Aigles et Lys
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Emmanuel Félix de Wimpffen
Nadar, Général Wimphen, vers 1910, d'après des prises de vue réalisées entre 1870 et 1884
Nadar, Général Wimphen, vers 1910, d'après des prises de vue réalisées entre 1870 et 1884

Surnom Felix II von Wimpffen[1]
Naissance 13 septembre 1811
Laon (Aisne)
Drapeau de l'Empire français Empire français
Décès 25 février 1884 (à 72 ans)
Paris
Drapeau français République française
Origine Drapeau de l'Alsace Alsacienne
Allégeance Drapeau français Royaume de France
Drapeau français République française
Drapeau français Empire français
Arme Infanterie
Grade Général de division
Années de service 18321870
Conflits Conquête de l'Algérie
Guerre de Crimée
Campagne d'Italie (1859)
Guerre franco-prussienne (1870)
Commandement 1er régiment de tirailleurs algériens
Division d'Alger
Division d'Oran
Armée de Châlons (1870)
Faits d'armes Alma
Inkermann
Malakoff
Magenta
Expédition de l'Oued Guir
Distinctions Légion d'honneur
Ordre des Sts-Maurice-et-Lazare
Ordre du Bain
Ordre du Médjidié
Famille Famille von Wimpffen

Général de division

Emmanuel-Félix, 2e baron de Wimpffen (Laon, 13 septembre 1811Paris, 25 février 1884), est un général français du XIXe siècle.

Après avoir participé à la conquête française de l'Algérie, totalisant près de seize ans de campagnes en quatre séjours, entre-coupés par les guerre de Crimée (avril 1856-mai 1856) et campagne d'Italie (1859)[2], il est appelé à prendre le commandement de l'armée de Châlon (1870), en remplacement du maréchal Mac-Mahon blessé. C'est à lui que revient le devoir de signé la capitulation à l'issue de la bataille de Sedan.

Biographie[]

Emmanuel-Félix de Wimpffen naquit à Laon rue Saint-Martin, dans la maison en face de la rue des Échos, le 13 septembre 1811[3]. Appartenant à une famille d'ancienne chevalerie d'Alsace[4], il était l'unique fils de Félix, baron de Wimpffen (1778-1813), colonel du 2e régiment d'infanterie[5] mort précocement.

D'abord élève de l'école royale militaire de La Flèche, le jeune de Wimpffen intègra Saint-Cyr[6] en novembre 1829[2] avec la 12e promotion. Il dut parfaire sa formation avec la promotion suivante[7] et sortit de l'École sous-lieutenant au 49e régiment d'infanterie en octobre 1832, devint lieutenant au 65e régiment d'infanterie en 1837 puis capitaine en 1840[6].

Afrique[]

Wimpffen fera une grande partie de sa carrière en Afrique[8], totalisant près de seize ans de campagnes en quatre séjours : 1834-1835, 1842-1853 et 1865-1870[2], et passera douze années au sein des tirailleurs algériens[6].

Chef de bataillon au 44e régiment d'infanterie en 1847, lieutenant-colonel au 68e régiment d'infanterie en septembre 1851, il fut promu colonel du 28e régiment d'infanterie en août 1853, puis du régiment de tirailleur algériens, mis sur pied pour la Crimée en mars 1854.

Il effectua ainsi en Algérie une brillante carrière qui lui valut cinq citations[6] de 1842 à 1849[2].

Théodore Jung - Bataille d'Inkermann, le 5 novembre 1854

Théodore Jung, Bataille d'Inkermann, le 5 novembre 1854, aquarelle, musée de l'Armée (Paris).

À la tête du régiment spécial de « turcos » qu'il avait formé et conduit en Crimée, il se couvrit de gloire à l'Alma (20 septembre 1854) et à Inkermann (5 novembre suivant). Wimpffen, général de brigade depuis le 17 mars 1855, commandant la 1re brigade de la 2e division du 2e corps, se distingua[6] également à la prise du Mamelon Vert à Sébastopol le 7 juin suivant[8], ainsi qu'à l'assaut de Malakoff[9]. Il y est cité trois fois[2].

Attaché à la garde impériale, où il commande une brigade, il fit avec distinction la campagne d'Italie en 1859[10] aux côtés du général MacMahon[8]. Il fut blessé à Magenta[9] d'un coup de baïonette à la tête[6], en conduisant l'attaque de droite (4 juin). Promu général de division le lendemain, le commandement des troupes de toutes les armes destinées à débarquer à Venise lui fut confié.

Entre cette campagne et celle de 1870, Wimpffen fut employé principalement en Algérie[8]. Commandeur de la Légion d'honneur depuis le 21 août 1854, il fut nommé grand officier le 12 août 1861[10].

Inspecteur général entre 1860 et 1866, commandant d'une division d'infanterie à Lyon en 1860[10], il prit le commandement de la province d'Alger en mars 1865, puis celle d'Oran en mai 1869.

Expédition de l'oued Guir[]

L'Univers illustré (4 juin 1870) détail

La colonne expéditionnaire du général Wimpffen attaque l'oasis d'Aïn Chaïr, L'Univers illustré, une du 4 juin 1870 (détail).

C'est à cette époque que des « tribus pillardes » profitaient de la faiblesse du sultan du Maroc pour entretenir un foyer de rébellion dans le Sahara algérien, dans la vallée de l'oued Guir, à 560 kilomètres à vol d'oiseau d'Oran[11]. Wimpffen diriga avec une grande habileté l'expédition contre les insurgés[12].

Il organisa une colonne d'au moins 3 000 hommes et 2 000 chevaux[11]. À partir d'Oran, il la conduisit vers Aïn Sefra, Beni Ounif (face à la ville marocaine de Figuig), puis Béchar et enfin Abadla, soit un périple de pratiquement 700 km)[11].

« Cette colonne... en plein désert, écrit Rinn, inquiéta plus les diplomates du Quai d'Orsay qu'elle ne chagrina l'Empereur du Maroc. Ce dernier fit dire à notre ministre à Tanger qu'il ne voyait aucun inconvénient à ce que nous allions faire notre police en poursuivant des gens qui ne lui obéissait pas. Cette à cette expédition que nous avons dû, en 1871, de voir la province d'Oran rester calme et tranquille, alors qu'à l'Est du méridien d'Alger, tout était à feu et à sang[6]. »

Bataille de Sedan[]

Les négotiations pour une capitulation dans la nuit du 1er au 2ème septembre 1870 à Donchéry

Anton von Werner, Les négotiations pour une capitulation dans la nuit du 1er au 2 septembre 1870 à Donchéry. huile sur toile. Collection particulière. Debout, le général de Wimpffen est sur ​​le point de quitter la salle après qu'il ait rejeté les conditions de Moltke et Bismarck[1].

Laissé sans commandement en 1870, Wimpffen fut néanmoins rappelé d'Oran, le 22 août, afin de remplacer à la tête du 5e corps d'armée le général de Failly[9] dont les batailles précédentes ont révélé l'incapacité[8]. Wimpffen était pourvu d'une lettre de Palikao le nommant général en chef de l'armée de secours en cas d'indisposition du maréchal Mac-Mahon[9],[8], mais aussi, sans doute[13], pour imposer à l'armée la stratégie de l'impératrice-régente et de Palikao (emmener l'armée de Châlons au secours du populaire maréchal Bazaine à Metz[13]) à la première occasion favorable[13].

Article détaillé : Bataille de Sedan.

Wimpffen arriva sur le front dans la nuit du 31 août[12], suffisamment à temps pour rallier les fuyards du 5e corps lamentablement battu à Beaumont, et les fit marcher sur Sedan[8].

Dans la désastreuse bataille du 1er septembre, MacMahon fut blessé dès le début des combats. Le général Ducrot, à qui MacMahon avait donné le commandement[12], commença à faire battre en retraite les troupes françaises[8]. Wimpffen produisit alors l'ordre qui le nommait commandant en chef[14],[8], et prit, « au pied levé[15] », le commandement effectif en pleine bataille de Sedan. Tentant de sauver la situation sur le terrain[12], le nouveau commandant contredit l'ordre de repli sur Mézières donné par Ducrot.

Quelques portraits
Haut : Gustave Le Gray, Portrait du général de Wimpffen, commandant un brigade de la Garde, 1857. BnF
Bas : Le général de Wimpffen en 1870 ; L'Illustration du 1er mars 1884.
Gustave Le Gray, Portrait du général de Wimpffen, commandant un brigade de la Garde, 1857. BnF.
ANTIQUE PRINT, FRANCO-PRUSSIAN WAR, GENERAL WIMPFFEN 1870 Wimpffen - L'Illustration (1er mars 1884)

En effet, Wimpffen espèrait encore une victoire[13], espoir entretenu de façon assez inconsidérée[13] par la seule bonne tenue des troupes de marine à Bazeilles. Il conçoit le projet fou[13] de reprendre l'offensive à cet endroit et d'exploiter une hypothétique percée à travers le 1er corps bavarois (en) du général von der Tann, pour faire sortir, par Balan, toute l'armée de la nasse et la lancer vers Montmédy[13]. Il rassembla à cet effet 4 000 hommes[15]. Mais ses résolutions héroïques ne changèrent pas le cours de la bataille[12]. Il n'avait pas vu que l'offensive du 1er corps bavarois n'était qu'un leurre visant à masquer la stratégie allemande : le mouvement tournant qui allait fermer, notamment par le bois de la Garenne, toute possibilité de ravitaillement et de retraite[13].

L'armée allemande finit par encercler l'ensemble de l'armée qui se replia sur la citadelle de Sedan[16]. Au matin du 2 septembre, Napoléon III fit hissé le drapeau blanc sur la citadelle de Sedan[12] : c'était la capitulation. Le général Wimpffen chercha en vain à se dérober de ses responsabilités[13] : sa démission fut refusée par l'empereur[13].

Peu après, il fallut à Wimpffen, en sa qualité de commandant en chef, négocier et signer l'acte de reddition[8],[17],[13],[9] au château de Bellevue le 2 septembre 1870[18] à 11 h[13]. Le document était conforme en tous points aux exigences de l'état-major prussien qui n'avait rien laissé à la négociation[13].

Cette bataille, qui vit l’anéantissement de l'armée de Châlons, coûta 124 000 hommes à la France[n 1].

Wimpffen fut ensuite emmené comme prisonnier en Allemagne[17],[9] et interné à Stuttgart[12]. Il n'exercera plus de commandement après cette date[2].

Rentré en France après sa sortie de captivité, le général de Wimpffen fut sur le point d'être fusillé par la Commune[15], avant de comparaître devant la commission chargée d'enquêter sur les responsabilités de la capitulation[9]. Le 4 janvier 1872, le Conseil d'enquête sur les Capitulations le loua pour son attitude à Sedan, mais le blâma vivement pour avoir consenti, lors des négociations, à ce que les officiers français qui donneraient leur parole d'honneur de ne pas servir l'ennemi pendant la guerre puissent se retirer dans leur foyer, séparant ainsi leur sort de celui de leur subordonnés[15].

Un fois libéré, vivant retiré à Alger[8], il est victime de cabales et d'attaques qui ciblent sa responsabilité dans la défaite de Sedan[17], la responsabilité de la défaite retombant sur lui[19]. Cette polémique le conduira à provoquer en duel bon nombre de ses détracteurs[19]. Pour se défendre, il rédigea plusieurs travaux [17] : Sedan[6] (1871), La situation de la France et les réformes nécessaires (1873) et La nation armée (1876)[8],[12],[17].

Il meurt le 25 février 1884[15] à Paris[3] et fut inhumé au cimetière du Père-Lachaise (division 47)[20],[19].

États de service[]

Vie familiale[]

Unique fils de Félix Victor Charles Emmanuel, baron de Wimpffen (1778-1813) et de Cornélie Breda (née vers 1792 à Leuwarde (Pays-Bas))[22], épousa, le 13 août 1839[5],[23], Adélaïde Quesnel, sans postérité[24].

Publications[]

Andre Gill - Le Général de Wimpffen (Les Hommes d'Aujourd'hui, 1879)

André Gill, « Le Général Wimpffen », Les Hommes d'aujourd'hui, no 40,‎ 1879, p. 1.

  • Général de Wimpffen, Réponse au général Ducrot : [éd.] par un officier supérieur, Paris, Librairie internationale, A. Lacroix, Verboeckhoven et Cie, 1871, 1 vol.  in-8, 75 p. (notice BNF no FRBNF340853358) [lire en ligne]  ;
  • L'Expédition de l'Oued-Guir : lettre du général de Wimpffen au président de la Société..., C. Delagrave, 1872 (notice BNF no FRBNF31656032n) [présentation en ligne]  ;
  • Emmanuel-Félix de Wimpffen, Souvenirs de captivité : De l'instruction en Allemagne, par un officier général, Paris, E. Lachaud, 1872, In-18, 76 p. (notice BNF no FRBNF31656037c)  ;
  • Général de Wimpffen, Sedan, Librairie internationale, A. Lacroix, Verboeckhoven et Cie, 1871, 1re éd., 382 p. [lire en ligne] [présentation en ligne]  ;
  • Le général de Wimpffen, La situation de la France et les réformes nécessaires, Paris, Armand Le Chevalier, 1873, 1 vol.  in-18, 108 p. (notice BNF no FRBNF316560361) [lire en ligne]  ;
  • Le général de division de Wimpffen, La nation armée, Paris, E. Dentu, 1876, 1 vol.  in-8, 273 p. (notice BNF no FRBNF316560330) [présentation en ligne]  ;
  • Général de Wimpffen, L'État-major : son rôle dans l'armée, M. La Chatre, 1879, 16 p. [présentation en ligne]  ;
  • Emmanuel-Félix de Wimpffen, La bataille de Sedan : les véritables coupables, Paul Ollendorff, 1887, 8e éd., 328 p. [présentation en ligne]  ;
  • H. Galli, Crimée, Italie : Notes et correspondances de campagne du général de Wimpffen, Paris, H. Charles-Lavauzelle, 1892, In-8°, 180 p. (notice BNF no FRBNF31656030z)  ;

Distinctions[]

Titres[]

Emmanuel Félix WIMPFFEN

Emmanuel Félix de Wimpffen, entre 1859 et 1861.

Décorations[]

Drapeau de France France



Drapeau du Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande Royaume-Uni
Drapeau du Royaume de Sardaigne Royaume de Sardaigne
Drapeau de l'Empire ottoman Empire ottoman
  • Membre de IIIe classe de l'ordre du Médjidié (avant 1862)[27].
Décorations
Grand officier de la Légion d'honneur Grand officier de la Légion d'honneur Grand officier de l'ordre des Saints-Maurice-et-Lazare Grand officier de l'ordre des Saints-Maurice-et-Lazare Membre de IIIe classe de l'ordre du Médjidié
Grand officier de la Légion d'honneur Grand officier de l'ordre des Saints-Maurice-et-Lazare Ordre du Médjidié
Compagnon de l'ordre du Bain Médaille commémorative de Crimée (1854-1855) Médaille commémorative d'Italie (1859) Médaille de la valeur militaire (Italie)
Compagnon de l'ordre du Bain Médaille commémorative de Crimée (1854-1855) Médaille commémorative d'Italie (1859) Médaille de la valeur militaire (Italie)
Tombe de Emmanuel Wimpffen (division 47)

Tombe de Emmanuel Wimpffen

Hommage, honneurs, mentions,...[]

  • Sa brillante carrière en Algérie lui valut cinq citations[6] de 1842 à 1849[2].
  • Un Monument Wimpfen était érigé à proximité de l'Oued Guir (côte 640 des cartes du service géographie de l'armée de 1925, 1929 et 1955) en souvenir de l'Expédition Wimpffen[11].
  • Il fut cité trois fois en Crimée[2] ;
  • Deux ans après la bataille de Sedan le général de Wimpffen envoya son livre La Bataille de Sedan au comte de Bismarck. Ce dernier lui répondit, le 9 janvier 1872[n 2] : tout en le remerciant, il loua les qualités du général, « reconnaissant qu'il avait été appelé sur le terrain alors que le sort des armes était déjà jeté[1] ».
  • Sa sépulture, au cimetière du Père-Lachaise (47e division, 1ère ligne, O, 8), est ornée d'un buste à son effigie en bronze, œuvre de F. Richard, de Vannes.

Héraldique[]

Armoiries Blasonnement
Ornements extérieurs Barons de l'Empire français
Blason Félix de Wimpffen (1778-1811) lettres patentes
Armes du baron de Wimpffen et de l'Empire
Selon les lettres patentes de son père
Écartelé ; au premier d'azur au bélier grimpant, tenant une croix d'argent, soutenu du même ; au deuxième des barons tirés de l'armée ; au troisième de gueules au faisceau, casque, bouclier et épée d'or, en trophée ; au quatrième de sinople au coq d'argent barbé, crêté et armé de gueules becquetant sur une terrasse d'or[28],[29].
  • Livrées : les couleurs de l'écu, le verd en bordure seulement[28].
Orn ext baron GOLH Second Empire
Blason Félix de Wimpffen (1778-1811) Révérend
Armes du baron de Wimpffen et de l'Empire
Selon le vicomte Révérend
Écartelé : aux 1er et 4e, d'azur au bélier grimpant tenant une croix, le tout d'argent, soutenu du même ; au 2e, des barons militaires ; au 3e, de gueules au faisceau d'un casque, d'un bouclier et d'une épée, le tout d'or[5].
Blason à dessiner La famille von Wimpffen portait :
Selon Rietstap
De gueules à un bélier sautant d'argent, accorné d'or, tenant entre ses pattes de devant une croisette du même et soutenu d'une terrasse de sinople[30] (« avant 1797, le bélier ne portait pas de croix »[30])
  • Casque couronné ;
  • Cimier : le bélier issant, sans croisette, entre deux proboscides de gueules, chacune ornée dans son embouchure d'une feuille de tilleul et à l'extérieur, six feuilles pareilles, 1, 2 et 3 ;
  • Lambrequins : d'argent et de gueules.
Selon le vicomte Révérend
De gueules à un bélier couronné d'argent, tenant une croix au pied fiché d'or et posé sur un monticule de trois coupeaux de sinople[4].


Blason à dessiner La branche comtale de la famille portait

De gueules au bélier d'argent accorné et ancorné d’or[31]

  • Cimier : un bélier d'argent accorné et ancorné d’or, issant du casque entre deux cornes coupées, à dextre d’argent et de gueules, à sénestre de gueules et d’argent, et accompagnées chacune de quatre tyrses d’or, en fasce, desquels pendent douze feuilles de tilleul du même (3, 3, 3, 3)[31].

Notes et références[]

  1. Les 124 000 hommes se décomposent en : 3 000 tués, 14 000 blessés, 21 000 prisonniers durant la bataille, 83 000 prisonniers lors de la capitulation ainsi que 3 000 soldats désarmés en Belgique. Parmi les tués, cinq généraux : Guyot de Lespart, Margueritte, Girard, Liédot et Tilliard. In Rousset 1900, p. 360.
  2. Comprise dans la succession de l'ancien ministre fédéral de l'Économie d'Allemagne, Otto, comte Lambsdorff (de), cette lettre fut donné par sa veuve, la comtesse Alexandra Lambsdorff, à la famille de Wimpffen (de). Wimpffen 2016, p. General Felix II. von Wimpffen.
  1. 1,0 1,1 et 1,2 Wimpffen 2016, p. General Felix II. von Wimpffen.
  2. 2,00 2,01 2,02 2,03 2,04 2,05 2,06 2,07 2,08 2,09 2,10 2,11 2,12 2,13 2,14 2,15 2,16 2,17 2,18 2,19 2,20 et 2,21 military-photos 2016.
  3. 3,0 et 3,1 Lemaitre 1896, p. 89.
  4. 4,0 et 4,1 Révérend 1897, p. 403.
  5. 5,0 5,1 5,2 et 5,3 Révérend 1897, p. 402.
  6. 6,00 6,01 6,02 6,03 6,04 6,05 6,06 6,07 6,08 6,09 6,10 6,11 6,12 et 6,13 Lihoreau 1996, p. 10.
  7. Saint-Cyrienne Historiques, p. 12e promotion.
  8. 8,00 8,01 8,02 8,03 8,04 8,05 8,06 8,07 8,08 8,09 8,10 et 8,11 Encyclopædia Britannica 1911.
  9. 9,0 9,1 9,2 9,3 9,4 9,5 9,6 et 9,7 Chaudun 2016, p. 146.
  10. 10,0 10,1 10,2 et 10,3 Vapereau 1870, p. 1862.
  11. 11,0 11,1 11,2 et 11,3 Lihoreau 1996, p. 9.
  12. 12,0 12,1 12,2 12,3 12,4 12,5 12,6 et 12,7 Baldini 1937.
  13. 13,00 13,01 13,02 13,03 13,04 13,05 13,06 13,07 13,08 13,09 13,10 13,11 et 13,12 Gouttman 2015.
  14. Lemaitre 1896, p. 90.
  15. 15,0 15,1 15,2 15,3 et 15,4 Lihoreau 1996, p. 11.
  16. Niox 1898, p. 42-43.
  17. 17,0 17,1 17,2 17,3 et 17,4 Lamboley 2014, p. 15.
  18. Rousset 1900, p. 349-356.
  19. 19,0 19,1 et 19,2 APPL 2006.
  20. Bauer 2006, p. 785-786.
  21. 21,0 21,1 21,2 21,3 21,4 21,5 21,6 21,7 et 21,8 SHAT 7 Yd 1 370.
  22. 22,0 et 22,1 Base collaborative Pierfit Généanet.
  23. Lehr 1870, p. 221.
  24. Roglo 2016.
  25. Maltagenealogy.com 2016.
  26. Base Léonore LH/2758/26.
  27. Almanach impérial 1862, p. 386.
  28. 28,0 et 28,1 PLEADE 2011.
  29. Bernard-Michel, p. Empire.
  30. 30,0 et 30,1 Rietstap 1884.
  31. 31,0 et 31,1 Lehr 1870, p. 211.

Annexes[]

Articles connexes[]

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Il existe une catégorie dédiée à ce sujet : Emmanuel Félix de Wimpffen.

Liens externes[]

Bibliographie[]

Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

Pour approfondir
  • Jean-Pierre Allart, « Le général de Wimpffen (1811-1884) : L'autre homme de Sedan », Mémoires, Senlis, Fédération des sociétés d'histoire et d'archéologie de l'Aisne, vol. LVII,‎ 2012, p. 161-190 (ISSN 0248-1535, lire en ligne) ;




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