2e duc de Quintin (1702), comte de Lorges (1702) ;
Ducs de Lorges[]
1re création[]
- Guy Nicolas de Durfort (20 février 1683 - Chaillot, 3 mars 1758), 2e duc de Quintin (1702), comte puis 1er duc de Lorges (« transmutation » en 1706), capitaine des gardes du corps du roi, marié le 14 décembre 1702 avec Geneviève Chamillart (1685-1714), dont :
- Son fils aîné renonce à la succession[9] : 'Guy Michel de Durfort (1704-1773), duc de Randan (1740), maréchal de France, chevalier du Saint-Esprit ;
- Guy Louis de Durfort (18 février 1714 - Paris 10 décembre 1775), fils cadet du précédent, 2e duc de Lorges, lieutenant général des armées du roi (10 mai 1748), marié, le 26 février 1737 à Avessac, avec Marie Butault de Marsan (1718-1788), dont :
- Guyonne Marguerite Philippine de Durfort-Lorges (26 décembre 1739 - 26 février 1806), dame surnuméraire (1757-1767) de la dauphine Marie-Josèphe de Saxe, dame du palais (1770-1774) de la dauphine Marie Antoinette, dame du palais (1774-1789) de la reine Marie Antoinette d'Autriche, mariée le 30 janvier 1754 avec Renaud César de Choiseul (1735-1791), duc de Praslin, dont postérité ;
- Guy Augustin (30 août 1740 - 20 février 1754) ;
- Adélaïde Philippine (16 septembre 1744 - Château de Fontpertuis (Lailly-en-Val, Loiret), 13 décembre 1819), dame pour accompagner la Dauphine (1762), puis dame d'honneur (1774-1789) de la comtesse d’Artois (Marie-Thérèse de Savoie), mariée, le 22 mai 1762 au château de Fontpertuis, avec Jean-Laurent de Durfort-Civrac (1746-1826), 1er duc de Lorges ;
- Guy Michel (10 janvier 1751 - 24 juillet 1753).
2e création[]
- Jean-Laurent de Durfort-Civrac (Lamothe-Montravel, 7 juillet 1746 - Rambouillet, 4 octobre 1826), 1er duc de Lorges (1776-1826), menin du dauphin, lieutenant général, pair de France (Chambre des pairs) (1814), chevalier du Saint-Esprit, chevalier de Saint-Louis, marié, le 22 mai 1762 au château de Fontpertuis, avec Adélaïde Philippine de Durfort (1744-1819), dont :
- Guy Émeric Anne de Durfort-Civrac (Paris, 25 juin 1767 - Fontpertuis (Lailly-en-Val), 6 octobre 1837), fils du précédent, duc de Civrac (1815-1867)[n 2], 2e duc de Lorges (1826-1867), capitaine au régiment de Royal-Piémont Cavalerie (1788), marié, le 17 février 1801 à Klagenfurth (Carinthie), avec Anne de Jaucourt (1775-1853), dont :
- Emeric Laurent Paul Guy de Durfort-Civrac (3 mai 1802 - 15 septembre 1879), fils du précédent, 3e duc de Lorges (1837-1879), chevalier de l'ordre du Saint-Sépulcre de Jérusalem (20 juillet 1859), marié le 15 janvier 1823 avec Émilie Léonie (1802-1844), fille cadette de Charles Louis Yves du Bouchet de Sourches (1768-1815), marquis de Tourzel, 6e marquis de Sourches (1786), grand prévôt de France ;
- Louis Anne Paul de Durfort-Civrac (28 octobre 1828 - 21 juin 1872), « comte de Lorges », marié, le 9 février 1858, avec Adélaïde de Nicolaÿ (1839-1882), dont :
- Marie Louis Aymard Guy de Durfort-Civrac (1861-1912), qui suit ;
- Marie Louis Augustin Augustin de Durfort-Civrac (1838-1911), vicomte de Durfort, conseiller général du canton de Riaillé, marié, le 30 mai 1864, avec Anne Eugénie de Montmorency-Luxembourg (1840-1922), dont
- Marie Louis Pierre de Durfort-Civrac (1872-1943), saint-Cyrien (promotion Jeanne d'Arc : 1893-1895), capitaine de cavalerie (en retraie), chevalier de la Légion d'honneur (janvier 1917), marié, le 26 juin 1901 à Paris, avec Marguerite de Montault (1881-1963) dont :
- Armand Marie Joseph Odet de Durfort-Civrac (1902-1996), 7e duc de Lorges ;
- Marie Louis Pierre de Durfort-Civrac (1872-1943), saint-Cyrien (promotion Jeanne d'Arc : 1893-1895), capitaine de cavalerie (en retraie), chevalier de la Légion d'honneur (janvier 1917), marié, le 26 juin 1901 à Paris, avec Marguerite de Montault (1881-1963) dont :
- Louis Anne Paul de Durfort-Civrac (28 octobre 1828 - 21 juin 1872), « comte de Lorges », marié, le 9 février 1858, avec Adélaïde de Nicolaÿ (1839-1882), dont :
- Marie Louis Aymard Guy de Durfort-Civrac (Montfort-le-Rotrou, 9 septembre 1861 - Londres, 26 juillet 1912), petit-fils du précédent, 4e duc de Lorges (1879-1912), marié, le 30 août 1888 à Paris, avec Anne Marie Henriette (1865-1934), fille de Henri Charles Anne Marie Timoléon de Cossé-Brissac (1822-1887), 11e prince de Robech ;
- Guy de Durfort-Civrac (1890-1915), fils du précédent, 5e duc de Lorges (1912-1915) ;
- Paul Louis Robert Marie de Durfort-Civrac (Paris VIIe, 15 juillet 1891 - Sablé-sur-Sarthe, 22 mars 1972), frère du précédent, 6e duc de Lorges (1915-1972), marié puis divorcé, sans postérité ;
- Armand Marie Joseph Odet de Durfort-Civrac (Paris VIIe, 24 avril 1902 - 18 juin 1996), cousin du précédent, 7e duc de Lorges (1972-1996), saint-Cyrien (promotion du Chevalier Bayard : 1923-1925), capitaine de cavalerie, vice-président pour la France de l'Ordre de Malte et grand-croix de l'Ordre, maire de Saint-Hilaire-de-Chaléons (1935-1945), marié, le 8 juin 1926 à Juigné-sur-Sarthe avec Colette Marie Alix Eugénie Le Clerc de Juigné (Paris, 11 octobre 1902 - Château de Juigné-sur-Sarthe, 20 février 1989), chevalier de la Légion d'honneur, dame de grâce et de dévotion de l'ordre souverain de Malte, fille de Jacques Le Clerc de Juigné (1874-1951), marquis de Juigné et Madeleine Schneider (1880-1967)
- Jacques-Henri de Durfort-Civrac (né le 6 octobre 1928 à Paris), fils du précédent, 8e duc de Lorges (depuis 1996), comte de Durfort, marié, en 1959 à Juigné-sur-Sarthe, avec Cécile du Temple de Rougemont (1936-2000), fille du général Jean-Louis du Temple de Rougemont, dont postérité.
Châteaux[]
Annexes[]
Les Montgommery ont donné leur nom à Sainte-Foy-de-Montgommery et à Saint-Germain-de-Montgommery. Lorsque de Roger II de Montgommery s'installe en Angleterre, le nom de famille a été anglicisé et ce dernier perd un « m »[réf. à confirmer][11].
Lorsque René de Montgommery revient en France dans les années 1480, le nom regagne les deux « m », comme il a toujours été auparavant[réf. à confirmer][11]. Il est d'usage de conserver un seul « m » pour les Montgommery de la branche anglo-saxonne et deux « m » pour les descendants de René de Montgommery qui sont rentrés en France[réf. à confirmer][11].
On trouve :
- Montgomery
- Écartelé: aux 1 et 4, d'azur, à trois fleurs-de-lis d'or (Montgomery) ; aux 2 et 3, de gueules, à trois bagues d'or, chatonnées d'azur (Eglinton)[1],[12].
- Montgomerie
- Écartelé: aux 1 et 4, d'azur, à trois fleurs-de-lis d'or (Montgomerie) ; aux 2 et 3, de gueules, à trois bagues d'or, chatonnées d'azur (Eglinton (en)). L'écu entouré d'une bordure d'or, ch. d'un double trêcheur fleuronné et contre-fleuronné de gueules (Seton)[1],[12].
- Montgomery
- Écartelé: aux 1 et 4, contre-écartelé, d'azur à la bande d'or, acc. de six croix recroisettées au pied fiché du même, rangées en orle (comté de Mar), et d'or à une frette de gueules (baronnie de Lisle); aux 2 et 3, d'argent, à la fasce d'azur, ch. de trois étoiles du champ (Mure). Sur le tout écartelé, d'azur à trois fleurs-de-lis d'or (Montgomery), et de gueules à trois bagues d'or, chatonnées d'azur (Eglinton)[1],[12].
- Montgomery
- Les armes de Montgomery comte d'Eglinton et de Winton. Sur le tout de gueules à une épée d'argent, garnie d'or, posée en bande, et une sceptre d'or, brochant en barre, passés en sautoir[1],[12].
- Cimier : une main gantelée au naturel en pal tenant un poignard en fasce la pointe vers senestre la main soutenue d’un chapeau de tournoi de gueules retroussé d’hermine[12].
- Supports : à dextre un dragon ailé de sinople colleté d’une couronne de vicomte anglais à senestre un ange habillé d’azur ceint chevelé et ailé d’or portant un baudrier de gueules auquel estsuspendu une épée dans sa gaine[12].
- Devise : « Honneur sans repos[12] »
- Montgomery de Magbie-Hill
- Écartelé: aux 1 et 4, d'azur, à trois fleurs-de-lis d'or (Montgomery); aux 2 et 3, de gueules, à trois bagues d'or, chatonnées d'azur (Eglinton). A la croix ondée d'or, brochant sur l'écartelé[1],[12].
- Montgomery de Skelmorlie (en)
- D'azur, à trois fleurs-de-lis d'or[1],[12].
- Montgommery
- Écartelé, de sable à trois fleurs-de-lis mal-ordonnées d'or, et de gueules à trois bagues mal-ordonnées d'or. L'écu entouré d'une bordure de gueules, bordée à l'intérieur et à l'extérieur d'or, chacune de ces orles chargée de huit couronnes à l'antique de gueules, et la bordure de gueules chargée en outre d'une troisième orle d'or entre les deux autres[1].
- Montgommery
- Écartelé: au 1, d'azur, au lion d'or, armé et lampassé d'argent, à la bordure d'or; au 2, de sinople, à un chevalier, armé de toutes pièces, tenant une épée d'or en barre, la pointe en bas, et monté sur un cheval galopant d'argent, bridé et sellé de gueules, la selle frangée d'or; au 3, d'or, à un paon au naturel, posé sur une terrasse de sinople; au 4, d'azur, à trois fleurs-de-lis d'or[1].
- Montgommery
- (À cette famille appartenait Gabriel Ier de Montgomery qui eut le malheur de blesser mortellement Henri II, roi de France dans un tournoi l’an 1574) Écartelé au 1 d’azur au lion d’or armé et lampassé d’argent à la bordure d’or au 2 de sinople à un chevalier armé de toutes pièces tenant une épée d’or en barre la pointe en bas et monté surun cheval galopant d’argent bridé et sellé de gueules la selle frangée d’or au 3 d’or à un paon au naturel posé sur une terrasse de sinople au 4 d’azur à trois fleurs-de-lis d’or[12]
- Cimier : un château sommé d’un ange issant couronné d’or tenant de sa main dextre une ancre et de sa senestre une épée accosté de bannières blanches semées de fleurs-de-lis et chargées en coeurd’une aigle éployée d’azur[12].
- Supports : deux lions d’or armés et lampassés d’argent colletés de couronnes à l’antique[12].
- Devise : « Gardez bien[12] ! »
- Montgommery
- Écartelé de sable à trois fleurs-de-lis mal-ordonnées d’or et de gueules à trois bagues mal-ordonnées d’or L’écu entouré d’une bordure de gueules bordée à l’intérieur et à l’extérieur d’orchacune de ces orles chargée de huit couronnes à l’antique de gueules et la bordure de gueules chargée en outre d’une troisième orle d’or entre les deux autres[12].
- Cimier : un bras armé au naturel posé sur le coude tenant une lance de tournoi en barre[12].
- Montgommery (première croisade)
- Philippe, nous dit Orderic Vital, mourut à Antioche en 1098. La généalogie de cette famille mentionne que Guillaume et Guy de Montgommery se croisèrent avec Louis le Jeune en 1147. Ils portaient : D’azur au lion d’or armé et lampassé d’argent[12].
Notes et références[]
- ↑ La seigneurie de Bourgbarré était possédée au commencement du XVe siècle par la famille de La Bouëxière puis passa par Claude de la Bouëxière à son mari, Jacques Ier de Montgommery, seigneur de Lorges, qui en confia la gestion à Antoine de La Bouëxière, seigneur de Beauvais, parent de sa défunte femme. Source : Amédée Guillotin de Corson.
- ↑ Un brevet du 3 février 1815 l'autorise à prendre sa vie durant le titre de duc de Civrac.
- ↑ 1,0 1,1 1,2 1,3 1,4 1,5 1,6 1,7 et 1,8 Rietstap 1884.
- ↑ Popoff 1996, p. 57.
- ↑ 3,0 3,1 et 3,2 Velde 2005, p. Lay peers.
- ↑ 4,0 et 4,1 Vallas 1987, p. 229.
- ↑ 5,0 5,1 5,2 et 5,3 Roglo 2012.
- ↑ Marlet 1890.
- ↑ Belleval 1900.
- ↑ Courcelles 1827, p. 302.
- ↑ 9,0 et 9,1 Frey 2012, p. Quintin.
- ↑ Pattou 2006, p. 7.
- ↑ 11,0 11,1 et 11,2 Roglo Gabriel de Montgommery.
- ↑ 12,00 12,01 12,02 12,03 12,04 12,05 12,06 12,07 12,08 12,09 12,10 12,11 12,12 12,13 12,14 12,15 12,16 12,17 12,18 12,19 12,20 12,21 12,22 et 12,23 Pattou 2006, p. 11.
Articles connexes[]
- Maison de Durfort ;
- Famille de Montgommery ;
- Armorial des maréchaux de France ;
- Liste des chevaliers de l'ordre du Saint-Esprit ;
- Liste des duchés français ;
- Liste des comtés français ;
Liens externes[]
- « ... de Lorge », sur roglo.eu (consulté le 19 avril 2012) ;
- « ... de Lorges », sur roglo.eu (consulté le 21 avril 2012) ;
- « Gabriel de Montgommery », sur roglo.eu (consulté le 24 avril 2012) ;
- (en) François Velde, « Armory of the French Hereditary Peerage (1814-30) », Lay Peers, sur www.heraldica.org, 27 septembre 2005 (consulté le 18 juin 2011) ;
- [PDF] Étienne Pattou, « racineshistoire.free.fr », Famille de Montgomery, 2006 (consulté le 28 mars 2011) ;
- Roger Frey, « Quintin », Canton de Quintin, sur www.infobretagne.com (consulté le 25 avril 2012) ;
- André Decloitre, « ... de Lorge », sur gw1.geneanet.org (consulté le 30 avril 2012) ;
- Henri Frebault, « ... de Lorges », sur gw1.geneanet.org (consulté le 30 avril 2012) ;
- Pierfit, « ... de Lorges », sur gw3.geneanet.org (consulté le 30 avril 2012) ;
- « Ducs de Lorge », sur www.geneall.net (consulté le 30 avril 2012) ;
Bibliographie[]
: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
- « Durfort », Jean Baptiste Pierre Jullien de Courcelles, Histoire généalogique et héraldique des pairs de France : des grands dignitaires de la couronne, des principales familles nobles du royaume et des maisons princières de l'Europe, précédée de la généalogie de la maison de France, vol. VIII [détail des éditions], p. 292-308 , 1827, 378 p. [lire en ligne], p. 292-308
;
- Jean-Baptiste Rietstap, Armorial général, t. (I & II), Gouda, G.B. van Goor zonen, 1884-1887 [lire en ligne] « et ses Compléments », sur www.euraldic.com (consulté le 23 décembre 2011) ;
- Michel Popoff et préface d'Hervé Pinoteau, Armorial de l'Ordre du Saint-Esprit : d'après l'œuvre du père Anselme et ses continuateurs, Paris, Le Léopard d'or, 1996, 204 p. (ISBN 2-86377-140-X) ;
- Léon Marlet, Le comte de Montgomery, Picard, 1890, 188 p. [lire en ligne] ;
- Hector de Masso, comte La Ferrière-Percy, Le journal de la comtesse de Sanzay : interieur d'un chateau normand au XVIe siècle, A. Aubrey, 1859, 189 p. [lire en ligne], p. 91 ;
- René, marquis de Belleval, Les derniers Valois : François II, Charles IX, Henri III, H. Vixen, 1900, 680 p. [lire en ligne] ;
- Maurice Vallas, La Coutume de Blois, Fernand Lanore, 1987, 252 p. (ISBN 9782851570369) [lire en ligne], p. 229 ;
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