Cet article présente et décrit les armoiries des chevaliers sous le Premier Empire.
Les armoiries inventoriées sur cette page respectent le système héraldique napoléonien. Lorsque ce n'est pas le cas, veuillez vous référer à l'armorial des autres personnalités nobles et notables du Premier Empire. |
Les Chevaliers légionnaires[]
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Figure | Nom du chevalier et blasonnement |
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Jean Abbadie-Coulac, dit Labadie-Coulac[1],[2] (16 décembre 1719 ✝ 1er mars 1812), maréchal de camp d'infanterie (en Pologne), lieutenant-colonel (10 août 1792), général de brigade (à titre provisoire le 25 avril 1793, confirmé le 15 mai 1793), affecté à l'Armée des Pyrénées occidentales (1793 - 17 décembre 1793), commandant des vallées des Hautes-Pyrénées (17 décembre 1793 - 28 juin 1794), admis en retraite comme chef de brigade (9 juin 1794), chevalier de l’Empire par lettres patentes du 12 novembre 1809,
D’azur à une cuirasse d’or frangée de gueules, chargée d’une épée haute en pal d’argent, accompagnée en chef de deux molettes du même (alias d'argent) ; à la bordure de gueules chargée du signe des chevaliers légionnaires.[1] | |
Jean-Marie Aberjoux (10 janvier 1767 - Saint-Amour (Jura) ✝ 30 janvier 1834- Saint-Amour (Jura)), lieutenant-colonel, Chevalier de la Légion d'honneur (14 juin 1806), Chevalier de l'Empire (lettres patentes du 23 février 1811),
D’azur à la bande de gueules, chargée du signe des chevaliers légionnaires, accompagnée en chef d’un bouclier et en pointe d’un lion tenant de la patte dextre une épée, le tout d’or.[1] | |
Pierre Auguste Adet (17 mai 1763 - Nevers ✝ 19 mars 1834 - Paris), préparateur de Lavoisier, docteur-régent de la Faculté de médecine de Paris, ambassadeur aux États-Unis (1795), membre du Tribunat (25 décembre 1799), fondateurs de la Société d'encouragement pour l’industrie nationale (1801), préfet de la Nièvre (1803-1809), conseiller-maître à la Cour des comptes (1813-1834), Chevalier de l'Empire (1808), chevalier, puis Officier de la Légion d'honneur (1814),
Tiercé en pal : au I, d'azur à trois roses d'argent ordonnées 2 et 1 ; au II, de gueules à l'insigne des chevaliers légionnaires ; au III, d'argent à trois molettes de sable 2 et 1.[3][1] | |
Amira, Chef de bataillon, Adjudant-commandant (1812), officier d'État-Major, commandant de la 2e colonne chargée de la police militaire depuis Kernow, Michegohla et Niémenksin (1812)[4],
D'azur à une gerbe d'or accompagnée de deux épées hautes d'argent montées d'or et posées en chevron adextré d'un tiers de gueules chargé de l'insigne des chevaliers légionnaires.[5] | |
Jean-Baptiste Arnaud (24 juin 1753 - Puimoisson (Basses-Alpes) ✝ 4 mars 1829 - Puimoisson), Avocat au Parlement d'Aix, Juge de paix, Juge de district, Procureur général près la Cour criminelle des Basses-Alpes (premier Empire, confirmé le 1er juin 1811), Président du collège électoral des Basses-Alpes, Député des Basses-Alpes à la Chambre (20 septembre 1817, réélu le 20 octobre 1818), Président honoraire de la Cour d'Aix (1820), Chevalier de l'Empire (28 janvier 1809), Chevalier de la Légion d'honneur (Année invalide (an XII)),
D'azur, à un chevron d'argent, acc. en chef de deux étoiles, et en pointe d'une tour, le tout du même, à la champagne de gueules chargée du signe des Chevaliers-Légionnaires.[6] | |
Antoine-Vincent Arnault (22 janvier 1766 ✝ 16 septembre 1834, à Goderville), chargé de l'organisation administrative des Îles ioniennes (1797), ministre de l'Instruction publique par intérim (Cent-Jours), membre de l'Institut de France, 2 fois membre de l'Académie française (Fauteuil 16 (1813-1816) et 13 (1829-1834)), conseiller, secrétaire général du conseil de l'Université, exilé de 1815 à 1819, beau-frère du comte Regnauld de Saint-Jean-d'Angély, Chevalier de l'Empire (19 mai 1809),
D'or, à la gerbe de blé de sinople, au comble d'azur chargé de deux étoiles en fasce d'argent; chevron de gueules du tiers de l'écu, chargé du signe des chevaliers légionnaires, brochant sur le tout.[7] | |
Domitien Joseph Asselin de Williencourt (19 octobre 1771, à Habarcq ✝ 23 janvier 1835, à Paris), général de brigade à titre provisoire (1814), maréchal de camp (1831), Officier de la Légion d'honneur (1832), Chevalier de Saint-Louis (1814), Chevalier de l'Empire (22 octobre 1810),
D'or, à un écusson d'azur chargé de trois molettes d'argent, 2 et 1, à la bordure de gueules, chargée de la croix de la Légion d'honneur. (Confirmation du titre de chevalier, par décret du 11 mars 1863, avec pour règlement d'armoiries : D'azur, à trois croix pattées d'argent, à la bordure de gueules chargée de huit étoiles d'or).[8],[6],[9] | |
Bruno-Philibert Audier-Massillon (1er juillet 1746 - Aix-en-Provence ✝ 29 septembre 1822 - Aix-en-Provence), Lieutenant général de la sénéchaussée d'Aix, député du tiers état aux États généraux (7 avril 1789), juge au tribunal de cassation (Année invalide (an VIII)), conseiller à la cour royale d'Aix (jusqu'en 1820), Chevalier de l'Empire (3 juin 1808), Chevalier de la Légion d'honneur (Année invalide (an XII))
Tiercé en fasce : au I d'azur à un soleil d'or ; au II de gueules au signe des chevaliers légionnaires ; au III d'argent à une mer d'azur chargée d'un alcyon d'or dans son nid de même et lampassé de pourpre.[10] | |
Nicolas Grégoire Aulmont de Verrières 5 août 1746 - Paris ✝ 10 novembre 1831 - Paris), général de brigade (à titre provisoire le 30 octobre 1793, redevient chef de brigade le 25 mars 1795, de nouveau général de brigade à titre provisoire le 22 septembre 1798, confirmé le 9 août 1799), Chevalier de l'Empire (9 janvier 1810), Baron de l'Empire (1er mars 1812, lettres patentes du 1er mai 1812), Commandant de la Légion d'honneur (14 juin 1804), Chevalier de l’Ordre royal et militaire de Saint-Louis (avril 1790),
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Pierre d'Autancourt (28 février 1771 - Montigny-sous-Marle ✝ 1er janvier 1832- Nevers), Volontaire en 1792 au bataillon de Vervins, général de brigade, Commandeur de la Légion d'honneur, Chevalier (1808) puis Baron de l'Empire (1810),
Armes de Chevalier de l’Empire : Tiercé en fasce : de sable à une tour d'argent crénelée de trois pièces, ouverte et maçonnée de gueules; de gueules au signe des chevaliers légionnaires ; et d'azur au cheval galopant d'or.[12] | |
Ambroise Philibert Léon Auvity[13] (17 avril 1788, à Paris ✝ 24 mars 1847), Chirurgien en chef adjoint de l’Hôpital des Enfants-Trouvés et des Orphelins, puis Chirurgien-major de la Garde municipale de Paris, chirurgien du Roi de Rome, Officier de la Légion d'honneur, Chevalier de l'Empire (Lettres patentes du 2 avril 1812),
D'azur, à deux palmes en sautoir d'argent surmontées au deuxième point en chef d'une étoile d'or, flanquées et accompagnées de trois têtes d'enfants nouveau-nés de carnation, les deux en flancs affrontées, celle de la pointe posée en fasce ; champagne cousue de gueules du tiers de l'écu, chargée du signe des chevaliers légionnaires.[14] | |
Aversenc, capitaine de grenadiers, membre de la Légion d’honneur, Chevalier de l'Empire,
D'azur à un chevron de gueules chargé du signe des Chevaliers-Légionnaires acc en chef à dextre d'une épée haute en pal d'argent à senestre d'une branche d'aubépine d'or et en pointe d'une tête d'Isis d'argent posée de profil.[6] | |
Jean François d'Avrange du Kermont (30 octobre 1753 - Saint-Avold (aujourd'hui dans le département de la Moselle) ✝ 5 avril 1822), commandant ordonnateur de l'hôtel impérial des Invalides, chevalier de l'Empire (mai 1808), chevalier de la Légion d'honneur (Année invalide (an XII) (25 mars 1804)),
D'azur, au chevron d'or, brisé par la pointe, accompagné de trois besants du même, à la champagne de gueules, chargée du signe de la Légion d'honneur.[6],[11] |
B[]
Figure | Nom du chevalier et blasonnement | |
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Jean-Pierre Bachasson de Montalivet (5 juillet 1766 - Neunkirch-lès-Sarreguemines ✝ 22 janvier 1823 - château de Lagrange-Montalivet), Conseiller au parlement de Grenoble (1785), maire de Valence (1795), Préfet de la Manche (1801-1804), préfet de Seine-et-Oise (1804-1806), Conseiller d'État (28 mai 1804), directeur général des Ponts et Chaussées (3 mai 1806), ministre de l'Intérieur (1er octobre 1809- 1er avril 1814), Intendant général de la couronne (21 mars 1815), Pair de France (2 juin 1815 (Cent-Jours), comte-pair le 5 mars 1819, lettres patentes du 14 novembre 1820), Chevalier de l'Empire (lettres patentes de mai 1808), 1er Comte de Montalivet et de l'Empire (lettres patentes du 27 novembre 1808), Chevalier de la Légion d'honneur par décret impérial,
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Jean Louis Charles Bagnol dit, Bagniol (7 mars 1774, à Auneau ✝ 8 décembre 1843, à Rennes), Général de brigade (à titre provisoire, 1813), maréchal de camp (à titre provisoire, (12 juin 1815), maréchal de camp honoraire (2 octobre 1822), Chevalier de l'Empire (décret du 15 août 1809, lettres patentes du 11 juin 1810), Lettres patentes royales de chevalier héréditaire (13 janvier 1815), Légionnaire (5 août 1804) puis Officier de la Légion d'honneur (22 juin 1831), Chevalier de Saint-Louis (19 août 1818),
D'azur, à la bande de gueules, chargée du signe des Chevaliers-Légionnaires, acc. en chef d'un lion d'or, soutenu d'une pile de trois boulets d'argent, 1 et 2, et armé d'une épée du même, et en pointe d'un lion d'argent soutenu par trois boulets d'or, 1 et 2, et armé d'une épée du même.[8],[9] | ||
François Martin Trophime Barbé (11 novembre 1766 - Marseille), major du 20e chasseur à cheval, chevalier de l'Empire (1811), chevalier de la Légion d'honneur,
D'azur à une fasce de gueules chargée du signe des chevaliers légionnaires;accompagné à dextre d'un cheval galopant et, à senestre, d'un dauphin et en pointe à dextre d'une épée en pal et à senestre d'une ancre, le tout d'or.[10] | ||
Jacques Bardenet (10 février 1754 - Vesoul ✝ 3 septembre 1833 - Vesoul), Chef de brigade (lors de la prise de Bois-le-Duc, le 9 octobre 1794, confirmé en 1795), Général de brigade (nommé sur champ de bataille de la Trebbia (19 juin 1799)), Député de la Haute-Saône au Corps législatif (Année invalide (an X) (27 mars 1802) - 1806), Chevalier Bardenet et de l'Empire (21 novembre 1810), Légionnaire Année invalide (an XII), puis, Officier de la Légion d'honneur (18 juillet 1807), Chevalier de Saint-Louis (19 juillet 1814),
D'argent, à un dextrochère au naturel, tenant un cimeterre haut en pal d'azur ; à la champagne de gueules, chargée du signe des Chevaliers-Légionnaires.[6],[8],[9] | ||
Joseph Marie de Barral (Grenoble, 21 mars 1742 - Grenoble, 14 juin 1828), député de l'Isère au corps législatif (1800-1814), premier président à la Cour d'appel de Grenoble, Chevalier Barral et de l'Empire (suite au décret le nommant membre de la Légion d'honneur en date du Année invalide (an XII), lettres patentes signées à Bayonne à mai 1808), Légionnaire (Année invalide (an XII)),
Tiercé [ajouté en fasce] d'or, de gueules et d'argent, l'or chargé de trois cloches d'azur posées en fasce ; le gueules chargé de la croix de la Légion d'honneur en date ; l'argent chargé de trois bandes de gueules[17]. | ||
Louis Alexandre Amélie Bauduy (1er novembre 1773 - Port-au-Prince (Saint-Domingue) ✝ 5 mai 1827), maréchal de camp (honoraire (1814), confirmé en avril 1815 avec effet rétroactif à décembre 1814), Légionnaire (1803) puis Officier de la Légion d'honneur (1804), Chevalier de Saint-Louis (1814), Chevalier de l'Empire (Lettres patentes du 11 juin 1810), fait baron le 17 août 1822,
Parti d'azur à un cheval galopant d'argent, soutenu d'un croissant du même ; au II, d'or à un sabre d'azur posé en pal, suremonté de deux tête de maures de sables, tortillées d'argent ; à la champagne brochant sur l'écartelé et chargée de l'insigne des chevaliers légionnaires de l'Empire.[8],[9] | ||
François Berge (11 mars 1779 - Collioure ✝ 11 mai 1832 - Paris), chef de bataillon, sous-directeur d'artillerie à la Guadeloupe (Année invalide (an XII)), major (21 mars 1806), colonel (30 août 1808), général de brigade (26 mai 1813), lieutenant-général (3 octobre 1823), Chevalier de l'Empire (Lettres patentes du 15 juillet 1810), baron de l'Empire (1814), officier (Année invalide (an XII)), puis, commandant (6 août 1811), puis grand officier de la Légion d'honneur (3 novembre 1827), Chevalier de Saint-Louis (20 août 1814), Chevalier de 4e classe de l'ordre de Saint-Ferdinand d'Espagne (23 novembre 1823),
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Pierre Marie-Auguste Berruyer (19 novembre 1780 - Paris ✝ 6 juillet 1816 - Paris), Chef d'escadron au 1er dragons (3 octobre 1803), major du 11e dragons (fin 1805), colonel du 3e dragons (1809), colonel au 2e chevau-légers (1er janvier 1812), Général de brigade et commandant d'armes à Soissons (18 janvier 1814), Chevalier de l'Empire (4 janvier 1811),
D'azur à la bande de gueules chargée de l'insigne des chevaliers légionnaires, accmpagnée en chef d'un casque d'or taré de profil et pointe d'un éperon d'argent, molette vers le chef, soutenu d'un lévrier passant, le tout d'argent.[9] | ||
Pierre Augustin Berthemy(1778-1855), [chef d'escadron], aide de camp de Joachim Murat, maréchal de camp au service du roi de Naples (14 janvier 1813), Chevalier Berthemy et de l'Empire (à la suite du décret du 15 août 1809, lettres patentes signées à Compiègne le 14 avril 1810), Légionnaire (14 mars 1806), puis, Officier (11 juillet 1807), puis, Commandant de la Légion d'honneur (5 décembre 1812), Commandeur de l'Ordre royal des Deux-Siciles,
D'or à l'épée en pal la pointe basse de sable accompagnée de trois têtes de cheval du même, allumées et lampassées de gueules: fascé de gueules du tiers de l'écu au signe des chevaliers brochant sur le tout[17],[18]. | ||
Joseph Constant Amédée Conrad Berthois (° 31 août 1775 - Piré † 18 avril 1832 - Paris), capitaine de première classe au corps impérial du génie, chevalier Berthois et de l'Empire (à la suite du décret du 22 juin 1811 le nommant membre de la Légion d'honneur, lettres patentes du 3 janvier 1813, Paris), légionnaire (22 juin 1811), puis, officier de la Légion d'honneur (30 novembre 1830),
Parti, au premier d'argent au lion rampant de gueules, au deuxième d'azur au croissant d'or surmonté d'une étoile du même : sur le tout de gueules occupant le tiers de l'écu et chargé du signe des chevaliers légionnaires.[17]
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Bertrand de Greville, Procureur général près la cour criminelle de l'Indre,
Tiercé en bande : au 1, d'or, à une étoile rayonnante d'azur ; au 2 de gueules à l'insigne des chevaliers légionnnaires ; au 3, d'azur, à un créquier d'or.[5] | ||
Julien Bessières (30 juillet 1777 - Gramat ✝ 31 juillet 1840 - Paris, ancien 9e arrondissement de Paris), commissaire impérial
des Îles ioniennes à Corfou (1807-1810), chevalier Bessières et de l'Empire (titre de chevalier de l'Empire, accordé à la suite du décret du 9 janvier 1807 le nommant membre de la Légion d'honneur (lettres patentes du 27 décembre 1811 (Les Tuileries)), Légionnaire (9 janvier 1807), puis, Officier (28 octobre 1828), puis, Commandeur de la Légion d'honneur (29 janvier 1836), pair de France (2 octobre 1837). Échiqueté d'azur et d'argent, à la fasce de sable, fuselé d'or ; bordure du tiers de l'écu de gueules chargée du signe des chevaliers légionnaires, posé au deuxième point en chef.[17] | ||
Fichier:Blason ville fr Bousies (Nord).svg | Joseph-Marie-Olivier de Bizien, de Roscoff sur « la Très Sainte Terre de Bretagne », Chevalier de l'Empire (1809),
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Pierre-François-Jean Bogne de Faye (5 octobre 1778 - Clamecy (Nièvre) ✝ 30 juillet 1838 - Clamecy), Secrétaire de la commission des échanges à Londres pour les prisonniers de guerre français (1798), Auditeur de 1re classe puis maître des requêtes au Conseil d'État, Secrétaire de légation de France, chargé d'affaires, puis ministre plénipotentiaire à Munich, Adjudant-commandant dans la Garde nationale de Paris, Député de la Nièvre à la Chambre des députés (21 octobre 1818), Chevalier de l'Empire (lettres patentes du 25 mars 1813), Légionnaire (décret impérial du 30 janvier 1810), puis, Officier (décret impérial du 30 juin 1811), puis, Commandant de la Légion d'honneur (6 janvier 1815), Commandeur de l'Ordre de la Couronne de fer,
D’or à un chevron de gueules chargé du signe des chevaliers légionnaires, accompagné en chef de deux étoiles d'azur et en pointe d'un lion rampant de même.[12] | ||
André Barthélémy Boissonnet (24 août 1765 - Annonay ✝ 26 mai 1839 - Sézanne), Colonel-major du Génie de la Garde Impériale (1812), Chef d'état-major des troupes du Génie à l'armée de Mein (1813), Maréchal de camp honoraire (1824), Maire de Sézanne, Officier de la Légion d'honneur (1804), Chevalier de l'Empire (20 août 1809), Baron de l'Empire (15 septembre 1813, avec une dotation en Westphalie, titre confirmé en 1865), Chevalier de Saint-Louis (1814),
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Henri-Antoine Bon de Lignim (14 février 1777 - Rochecorbon ✝ 23 janvier 1856), chef de bataillon d'artillerie, Colonel-major d'artillerie de la Garde Impériale, Colonel d'un régiment de la garde royale avec rang de maréchal de camp (15 janvier 1823), chevalier Bon de Lignim et de l'Empire (lettres patentes du 30 octobre 1810), puis, baron Bon de Lignim et de l'Empire (lettres patentes du 21 février 1814), Légionnaire (5 août 1804), puis, Officier (28 juin 1807), puis, Commandant de la Légion d'honneur (1er mai 1821), Chevalier de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis (20 août 1814),
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François Bony (20 décembre 1772 - Crécey-sur-Tille ✝ 30 mars 1848), général de brigade, Colonel de la Garde nationale de Selongey, maire de Selongey, Conseiller général de la Côte-d'Or, Légionnaire (décret impérial du 26 prairial an XII (14 juin 1804)) puis Officier (décret impérial du 16 novembre 1808), puis Commandeur de la Légion d’honneur (1820), Chevalier de Saint-Louis (août 1814), Chevalier de l'Ordre de la Réunion (1810), Chevalier de l’Empire (décret impérial et lettres patentes du 20 juin 1811),
Parti : au 1er, d’azur à une épée d’argent, montée d’or ; au 2e, de sable à un chevron d’or, accompagné en chef de deux étoiles et en pointe d’une grenade, aussi d’or, ; enté en pointe de l’écu d’un tiers de gueules chargé du signe des chevaliers légionnaires.[12] | ||
Edme Étienne Borne Desfourneaux (22 avril 1767 - Vézelay (Yonne) ✝ 22 février 1849 - Paris), colonel (8 février 1793), général de brigade (14 mai 1793), général en chef (14 mai 1793 - 7 août 1794), général de division (11 décembre 1794), Député du département de l'Yonne au Corps législatif (4 mai 1811), Représentant à la Chambre des Cent-Jours (Joigny (département de l'Yonne), 13 mai 1815), Chevalier de l'Empire (1er septembre 1808), Baron de l'Empire (12 avril 1813), Comte (1823), Commandeur (Année invalide (an XII) : 14 juin 1804), puis, Grand cordon de la Légion d'honneur (3 août 1814), Chevalier de l'Ordre de la Couronne de fer, Chevalier de l'Ordre royal et militaire de Saint-Louis (3 août 1814),
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François-Antoine Boubert (né le 13 juin 1748, à Saint-Omer (Pas-de-Calais)), Président de la Cour de justice criminelle du département du Pas-de-Calais, Chevalier de l'Empire, Chevalier de la Légion d'honneur,
De contre-hermine à la bande de gueules chargée d'une croix de l'insigne des chevaliers légionnaires.[12] | ||
Pierre Boucher (15 février 1772 - Courbevoie ✝ 11 août 1831 - Paris), Capitaine adjudant-major aux chasseurs à pied de la Garde impériale, Colonel-major du 4e régiment de voltigeurs de la Garde impériale, Chevalier Boucher et de l'Empire (décret du 15 mars 1810, lettres patentes 23 mai 1810 (Lille)), Baron Boucher et de l'Empire (16 août 1813, lettres patentes du 11 novembre suivant), Légionnaire (Année invalide (an XII)), puis, Officier de la Légion d'honneur (9 juin 1809),
D'or au chevron de gueules du tiers de l'écu au signe des chevaliers, accompagné en chef de trois étoiles en fasce d'azur et en pointe d'un arbre de sinople terrassé du même, adextré d'un lévrier contrerampant de sable et sénestré d'un coq perché sur une épée, le tout aussi de sable.[17] | ||
Louis Jacques François Boulnois (10 mai 1773 - Sarcus (Oise) ✝ 10 janvier 1833 - Paris), chef d'escadron de hussards en 1800, major au 9e Chasseurs (août 1807), général de brigade (26 mars 1813), lieutenant général (à la Restauration : 28 janvier 1815), Chevalier de la Légion d'honneur (à la création de l'Ordre), Chevalier de l'Empire (Lettre patente du 21 décembre 1808), Baron d'Empire (décret Impérial du 26 février 1814, titre confirmé le 30 septembre 1830),
Parti : au 1, d'azur, au lion rampant d'argent ; au 2, de sinople, à trois mésanges d'or, 2 et 1 ; à la champagne de l'écu de gueules chargée de l'insigne des chevaliers légionnaires de l'Empire.[6],[15] | ||
François-Marie Boulogne, chevalier de l'Empire,
Écartelé : au 1 d'or à trois tourteaux de gueules; au 2 de gueules à un cygne d'argent; au 3 de gueules à un aigle d'argent posé sur un tube de canon de même ; au 4 d'or au signe des chevaliers légionnaires.[23] | ||
Edme Joachim Bourdois de La Motte (14 septembre 1754 - Joigny ✝ 7 décembre 1835 - Paris), Médecin en chef des épidémies pour le département de la Seine (1805), Inspecteur général de l’Université de France (1809), puis conseiller en 1811, Premier médecin du roi de Rome (1811), Médecin du collège des princes à Meudon, Médecin en chef des trois premières légions de la garde nationale de Paris, Médecin du prince de Bénévent, Médecin du département des affaires étrangères (sous la Restauration), Médecin consultant des rois Louis XVIII et Charles X, Membre puis président de l’Académie de médecine, Chevalier de l'Empire (décret impérial et lettres patentes du 27 février 1812), Baron de l'Empire, Donataire (rente de 4 000 francs) en Illyrie, le 1er janvier 1812, Chevalier de la Légion d'honneur (décret impérial du 29 décembre 1811),
Parti, au 1, d'azur au portique ouvert à deux colonnes d'or, sommé d'une grue avec sa vigilance du même ; au 2, d'argent à trois barres d'azur ; champagne de gueules du tiers de l'écu chargée du signe des chevaliers légionnaires.[14],[12] | ||
Claude-Laurent Bourgeois de Jessaint (26 avril 1764 - Jessaint † 9 janvier 1853 - Beaulieu (Trannes), Maire de Bar-sur-Aube (28 janvier 1795 - Année invalide (an V) (25 mai 1797)), Préfet de la Marne (12 mars 1800, confirmé dans ses fonctions par Louis XVIII le 24 mai 1814, il surmonte six changements de régime, et reste à son poste jusqu'à sa démission le 18 novembre 1838, il obtient sa retraite de préfet le 22 février 1839), Chevalier de l'Empire (16 septembre 1808), Baron de l'Empire (15 août 1809, lettres patentes du 19 décembre 1809), Vicomte (31 mai 1825)[24], Légionnaire (Année invalide (an XII) : 14 juin 1804), puis Officier (30 juin 1811), Commandeur (3 janvier 1815), Grand officier de la Légion d'honneur (19 mai 1825), Pair de France (10 novembre 1838),
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Bousquet, chirurgien-major au 25e de ligne, Chevalier de l'Empire (16 mai 1813),
De sable, à l'épée haute en pal d'or accolée d'un serpent d'argent; fasce de gueules du tiers de l'écu chargée du signe des chevaliers légionnaires, brochant sur le tout.[14] | ||
Jean-Guillaume Boysset (né le 15 avril 1758 à Laroquebrou (Cantal), médecin ordinaire de la Grande Armée, Chevalier de l'Empire (26 avril 1811),
De sable, à l'épée haute en pal d'argent montée d'or, tortillée d'un serpent de sinople et accostée de deux étoiles d'or; bordure cousue de gueules du tiers de l'écu, chargée du signe des chevaliers légionnaires, posé au deuxième point en chef.[14] | ||
Jean-Charles Brice (Saint-Firmin, 4 novembre 1768 – Vineuil-Saint-Firmin (Oise), 20 janvier 1837), chef de bataillon au 13e régiment d'infanterie légère (4 mars 1807), colonel du 15e régiment d'infanterie légère (25 septembre 1813), donataire (dotation de 2 000 francs sur les biens réservés en Westphalie le 19 mars 1808[25]), chevalier de l'Empire (lettres patentes du 29 août 1810), Légionnaire (14 brumaire an XIII : 5 novembre 1804), puis, Officier (6 avril 1813), puis, Commandeur de la Légion d'honneur (29 juillet 1814), Chevalier de l'Ordre royal et militaire de Saint-Louis (20 juillet 1814)
D’azur au chevron de gueules du tiers de l’écu au signe des chevaliers, accompagné en chef de deux étoiles d’argent et en pointe d’un cor de chasse du même traversé d’une épée haute en pal d’or[26],[25]. | ||
Louis Bro (17 août 1781 - Paris ✝ 8 octobre 1844 - Armentières), Lieutenant (20 octobre 1804), Capitaine au 7e hussards (1807), Chef d'escadron de hussards (6 décembre 1811), Major (28 juin 1813), Adjudant-commandant, avec rang de colonel (avril 1814), Maréchal de camp (11 octobre 1832), Lieutenant général (1843), 1er Chevalier Bro de Comères et de l'Empire (lettres patentes du 31 octobre 1810)[18], Officier (1814), puis, Grand officier de la Légion d'honneur (24 décembre 1837), Grand officier de l'Ordre de Léopold de Belgique,
Tiercé en bande : au I, d'or à la sabretache de sable chargée du chiffre 7 du champ et accolée du couleuvre d'azur ; au II, de gueules à l'insigne des chevaliers légionnaires de l'Empire ; au III, d'azur coupé d'une mer de sinople chargé d'un cheval nageant d'argent, allumé et lampassé de gueules, bridé de sable et accompagné à dextre de trois palmiers terrassés d'or.[27],[28],[18] | ||
Broussonet (né à Montpellier), médecin en chef de l'hôpital de Montpellier et professeur de clinique à la faculté de médecine de cette ville, Chevalier de l'Empire (19 janvier 1811),
Parti, au 1, d'azur à la bande componée d'or et de gueules, chargée de deux étoiles d'or sur le gueules et accompagnée en chef d'une étoile du même; au 2, de sable à l'épée haute en pal d'or, tortillée d'un serpent d'argent; bordure cousue de gueules du tiers de l'écu, chargée du signe des chevaliers légionnaires, posé au deuxième point en chef.[14] |
C[]
Figure | Nom du chevalier et blasonnement | |
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Charles-Ambroise Caffarelli (1758-1826), préfet de l'Ardèche (1800-1801), préfet du Calvados (1801-1810), préfet de l'Aube (1810–1814), chevalier de l'Empire (à la suite du décret du Année invalide (an XII) le nommant membre de la Légion d'honneur, lettres patentes signées à Burgos le 27 novembre 1808)), baron (décret du 15 août 1809, lettres patentes signées à Paris le 31 décembre 1809)), Légionnaire (décret du Année invalide (an XII)),
Parti, le premier d'argent au lion grimpant de sable lampassé de gueules ; le deuxième coupé ; le premier du coupé : taillé d'argent et de gueules, le deuxième tranché d'argent et de gueules ; le tout soutenu d'une champagne de gueules du tiers de l'écu au signe des chevaliers.[17],[6]
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Pierre de Cabrol de Mouté (27 août 1769 - Nîmes ✝ 16 juillet 1819 - Montpellier), aide de camp du général Charles Étienne Gudin de La Sablonnière, Chevalier de Cabrol de Mouté et de l'Empire (15 août 1809, lettres patentes du 16 décembre 1810), Légionnaire (Année invalide (an XII)),
Coupé d'or et de sinople : l'or à la cuirasse de sable ; le sinople à la barrière soutenue d'argent : bordure du tiers de l'écu de gueules au signe des chevaliers légionnaires posé au premier point en chef[17]. | ||
René Hippolyte Jean Cadet de Fontenay, colonel du 6e régiment d'artillerie à cheval, Chevalier de l'Empire (lettres patentes du 18 juillet 1811, chevalier de la Légion d'honneur[29],
D'argent à un chevron de gueules chargé du signe des chevaliers légionnaires accompagné en chef de deux têtes de cheval de sable, bridées de gueules, soutenues l'une et l'autre d'un obus éclatant de sable enflammé de gueules et en pointe d'une épée haute en pal de gueules.[30] | ||
Charles Ambroise de Caffarelli du Falga (15 janvier 1758 - Falga ✝ 6 novembre 1826 - Falga), chanoine avant la Révolution, Préfet de l'Ardèche (1800-1801), préfet du Calvados (1801-1810), préfet de l'Aube (1810-1814), chevalier de Caffarelli et de l'Empire (1808), baron de Caffrelli et de l'Empire (1809)
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Louis Caillemer (8 décembre 1764 - Carentan ✝ 5 septembre 1827 - Saint-Lô), Chef d'escadron (5 septembre 1806), Major en second (8 février 1813), Adjudant-commandant (8 août 1813), Adjudant-général (juin 1815), Chevalier de l'Empire avec majorat héréditaire en Westphalie (lettres patentes du 10 avril 1811), Légionnaire (14 mars 1805), puis, Officier de la Légion d'honneur (11 décembre 1809),
D'azur au cheval galopant d'argent surmonté d'un globe du même sommé à senestre d'un fer de lance d'argent, soutenu d'une champagne de gueules chargée du signe des chevaliers légionnaires.[30],[31] | ||
Jean-Jacques Camus (né à Artigues (Var) le 30 novembre 1772), chef de bataillon au 28e de ligne, fut créé chevalier de l'Empire (lettres patentes du 9 septembre 1810), chevalier de la Légion d'honneur,
D'azur à un chevron de gueules chargé du signe des chevaliers légionnaires, accompagné en chef de deux lévriers affrontés contre-rampants d'argent, colletés d'or, et en pointe d'une grenade allumée d'argent.[10] | ||
Hippolyte Cartier (né à Arles en 1770), chef de bataillon au 7e léger, plus tard colonel, chevalier de l'Empire (avec majorat, le 12 novembre 1809, avec une dotation de 2 000 francs, le 27 janvier 1810),
De gueules chapées d'argent, les gueules chargées du signe des chevaliers légionnaires, l'argent de deux grenades de sable, rangées en fasce, enflammées de gueules, surmontées d'un comble d'azur à l'épée posée en fasce d'or, la pointe à dextre.[10] | ||
Célestin-Joseph Castille (de Douai), officier d'artillerie, officier d'ordonnance de Napoléon Ier
adjudant-commandant (1804), inspecteur général du train d'artillerie, chevalier de l'Empire (4 juin 1810), Parti, au 1 d'argent à deux bananiers de sinople, terrassés du même; au 2 d'azur à une tour d'argent ajourée de quatre embrasures de sable, et accompagnée en pointe et à dextre d'une pile de boulets aussi d'argent, et à senestre d'un mortier du même, à la champagne de gueules soutenant la partition, chargée d'une étoile d'argent (ou du signe des chevaliers légionnaires).[30] | ||
Louis-Joseph Nompar de Caumont (22 avril 1768 - Paris ✝ 22 octobre 1838 - Saint-Brice-sous-Forêt), adjudant-commandant, membre du collège électoral de l'arrondissement de Montauban, commandant de la garde d'honneur de cette ville, Chevalier de Caumont-La-Force et de l'Empire, à la suite du décret du 29 juillet 1808 le nommant membre de la Légion d'honneur (lettres patentes du 19 décembre 1809, Trianon, avec dotation), Légionnaire (29 juillet 1808), puis, Officier (11 octobre 1812), puis, Commandeur de la Légion d'honneur (18 mai 1820),
D'azur à trois léopards l'un sur l'autre d'or armés et lampassés de gueules, bordure de gueules du tiers de l'écu au signe des chevaliers posé au second point en chef.[17] | ||
Georges-Antoine Chabot de l'Allier (13 avril 1758, à Montluçon ✝ 18 avril 1819, à Paris), Tribun après le 18 brumaire, inspecteur des Écoles de droit de Poitiers et de Toulouse, député au Corps législatif, inspecteur général des études sous la Restauration. Chevalier de l'Empire.
Tiercé en fasce, au 1, de sable au soleil rayonnant d'or surmontant une tour naissante crénelée de quatre pièces du même; au 2, de gueules, chargé du signe des chevaliers légionnaires ; au 3, d'azur à trois chabots nageant en fasce d'argent 2 et 1.[7] | ||
Antoine Didier Jean-Baptiste Challan (19 décembre 1754 - Meulan ✝ 31 mars 1831 - Paris), procureur-syndic du roi au bailliage de Meulan, procureur-syndic du département de Seine-et-Oise (1790), Président du tribunal criminel de Seine-et-Oise, Député de Seine-et-Oise au Conseil des Cinq-Cents (Année invalide (an VI)), Membre du Tribunat (Année invalide (an VIII)), Député de Seine-et-Oise au Corps législatif (17 février 1807), Député de Seine-et-Oise à la Chambre (1814-1816), Chevalier de l'Empire (20 avril 1808), Récipiendaire de lettres de noblesse (19 novembre 1814), Légionnaire (Année invalide (an XII)), puis, Officier de l'ordre royal de la Légion d'honneur (19 octobre 1814),
Tiercé en fasce : au 1, d'azur, à un drapeau d'or, en barre; au 2, de gueules à l'insigne des chevaliers légionnaires ; au 3, de sable, à un livre fermé d'argent, la tranche en bas, et un compas d'or, ouvert en chevron et brochant sur le livre.[5] | ||
Jean-François Champagne[32] (1751 - Semur-en-Auxois ✝ 1813), élève du Lycée Louis-le-Grand, diplômé d'une maitrise ès arts (1774), professeur de seconde au Lycée Louis-le-Grand (1778), Proviseur du Lycée impérial, membre de l'Institut de France, secrétaire perpétuel de l'Académie des sciences morales et politiques (an VIII-an IX), Chevalier de la Légion d'honneur (1804), Chevalier de l'Empire (19 mars 1809),
D'or, à la plume et à la palme au naturel, croisées en sautoir, chargées d'un rouleau formé de manuscrits antiques de sable, surmontées d'un œil au naturel. Bordure de gueules du tiers de l'écu au signe des chevaliers légionnaires, posé en chef au deuxième point.[7] | ||
Joseph-Nicolas de Champeaux (24 juin 1763 - La Chaume (Côte-d'Or) ✝ 21 juin 1815 - Montigny (Seine-et-Oise)), Député du clergé du bailliage de Montfort-l'Amaury aux États-Généraux (28 mars 1789), Député à l'Assemblée constituante de 1789, Conseiller et inspecteur général de l'Université impériale (Premier Empire et Cent-Jours) et royale de France (Première Restauration), Chevalier de l'Empire (28 octobre 1811), Chevalier de la Légion d'honneur,
D'or, à la bande de sable chargée de trois besants du champ et accompagnée de deux croix patées de gueules. (Armes anciennes de la famille) Le tout sénestré d'un pal de gueules du tiers de l'écu chargé du signe des chevaliers légionnaires.[7] | ||
Hyacinthe Adrien Joseph Chapuis (2 mars 1764 - Carpentras (Vaucluse) ✝ 28 novembre 1817 - Paris), Administrateur à Carpentras, Député du Vaucluse (au Conseil des Cinq-Cents (Année invalide (an IV)), au Corps législatif (Année invalide (an XI), confirmé le 8 mai 1811), à la Chambre des Cent-Jours (13 mai 1815)), secrétaire général de la préfecture des Bouches-du-Rhône (Année invalide (an X)), Chevalier de l'Empire (28 janvier 1809), Chevalier de la Légion d'honneur (Année invalide (an XII)),
D'azur à un chevron de gueules chargé du signe des chevaliers légionnaires, accompagné en chef de deux étoiles d'or et en pointe d'une foi d'argent.[10] | ||
Fichier:Blason du chastel.jpg Fichier:Blason famille fr Louis Claude du Chastel (CE).svg |
Louis Claude du Chastel (2 mars 1772 - Saumur (Maine-et-Loire) ✝ 11 octobre 1850 - Charonne, Paris XXe), Colonel, maréchal de camp, chevalier de Lamartinière et de l'Empire, grand officier de la Légion d'honneur, Chevalier de Saint-Louis,
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Chifoliau, médecin principal des armées, Chevalier de l'Empire (5 janvier 1810),
D'azur, au pal d'or chargé d'un bâton de sable accolé d'un serpent du même ; champagne de gueules du tiers de l'écu chargée du signe des chevaliers légionnaires.[14] | ||
Charles Cochon de Lapparent (24 janvier 1750 - Champdeniers ✝ 17 juillet 1825 - Poitiers), préfet de la Vienne (1800-1805) puis préfet des Deux-Nèthes (1805-1809), sénateur (29 mars 1809), Chevalier Cochon de Lapparent et de l'Empire (lettres patentes du 10 septembre 1808, Saint-Cloud[17]), Comte Cochon de l'Apparent et de l'Empire (lettres patentes du 28 mai 1809, Ebersdorf), Légionnaire (Année invalide (an XII)), puis, Officier de la Légion d'honneur (30 juin 1811),
D'or, au chevron de gueules du tiers de l'écu, chargé du signe des chevaliers accompagné de trois têtes de sanglier de sable.[17] Armes parlantes (sanglier⇒cochon). | ||
Hercule Corbineau (10 avril 1780 - Marchiennes ✝ 5 avril 1823 - Châlons-sur-Marne), chef d'escadron (6 février 1807), Major-colonel des chasseurs à cheval de la Garde impériale (13 juin 1809), chevalier Corbineau et de l'Empire (lettres patentes du 20 août 1808), baron Corbineau et de l'Empire (décret du 13 août 1809, lettres patentes du 9 mars 1810 (Paris)), Légionnaire (Année invalide (an XIII)), puis, Officier de la Légion d'honneur (17 novembre 1808),
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Alexandre Henri Simon Cornu de La Fontaine (né le 30 septembre 1765 à Paris), payeur général des dépenses diverses, chevalier de l'Empire (2 juillet 1808), chevalier de la Légion d'honneur,
Tiercé en fasce : au 1, d'azur, à un œil d'argent, rayonnant du même ; au 2, de gueules à l'insigne des chevaliers légionnaires ; au 3, de sable, à cinq besants, 3 et 2, les trois premiers d'argent et les deux autres d'or.[5] Armes parlantes (« Cornu » est proche de « cornet »).
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François Benoît Cornu de La Fontaine[35] de Coincy[36] (3 octobre 1745 - Saint-Denis ✝ 23 mai 1831 - Paris), notable, chevalier de l'Empire (lettres patentes du 15 juillet 1810), caissier général du trésor royal, chevalier de l'ordre royal de la Légion d'honneur,
D'azur à trois cornets d'or 2 et 1, à la bordure de gueules chargée du signe des chevaliers légionnaires.[28] Armes parlantes (« Cornu » est proche de « cornet »).
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Bon-Baudoin de Crépy[37] (17 août 1773 - Longwy ✝ 2 juillet 1813 - Bataille de Lützen), capitaine aux chasseurs à pied de la Garde impériale, chevalier de l'Empire (lettres patentes du 27 décembre 1811), donataire (1 000 francs sur le Mont-de-Milan, 12 février 1808),
Tiercé en bande : au I de sinople à une épée haute en pal d'or ; au 2 de gueules au signe des chevaliers légionnaires ; au 3 d'azur au lévrier assis d'or colleté de gueules.[28] | ||
Pierre Crouzet (1753 ✝ 1811), ancien professeur de l’université de Paris, Directeur des études au Prytanée militaire, correspondant de l'Institut de France, Chevalier de l'Empire (21 septembre 1808), chevalier de la Légion d'honneur,
Tiercé en fasce, de sinople, de gueules et d'or ; le sinople, à la fleur de pensée au naturel ; le gueules; au signe des chevaliers légionnaires ; l'or, à la palme de sinople et à la palme de sable, croisées en sautoir.[7] | ||
Georges Jean Léopold Nicolas Frédéric Dagobert Cuvier (25 août 1769 - Montbéliard ✝ 9 mai 1832 - Paris), naturaliste, professeur au Collège de France, membre et secrétaire de première classe de l'Institut de France, conseiller de l'Université, puis inspecteur général, maître des requêtes au Conseil d'État, pair de France, Chevalier de l'Empire (23 octobre 1811), Baron sous la Restauration,
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Figure | Nom du chevalier et blasonnement | |
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Bon-Joseph Dacier[38] (1er avril 1742, à Valognes ✝ 4 février 1833, à Paris), Membre de l'Institut de France, secrétaire perpétuel de la classe d'histoire et de littérature ancienne, administrateur de la Bibliothèque impériale, Chevalier de l'Empire (16 décembre 1813, puis Baron (29 mai 1830),
D'azur, à la barre cousue de gueules du tiers de l'écu, chargé du signe des chevaliers posé au 3e point en chef, accompagnée en chef à dextre d'un Y ou pairle d'or et en pointe de trois delta, 1, 2, d'argent.[7],[5] | ||
Nicolas Dalayrac (8 juin 1753, à Muret ✝ 27 novembre 1809, à Paris), Compositeur, membre de la Légion d’honneur à la suite du décret du 28 messidor an XII, Chevalier de l'Empire par lettres patentes du 3 mai 1809, signées à Ebersberg.
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Damelincourt ou d'Hamelincourt chirurgien-major au 33e de ligne, Chevalier de l'Empire (24 août 1811),
D'azur, au coq hardi d'or, surmonté de deux étoiles en fasce d'argent; champagne cousue de gueules du tiers de l'écu, chargée du signe des chevaliers légionnaires.[14] | ||
François-Isidore Darquier (5 juin 1770 - Beaumont-de-Lomagne ✝ 12 décembre 1812 - Vitoria-Gasteiz), lieutenant-colonel aux grenadiers à pied de la Garde impériale, colonel-major (5 février 1809), Chevalier Darquier et de l'Empire (lettres patentes du 20 août 1808), Baron Darquier et de l'Empire (décret du 15 mars 1810, lettres patentes du 11 juin 1810 (Saint-Cloud)), Légionnaire (Année invalide (an XII)), puis, Officier de la Légion d'honneur (14 mars 1806), Chevalier de l'ordre de la Couronne de Fer (1810),
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Guillaume Louis Darthenay (Tribehou (Normandie), 12 octobre 1750 – Meslay (Calvados), 18 novembre 1834), député du Calvados au Corps législatif, membre du collège électoral du Calvados, chevalier Darthenay et de l'Empire (à la suite du décret du 25 janvier 1810 le nommant membre de la Légion d'honneur, lettres patentes du 26 avril 1810 signées à Compiègne), baron Darthenay et de l'Empire (décret du 28 avril 1810, lettres patentes du 23 mai 1810 signées à Lille), membre de la Légion d'honneur (décret du 25 janvier 1810),
Coupé au premier d'or au dextrochère brassardé de sable, mouvant du canton senestre en chef tenant une flèche du même posée en bande ; au deuxième de pourpre au comble d'argent : bordure de gueules du tiers de l'écu au signe des chevaliers posé en pointe.[17] | ||
Jacques Louis David (30 août 1748 - Paris ✝ 29 décembre 1825 - Bruxelles), peintre, Membre, puis président de la Convention nationale, membre de l'Institut de France, premier peintre de l'Empereur, exilé en 1815, Chevalier de l'Empire (1808),
D'or à la palette de peintre de sable chargée de deux bras de carnation mouvant à dextre d'un manteau de gueules, la main dextre apaumée, la sénestre tenant trois sabres de fer poli ; le tout soutenu d'une champagne de gueules au signe des chevalier.[17],[7],[15]
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Louis-Victor Decaux (23 mai 1775 - Douai ✝ 6 juin 1845 - Saint-Germain-en-Laye), chef de bataillon (1er août 1799), chef de division du ministère de la Guerre (1807), colonel (7 mars 1810), général de brigade (1811), lieutenant-général (30 juillet 1823), Chevalier de Blacquetot et de l'Empire (lettres patentes du 2 juillet 1808 avec dotation de 500 francs sur le Monte Napoleone le 8 septembre 1808), Baron de Blacquetot et de l'Empire (décret du 29 décembre avec dotation de 4 000 francs, lettres patentes du 11 novembre 1813), Vicomte (17 février 1817, lettres patentes du 31 janvier 1818), Légionnaire (Année invalide (an XII)), puis, Officier (29 juillet 1814), puis, Commandeur (18 mai 1820), puis, Grand officier (3 novembre 1827), puis, Grand-croix de la Légion d'honneur (30 mai 1837), Chevalier (27 juin 1814), puis, Commandeur (3 janvier 1823), puis, Grand-croix de Saint-Louis (8 août 1829), Grand-croix de l'Ordre de Charles III, Grand-croix de l'Ordre de Saint-Ferdinand d'Espagne, Grand-croix de l'Ordre d'Isabelle-la-Catholique, Commandeur de l'Ordre impérial de Léopold, Commandeur de l'Ordre royal des Guelfes, Commandeur de l’Ordre de Saint-Henri de Saxe, Chevalier de 1re classe de l'Ordre de Sainte-Anne de Russie, Pair de France (11 octobre 1832),
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Gaspard Gilbert Delamalle[39] (1752 - Paris ✝ 1834), Bâtonnier des avocats de Paris, conseiller titulaire de l'Université, Auditeur au Conseil d'État, préfet des Pyrénées-Orientales (1813), commandeur de la Légion d'honneur, Chevalier de l'Empire (25 juin 1811), Donataire, Conseiller d'État au Conseil du Roi (4 juillet 1814), conseiller au conseil royal de l'Instruction publique (17 février 1815), conseiller titulaire de l'Université impériale (31 mars 1815), anobli par lettres en 1821, vicomte (1830)
Parti, au 1, de sable à deux palmes d'or nouées d'une branche d'olivier du même; au 2, d'azur, au soleil d'or, cantonné à dextre en pointe, dissipant un nuage de sable cantonné en chef à sénestre. Champagne de gueules du tiers de l'écu chargé du signe des chevaliers légionnaires, brochant sur le parti[7],[6],[27]. | ||
Jean-Baptiste Joseph Delambre (19 septembre 1749 - Amiens ✝ 19 août 1822 - Paris), astronome, mathématicien, géodésien, associé géomètre de l'Académie des sciences (1792), puis secrétaire pour les sciences mathématiques (1800), inspecteur général des études (1802), chaire d'astronomie du Collège de France (1807), membre du conseil de l'Université (1808-1815), directeur de l'observatoire de Paris (1804-1822), Chevalier de l'Empire (10 septembre 1808), Baron de l'Empire (24 août 1811), Légionnaire, puis Officier de la Légion d'honneur (1821),
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Dominique Vivant Denon (4 janvier 1747 - Givry (Saône-et-Loire) ✝ 28 avril 1825 - quai Voltaire, Paris), graveur, écrivain, diplomate et administrateur français, collectionneur et réorganisateur du musée du Louvre, secrétaire d’ambassade à Saint-Pétersbourg, puis en Suède, puis en Suisse (1775), secrétaire d'ambassade (1782) puis chargé d'affaires à Naples, membre de l'Académie royale de peinture et de sculpture (1787), membre de l'Institut d'Égypte (20 août 1798), Membre de l'Institut de France (Académie des beaux-arts, 28 janvier 1803), Gentilhomme ordinaire de la Chambre du Roi (1768), Directeur général de la Monnaie et des musées impériaux, baron Denon et de l'Empire (1813),
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Pierre Dereix[40] (26 avril 1769, à Aigre (Charente) - 10 septembre 1854, à Saint-Malo), engagé dans la Compagnie des Volontaires du Canton d'Aigre (14 août 1792), dont il est élu capitaine, chef de bataillon au 22e régiment d'infanterie de ligne (10 août 1805), Lieutenant-colonel au 150e de Ligne (16 janvier 1813), fait [colonel] sur le champ de bataille, à Goldenberg (29 août 1813), commandant provisoire de Brest (19 mai 1815), Chevalier de la Légion d'honneur (15 juin 1804), chevalier de Saint-Louis (15 août 1814), Chevalier de l'Empire (1810, avec dotation, confirmé en 1818),
Tiercé en bande, au I d'azur à une grenade enflammé d'or ; au II de gueules à l'insigne des chevaliers légionnaires ; au III de sable au dextrochène d'argent tenant une épée du même.[27] | ||
Jean Deval de Guymont (7 mai 1756 - Pontaumur (Puy-de-Dôme) ✝ 9 novembre 1833 - Riom), Juge au tribunal du district de Riom (1790), Commissaire et accusateur public près le tribunal criminel de Riom (an II), Député du Puy-de-Dôme au Corps législatif (Année invalide (an XI) (28 juillet 1801) - 1809), Procureur général près la Cour de justice criminelle du Puy-de-Dôme (1809 - 1811), Président de chambre à la Cour impériale de Riom (17 avril 1811 - 1833), Baron de Saunade, Chevalier de l'Empire (30 novembre 1811), Chevalier de la Légion d'honneur (an XII),
Armes parlantes. (« Rébus » : gui et mont⇔Guymont) | ||
Jacques François Laurent Devisme (10 août 1749, à Laon ✝ 2 février 1830, à Laon), député du Tiers-états aux États généraux de 1789, Président du Corps législatif (an X), Membre de la chambre des représentants (Cent-Jours), Légionnaire (Année invalide (an XII)), Chevalier de l'Empire (24 février 1809),
Parti, le premier d'azur au chevron de gueules accompagné en chef de deux étoiles et en pointe d'un croissant montant le tout d'or ; le deuxième d'azur à la fasce d'or sommée d'une pyramide de gueules maçonnée de sable, accostée de deux étoiles d'or et accompagnée en pointe d'un mouton passant d'argent, tenant une bannière de même sur le pennon de laquelle est une croix de sable ; champagne de gueules au signe des chevaliers.[17] | ||
Étienne Thérèse Amarante Duboys Fresney[42] (18 août 1758 - Rennes ✝ 27 septembre 1864), colonel du génie, chevalier de l'Empire (1810), chevalier de Saint-Louis (1817),
D'or à la muraille crénelée de 4 pièces d'azur, accompagnée en chef d'un casque de sable, taré de face, et en pointe d'une épée haute entre 2 bombes aussi de sable et une bordure de gueules chargée en pointe d'une croix de légionnaire d'argent.[42],[30] | ||
Dupin, colonel, Chevalier de l'Empire,
D'azur, à un coq hardi d'or, acc. d'une étoile d'argent, posée au canton dextre du chef, soutenu d'une champagne de gueules chargée de l'insigne des chevaliers légionnaires.[5] | ||
Jacques-Romain Dupré[43] (22 novembre 1771, à Loriol-sur-Drôme ✝ 2 juillet 1864), lieutenant au 2e régiment d'infanterie légère, retraité capitaine, chevalier de la Légion d'honneur (26 prairial an XII), chevalier de l'Empire,
Tiercé en fasce ; au I, d'azur au lion rampant, adextré d'une tour, senestré d'une épée d'or ; au II, de gueules au signe des chevaliers légionnaires ; au III, d'or au coq de sable, crété, barbé de gueules, soutenu d'un pré de sinople.[44] |
E[]
Figure | Nom du chevalier et blasonnement | |
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Gaspard Eberlé (11 juin 1764 - Schelestadt ✝ 16 février 1837 - Nice), Général de brigade, chevalier de l'Empire (Lettres patentes du 1er janvier 1813),
D'azur à un chevron de gueules chargé de l'insigne des chevaliers légionnaires, soutenu d'une main d'argent tenant un sabre haut d'or, au chef d'or chargé de deux étoiles d'azur.[8] | ||
Jean-Georges Edighoffen (Colmar, 19 septembre 1759 - Colmar, 10 mars 1813), général de brigade en retraite, chevalier de l'Empire (à la suite du décret du Année invalide (an XIV) le nommant commandant de la Légion d'honneur, lettres patentes signées le 15 juillet 1810 à Rambouillet), officier (Année invalide (an XII)), puis, commandant de la Légion d'honneur (Année invalide (an XIV)),
De sable à l'épée en bande d'or cotoyée de deux cotices du même, bordure de gueules du tiers de l'écu au signe des chevaliers posé au deuxième point en chef.[17] |
F[]
Figure | Nom du chevalier et blasonnement | |
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Giovanni Fabbroni (° 13 février 1752 - Florence † 17 décembre 1822 - Pise[45]), député de l'Arno au Corps législatif, Chevalier Fabbroni et de l'Empire (à la suite du décret du 25 janvier 1810 le nommant membre de la Légion d'honneur, lettres patentes de 25 mars 1810, Compiègne), légionnaire (25 mars 1810),
Parti au premier d'azur à la bande d'argent chargée de trois marteaux du champ, sénestrée au chef d'un globe d'argent chargé d'un sautoir de gueules ; au deuxième d'azur à la fasce d'or, accompagnée de trois rouës du même : champagne de gueules du tiers de l'écu, au signe des chevaliers.[17] | ||
Marie-Félix Faulcon de La Parisière, député, Président du Corps Législatif (chevalier de l'Empire par lettres patentes du 21 décembre 1808).
D'argent au faucon longé et perché de sable, becqué et membré de gueules, allumé du champ, soutenu de deux palmes en sautoir de sinople, à la champagne du tiers de l'écu de gueules au signe des chevaliers.
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Alexandre de Fauris de Saint-Vincens (1er septembre 1750 - Aix-en-Provence ✝ 15 novembre 1819 - Aix-en-Provence), Président à mortier au parlement de Provence (charge de son père, 11 juillet 1782 - 1789), Maire d'Aix-en-Provence (13 août 1808 - 20 novembre 1809), Député des Bouches-du-Rhône au Corps législatif (2 mai 1809), Président de chambre à la cour impériale puis royale d'Aix (1er juin 1811 (confirmé le 29 février 1816) - 1819), Député des Bouches-du-Rhône à la Chambre des députés (1814), Chevalier de l'Empire (30 septembre 1811), Officier de la Légion d'honneur,
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Pierre-François-Placide Fouque (de Moustiers-Sainte-Marie), chef de bataillon, aide de camp, chevalier de l'Empire (avec majorat le 15 octobre 1809),
D'azur au renard passant d'argent ; à la champagne de gueules chargée du signe des chevaliers légionnaires.[10] | ||
Henri de Fulque[49] (originaire de Valensole), général de brigade (1790), comte d'Oraison, Chevalier d'Oraison et de l'Empire (21 septembre 1808),
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G[]
Figure | Nom du chevalier et blasonnement | |
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Antoine-Laurent-Marie Garavaque (10 août 1778 - Marseille ✝ 19 août 1836), major au 10e dragons, colonel au 14e hussards (1813), puis au 8e Cuirs (1815), chevalier de l'Empire (2 septembre 1810),
Coupé : au I de sinople à la colombe essorante d'argent, tenant dans son bec un rameau d'olivier d'or ; au II d'azur au lion assis d'or;à la bordure de gueules chargée du signe des chevaliers légionnaires[10]. | ||
Antoine-Nicolas Gayant[52] (né le 6 décembre 1756), Inspecteur divisionnaire des Ponts et Chaussées, chargé de l'exécution du canal de Saint-Quentin (1810), Chevalier de l'Empire (25 mars 1810),
D'argent au monument de sable ouvert d'une arche du champ; figurant l'entrée d'un canal souterrain (canal de Saint-Quentin), à la rivière d'azur passant sous l'arche, soutenant un navire d'or. Le tout soutenu d'une champagne de gueules du tiers de l'écu au signe des chevaliers.[7] | ||
Étienne Geoffroy Saint-Hilaire (1772 - Étampes ✝ 1844), zoologiste et naturaliste français, Membre de l'Institut d'Égypte, organisateur du Muséum de Paris, Chevalier Geoffroy Saint-Hilaire et de l'Empire (à la suite du décret du Année invalide (an XII) le nommant membre de la Légion d'honneur, lettres patentes du 26 octobre 1808, Paris), Légionnaire (Année invalide (an XII)), puis, Officier de la Légion d'honneur (29 avril 1838).
Tiercé en bande d'or, de gueules et d'argent ; l'or à la pyramide de sable, le gueules au signe des chevaliers ; l'argent au crocodile d'azur.[7],[17] | ||
Louis-Anne-Marie Gouré, dit de Villemonté (5 décembre 1768 - Tonnerre (Yonne) ✝ 3 mai 1813 - Lützen (Saxe)), général de brigade, Légionnaire (décret impérial du 25 prairial an XII), puis, Officier de la Légion d’honneur (décret impérial du 15 Germinal an XIII : 14 juin 1804), Chevalier de l’Ordre de Maximilien Joseph de Bavière (décret impérial du 26 avril 1808), Chevalier de l'Empire,
D’or à l’épée de gueules en bande, accompagnée en chef et en pointe d’une tête de cheval de sable, allumée et lampassée de gueules, à la bordure de gueules, chargée du signe des chevaliers légionnaires.[12] | ||
Balthazard Grandjean (26 janvier 1760 ✝ 3 décembre 1824), général de brigade (1803), Commandant de la Légion d'honneur (1804), Chevalier des Grands-Chenets et de l'Empire (1810),
D'azur, à deux étoiles d'or, posées en bande, à la bordure de gueules, chargée du signe des légionnaires.[6] | ||
Fichier:Blason André Ernest Modeste Grétry (1741-1813).svg | André Ernest Modeste Grétry (1741 ✝ 1813), compositeur liégeois, Chevalier légionnaire,
D'argent à un pal de gueules, chargé de l'insigne des Chevaliers légionnaires, addextré d'une lyre cousue d'or et cordée de sable, et sénestré d'un fer de moline de sable[53]. Modèle:Armes fautives | |
Louis-Bernard Guyton de Morveau, puis Guyton-Morveau (4 janvier 1737, à Dijon (Côte-d'Or) ✝ 2 janvier 1816, à Paris), chimiste français, Procureur général syndic du département de la Côte-d'Or (1790), député à l'Assemblée législative (1791) puis à la Convention nationale, membre du Comité de salut public (6 avril 1793), directeur par intérim de l'École polytechnique (3 mars 1798), correspondant à l'Académie des sciences, membre de l'Institut national des sciences et des arts (20 novembre 1795), Chevalier de l'Empire (20 août 1809), Baron de l'Empire (23 octobre 1811),
D'azur au chevron d'or accompagné en chef de deux heaumes d'argent et en pointe d'un vase fumigatoire du même. Champagne cousue de gueules du tiers de l'écu chargée du signe des chevaliers légionnaires.[7] |
H[]
Figure | Nom du chevalier et blasonnement | |
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Alexandre d'Haubersart (18 octobre 1732 - Douai † 16 août 1823 - Douai), premier président de la cour d'appel de Douai, député au Corps législatif, sénateur (14 avril 1813 : dernier promu), chevalier Dhaubersart et de l'Empire (à la suite du décret du Année invalide (an XII) le nommant membre de la Légion d'honneur, lettres patentes du 28 janvier 1809, (Paris)), baron d'Haubersart et de l'Empire (décret du 22 avril 1810, lettres patentes du 17 mai 1810 (Gand), institution de majorat, attaché au titre de baron, accordée par lettres patentes du 25 mars 1813, à Paris), comte d'Haubersart et de l'Empire (lettres patentes du 19 juin 1813 (Saint-Cloud), légionnaire (Année invalide (an XII)), puis, officier de la Légion d'honneur (31 juillet 1814).
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Jean-Antoine Houdon (20 mars 1741, Versailles ✝ 15 juillet 1828, Paris), sculpteur français, membre de l'Institut de France, Chevalier de l'Empire (1er avril 1809),
D'azur au chevron cousu de gueules du tiers de l'écu, chargé du signe des chevaliers légionnaires, accompagné en chef, à dextre d'un croissant, à sénestre d'un arc et d'une flèche, le tout d'argent; et en pointe d'un vieillard assis dans un fauteuil, le tout aussi d'argent. (Ces armes rappellent la statue de Voltaire assis dans un fauteuil, un des chefs-d'œuvre de Houdon)[7]. | ||
Charles Angélique François Huchet de La Bédoyère (17 avril 1786 - Paris † 19 août 1815 - Paris), capitaine aide de camp, Chevalier Huchet de La Bédoyère et de l'Empire (à la suite du décret du 23 juin 1809 le nommant membre de la Légion d'honneur, lettres patentes du 12 novembre 1809, Fontainebleau), légionnaire (23 juin 1809), puis, officier de la Légion d'honneur (21 juin 1813), chevalier de l'Ordre de la Couronne de fer (11 août 1809),
D'azur à la fasce d'or chargée d'une étoile du champ, et accompagnée de trois croissants aussi d'or, deux en chef, un en pointe le tout soutenu d'une champagne de gueules du tiers de l'écu au signe des chevaliers.[17] | ||
Étienne Hulot[54] de Mazerny (15 février 1774, à Mazerny ✝ 23 septembre 1850, à Nancy), colonel (1808), général de brigade (1812), Commandeur de la Légion d’honneur (19 novembre 1813), Chevalier de l'Empire (31 janvier 1810), Baron de l'Empire (14 juin 1813),
Armes de Chevalier de l'Empire : D'argent au dextrochère au naturel armé d'azur mouvant du flanc senestre de l'écu, tenant une épée de sable, accompagné de trois chouettes (hulottes) de sable posées de front ; à la bordure de gueules chargée au point du chef de l'insigne des chevaliers légionnaires de l'Empire.[27] | ||
François Alexandre Hurel[55],[56] (1774- Acon ✝ 1847 - Paris), soldat de l'An II, capitaine, colonel (sous la Restauration), Chevalier de l'Empire, baron (sous la Restauration),
Tiercé en fasce : au I, d'azur au vol ouvert d'argent chargé d'une épée haute posée en pal et adextré d'une étoile aussi d'argent ; au II, de gueules à l'insigne des chevaliers légionnaires ; au III, d'or à la pyramide de sable soutenue de sinople et senestrée d'un palmier terrassé du même.[5] |
J[]
Figure | Nom du chevalier et blasonnement |
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Fichier:Blason Claude François Jannot de Moncey.svg | Claude François Jannot de Moncey[57] (né en 1752), Chevalier de l'Empire,
D'azur, à une main d'or, ailée d'argent, tenant une épée du même en pal ; à la champagne de gueules chargée de l'insigne des Chevaliers légionnaires[15]. |
Pierre Amédée Jaubert (3 juin 1779 - Aix-en-Provence ✝ 28 janvier 1847 - Paris), orientaliste, traducteur français, membre de la Commission des Sciences et des Arts, chargé d'affaires à Constantinople, professeur de persan au Collège de France (1838), professeur de turc à l'École des langues orientales (président en 1838), chevalier de l'Empire (lettres patentes du mois de mai 1808), membre de Académie des inscriptions et belles-lettres (1830), pair de France et conseiller d'État (1841),
De sinople au chevron d'or accompagné en chef d'un croissant du même, les pointes à dextre; à la fasce de gueules, brochante et chargée du signe des chevaliers légionnaires.[10] | |
Jacques Casimir Jouan (4 mars 1767 - Saint-Christophe-du-Foc ✝ 7 mars 1847 - Tréauville), Volontaire en 1791 au 2e bataillon du département de la Manche, Général de brigade puis Maréchal de camp, Commandeur de la Légion d’honneur, Chevalier de l'Empire,
D’or au cheval arrêté de sable, surmonté d’une gerbe de blé de sinople, à la champagne de gueules chargée du signe des chevaliers légionnaires.[12],[9] | |
Joseph Paul Maurice de Julien de Montaulieu (né le 22 septembre 1782 à Valréas), capitaine de cavalerie, chevalier de la Légion d'honneur, chevalier de l'Empire (11 juillet 1810), Chevalier de Saint-Louis,
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Jules-Joseph de Julien de Montaulieu (né le 23 mai 1786 à Valréas), enseigne de vaisseau, chevalier de la Légion d'honneur, chevalier de l'Empire (22 novembre 1811)
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K[]
Figure | Nom du chevalier et blasonnement | |
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Jean-Jacques Kessel (1772 ✝ 1847), chef de bataillon aux 4e voltigeurs de la Garde impériale, chevalier de l'Empire (décret impérial du 15 mars 1810 et lettres patentes du 2 avril 1812), Légionnaire par décret impérial du Année invalide (an XII) (14 juin 1804), puis, Officier de la Légion d'honneur le 8 octobre 1812
D'or au lion couché de sable, soutenu de sinople, adextré en chef d'une étoile d'azur ; champagne du tiers de l'écu de gueules au signe des chevaliers légionnaires.[17] | ||
George Frédéric Kitz (né le 9 août 1776, à Sohrau -Haute-Silésie, Pologne), chirurgien-major au 1er régiment de la Vistule, domicilé dans le département des Ardennes, il fit une demande de naturalisation le 5 décembre 1814[58], Chevalier de l'Empire (9 octobre 1813),
Tiercé en pal, d'azur, de gueules et d'argent; l'azur, à la massue d'or accolée d'un serpent d'argent; le gueules, au signe des chevaliers légionnaires; l'argent, à une jambe vêtue d'azur, le pied chaussé d'un soulier à talon rehaussé, de sable, mouvant du flanc senestre, et soutenu de sinople.[14] |
L[]
Figure | Nom du chevalier et blasonnement | |
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Laurent Lafaurie de Montbadon (° 3 août 1757 - Bordeaux † 13 mars 1824 - Bordeaux), maire de Bordeaux (1805-1809), gouverneur du palais impérial de cette ville, sénateur (6 mars 1809), Chevalier Lafaurie Monbadon et de l'Empire (à la suite du décret du 28 avril 1806 le nommant membre de la Légion d'honneur, lettres patentes du 22 novembre 1808, Burgos), Comte Lafaurie Monbadon et de l'Empire (lettres patentes du 25 mars 1809, Paris, institution de majorat attaché au titre de comte (décret du 6 septembre 1811, lettres patentes du 31 octobre 1811, signées à Amsterdam), Légionnaire (26 avril 1808), puis, officier (6 avril 1813), puis, commandeur (1er mai 1821), puis, grand officier de la Légion d'honneur (19 août 1824),
Tiercé en fasce d'or, de gueules & d'azur, l'or aux trois étoiles de sinople posées en fasce ; le gueules au signe des chevaliers ; l'azur au léopard grimpant d'or.[17] | ||
Louis Joseph Lahure (29 décembre 1767 - Mons (Pays-Bas autrichiens) † 24 octobre 1853 – Château de Wavrechain-sous-Faulx), , général de brigade (nommé provisoirement le 21 juillet 1799, confirmé le 19 octobre 1799), député du département de Jemmapes au Corps législatif (22 mars 1802 (6 germinal an X)), lieutenant-général (22 juillet 1818), lieutenant-général titulaire en Belgique (20 mars 1831), chevalier de l'Empire (lettres patentes de l'Empereur du 10 avril 1811), puis baron de l'Empire (22 décembre 1813, avec une dotation qu'il ne toucha jamais, lettres patentes de l'Empereur du 26 février 1814), Officier (Année invalide (an XII), puis Commandant (Année invalide (an XII)), puis Grand officier de la Légion d'honneur (29 avril 1833), Chevalier (6 août 1814), puis Commandeur de l'Ordre royal et militaire de Saint-Louis, Grand officier de l'Ordre de Léopold (15 juin 1842),
Armes parlantes. Hure⇔Lahure Armes parlantes. Hure⇔Lahure | ||
Charles Pierre Marys de Lamer (20 février 1753[60] - Toulon ✝ 28 novembre 1812 - Passage de la Bérézina), Général de brigade (10 août 1793), Chef d'état-major de l'armée des Pyrénées-Orientales, Général de division (Année invalide (an II) : 1796), Commandant provisoire de l'armée des Pyrénées-Orientales (16 septembre - 12 octobre 1795), Député des Pyrénées-Orientales au Corps législatif (18 février 1807), chevalier de la Légion d'honneur (Année invalide (an XII)), Chevalier de Saint-Louis, Chevalier de l'Empire (lettres patentes du 13 août 1811),
Armes parlantes. (Lamer⇔la mer). | ||
Lanefranque, médecin en chef de l'hôpital de Bicêtre, médecin attaché à la maison de l'Empereur, Chevalier de l'Empire (16 décembre 1810, titre confirmé en 1866, en faveur de son petit-fils, imprimeur à Bordeaux),
De gueules, à trois chevrons d'or, accompagnés en chef de deux têtes de serpent du même. Champagne aussi de gueules, du tiers de l'écu, chargée du signe des chevaliers non légionnaires, qui est un annelet d'argent.[14] | ||
Gaspard Louis Langeron (1er janvier 1772, à Landau (Royaume de Bavière) ✝ 20 février 1858), général de brigade, Officier de l'Ordre impérial de la Légion d'honneur (décret impérial du 8 juin 1809), puis, Commandeur de l'Ordre royal de la Légion d'honneur (sous la Restauration), Chevalier de l'Ordre royal et militaire de Saint-Louis (ordonnance royale du 30 octobre 1814), Chevalier de l’Empire (décret impérial du 15 août 1809 et lettres patentes du 21 novembre 1810),
D’azur à trois étoiles d’argent ; à la bordure de gueules chargée d’une croix de la Légion d’honneur d’argent.[12] | ||
Claude-Michel Larché (29 septembre 1748 - Dijon ✝ 9 mars 1829 - Dijon), Avocat (17 novembre 1768), Membre provisoire du tribunal de Dijon, Président du tribunal de Louhans (octobre 1790), Juge au tribunal civil de Saône-et-Loire (10 octobre 1795), Président du tribunal d'appel de Dijon (Année invalide (an VIII) : 5 juin 1800), Président du collège électoral de la Côte-d'Or (an XII), Député de la Côte-d'Or au Corps législatif (Année invalide (an XII) : 17 août 1804), Premier président de la Cour Impériale de Dijon (6 avril 1811 - 1815), Chevalier de l'Empire (lettres patentes du 21 décembre 1808), Baron de l'Empire (lettres patentes du 9 septembre 1810), Chevalier de la Légion d'honneur (Année invalide (an XII)),
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Ignace Laugier (29 août 1768 - Turin ✝ 12 août 1811 - Turin), Maire de Turin, Député du département du Pô au Corps législatif (3e jour complémentaire de l'an XIII - 1806, Président du conseil général du département du Pô, Chevalier de l'Empire (lettres patentes du 18 juin 1809), Chevalier de la Légion d'honneur, Trésorier de la 16e cohorte de la Légion d'honneur,
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Nicolas Joseph Leboeuf (° 17 mars 1753 - Wassy, province de Champagne † 2 janvier 1811 - Orléans), président de la cour de justice criminelle du Loiret, Chevalier des Auvergnes et de l'Empire (à la suite du décret du Année invalide (an XII) le nommant membre de la Légion d'honneur, lettres patentes du 20 août 1809, signées à Schœnbrunn),
D'azur à deux chevrons supperposés d'or accompagnés de trois cornettes du même : bordure de gueules au signe des chevaliers posé au second point en chef.[17],[22] | ||
Jean-Baptiste-Jacques-Alexandre Le Boursier (Mortain (auj. dans la Manche), 11 avril 1777 – Mortain le 15 décembre 1821), capitaine aux chasseurs à pied de la Garde impériale, Chevalier Le Boursier et de l'Empire (décret du 15 mars 1810, lettres patentes signées le 23 mai 1810 à Lille), Légionnaire (Année invalide (an XII)), puis, Officier de la Légion d'honneur (16 août 1813), Chevalier de l'ordre de la Réunion (28 novembre 1813),
D'azur, au chevron cousu de gueules du tiers de l'écu, au signe des chevaliers accompagné en chef de deux croissants d'or, surmonté de trois étoiles en fasce d'argent, et en pointe d'un lion d'or, armé d'une épée haute d'argent[17],[22]. | ||
Jacques-François Le Boys des Guays (Montargis (Orléanais), 7 décembre 1740 – Bléneau (Yonne), 18 mars 1832), procureur général près la cour criminelle du département de l'Yonne, chevalier Le Boys des Guays et de l'Empire (à la suite du décret du Année invalide (an XII) le nommant membre de la Légion d'honneur, lettres patentes signées à Schœnbrunn à 18 juin 1809), Légionnaire (Année invalide (an XII))
De sable, à l'agneau pascal d'argent tenant une croisette d'argent au pennon du même chargée d'une croix surmontée de trois étoiles en fasce, le tout de sable ; bordure de gueules au tiers de l'écu au signe des chevaliers posé au second point en chef[17],[22]. | ||
Louis Lebrun (° 4 mars 1769 - Roncey, province de Normandie † 12 juin 1853[réf. à confirmer][62]), chef d'escadron au 9e dragons, chevalier Lebrun et de l'Empire (à la suite du décret du Année invalide (an XII) le nommant membre de la Légion d'honneur et du décret du 25 février 1809 lui accordant une dotation, lettres patentes du 31 janvier 1810, Paris), légionnaire (Année invalide (an XII)), puis officier de la Légion d'honneur (10 septembre 1807)
D'or à la fasce de gueules, du tiers de l'écu au signe des chevaliers ; accompagnée en chef de deux fers à cheval de sinople, cloutés du champ, traversés d'un sabre de dragon en fasce de sable, et en pointe d'un cheval libre de sable, soutenu de sinople.[17] | ||
Louis Lefèvre-Gineau (27 mars 1751, à Authe ✝ 3 février 1829, à Paris), Professeur et directeur au Collège de France, membre de l'Institut de France, inspecteur général de l'Université, député au Corps législatif, Chevalier d'Ainelle et de l'Empire (1808),
Tiercé en fasce, d'azur à deux rencontres de loup d'argent, de gueules au signe des chevaliers, et de sinople à une tête de loup d'argent en rencontre.[7] | ||
Adrien-Marie Legendre (1752, à Toulouse ✝ 10 janvier 1833, à Auteuil, mathématicien et géomètre français, membre de l'Institut de France, conseiller de l'Université impériale, professeur à l'École polytechnique, Chevalier de la Légion d'honneur, Chevalier de l'Empire (25 juillet 1811),
Parti, au l, d'azur, chargé à dextre d'une tour crénelée de cinq pièces, soutenue d'un rocher issant d'une mer, le tout d'argent, la tour sommée d'un fanal allumé de gueules; au 2, de sable, au globe terrestre d'or surmonté d'une main tenant un compas du même, dans l'action de mesurer. Champagne de gueules du tiers de l'écu, au signe des chevaliers légionnaires[7]. | ||
Philippe Legras, avocat au Conseil d'État, Chevalier de l'Empire (mai 1808), Chevalier de la Légion d'honneur,
D'or à la fasce de gueules chargé du signe des chevaliers légionnaires, accompagné en chef d'un foi parée d'azur.[5] | ||
François Antoine Lejéas (12 juillet 1744 - Paris † 16 avril 1827 - Bruxelles), vicaire général métropolitain de Paris, évêque de Liège (1809-1815), Chevalier Lejéas et de l'Empire avec transmission à l'un de ses neveux (lettres patentes de mai 1808), Baron Lejéas et de l'Empire (lettres patentes du 3 mai 1809), chevalier de la Légion d'honneur,
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Pierre Thomas Le Roy de Boisaumarié (12 février 1773 - Longny-au-Perche ✝ 27 avril 1837 - Pau), Officier d'état-major dans le 3e bataillon de volontaires de l'Orne, Capitaine (1799), rapporteur du conseil de guerre de la 1re division militaire (Paris, 1802), Membre du Tribunat (Année invalide (an X)), puis secrétaire de cette assemblée, Député de l'Orne au Corps législatif (1807), Préfet du Var (22 juin 1811 - 1814), Préfet du Loiret (30 mars 1815 : Cent-Jours), Préfet d'Ille-et-Vilaine en 1830, Préfet des Basses-Pyrénées (1832), Chevalier de Boisaumarié et de l'Empire (10 septembre 1808, puis, 1er Baron de Boisaumarié et de l'Empire, Chevalier (Année invalide (an XII)), puis, Commandeur de la Légion d'honneur,
D'azur au chevron de gueules chargé du signe des chevaliers légionnaires, accompagné à dextre d'une tour d'or maçonnée de sable et à senestre d'une balance d'argent, en pointe d'un livre ouvert d'argent.[64] | ||
Pierre Lévêque (3 septembre 1746 - Nantes ✝ 16 octobre 1814), Membre de l'Institut de France, professeur au Collège de France, examinateur pour les écoles de navigation, Chevalier de l'Empire (21 décembre 1808),
Parti : le 1, d'argent, à l'ancre d'azur; le 2, coupé, au 1, de sinople, à la sphère d'or; au 2, d'azur, au chevron d'argent accompagné en chef à dextre d'un croissant d'argent, à senestre d'une étoile du même et en pointe d'un soleil d'or. Champagne de gueules du tiers de l'écu, chargée du signe des chevaliers légionnaires, brochant sur le parti.[7] | ||
Pierre-Charles Levesque (1736 - Paris ✝ 1812), Historien et traducteur, membre de l'Institut de France, (1801), Chevalier de Saint-Cyr et de l'Empire (9 mai 1809),
D'argent, à la bande de gueules chargée du signe des chevaliers légionnaires, accompagnée en chef d'une branche d'olivier de sinople et en pointe d'un rouleau de sable, dans la forme d'un manuscrit antique.[7] | ||
Louis Lézurier de La Martel (25 mai 1765, à Rouen ✝ 22 janvier 1852, au Val-de-la-Haye), Financier, Maire de Rouen par décret impérial du 25 mars 1813, membre de l’Académie de Rouen (21 décembre 1808), député de la Seine-Inférieure au corps législatif, maintenu, en 1814, à la Chambre des députés, Chevalier de l’Empire (10 septembre 1808), Baron de l'Empire (14 avril 1810), officier de la Légion d'honneur (5 juillet 1804, et trésorier de la 14e cohorte, dont le siège était à Rouen),
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Pierre-Paul-Marie Liger de Verdigny[65] (10 janvier 1754 - Châtillon-sur-Loing † 29 août 1832 - Paris), vice-président du tribunal révolutionnaire qui jugea Fouquier-Tinville, Conseiller et membre de la cour impériale de cassation, Chevalier de l'Empire (décret impérial et lettres patentes signés en 1808), Chevalier de la Légion d'honneur (décret du Année invalide (an XII) (14 juin 1804)),
Parti d'or à une tête de licorne de sable et d’hermines à une masse d'azur ; à la champagne de gueules, chargée du signe des chevaliers légionnaires. | ||
Denis-Eloi Ludot (25 juin 1768, Arcis-sur-Aube ✝ 14 septembre 1839, Arcis-sur-Aube), général de brigade, Légionnaire (décret du Premier Consul en date du 26 prairial an XII (15 juin 1804)), puis, Officier de l'Ordre impérial de la Légion d'honneur (décret impérial du 18 septembre 1808), puis, Commandeur de l'Ordre royal de la Légion d'honneur (ordonnance royale du 14 février 1815), Chevalier de l'Ordre royal et militaire de Saint-Louis (ordonnance royale du 19 juillet 1814), Chevalier (lettres patentes du 11 juin 1810), puis Baron de l’Empire (décret impérial du 3 avril 1814),
Coupé : au I, d’or au casque taré à profil de sable ; au II, de sinople à la tête de cheval d’argent ; à la bordure de gueules chargée du signe des Chevaliers Légionnaires.[12] |
M[]
Figure | Nom du chevalier et blasonnement |
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François-Louis Magallon de la Morlière (28 octobre 1754 - L'Isle-Adam † 1825 - Passy), général de division, Gouverneur de l'Île Bonaparte (10 novembre 1803 - 31 décembre 1805), Chevalier de l'Empire (lettres patentes du 14 février 1810), Commandeur des ordres du roi, de la Légion d'honneur, du Lion Belgique, Chevalier de Saint-Louis,
Tiercé en fasce : d'azur à deux chevrons versés alaisés et entrelacés d'or ; de gueules au signe des chevaliers ; et fascé d'or et de sable de six pièces.[30] | |
Louis Malles (de Port-Saint-Louis-du-Rhône), capitaine de vaisseau (1793, en retraite), chevalier de l'Empire (26 avril 1810), officier de la Légion d'honneur,
Parti : au I réparti de pourpre et de sinople, au comble d'azur chargé d'un cœur d'argent; au II d'azur au chevron d'argent accompagné de trois quintefeuilles du même, le parti soutenu d'une champagne de gueules, chargée du signe des chevaliers légionnaires.[10] | |
Jean Philibert Maret (13 mars 1758 - Dijon ✝ 21 janvier 1827 - Dijon), ingénieur des ponts et chaussées, Grand-voyer de Dijon, Commissaire du Directoire exécutif près l’administration centrale de la Côte-d'Or (Année invalide (an VIII)), Préfet du Loiret (Année invalide (an VIII) (2 mars 1800) - Année invalide (an XIV) (16 avril 1806)), Conseiller d'État (16 mars 1806, Membre du Conseil d'État à vie en 1812), Directeur général des subsistances, Chevalier Maret et de l'Empire (lettres patentes du 26 août 1808), Comte Maret et de l'Empire (lettres patentes du 9 décembre 1809), Officier de la Légion d'honneur,
Tiercé en pal d'or, de gueules, à l'insigne des Chevaliers légionnaires et d'argent[66]. | |
Charles Martin (de Carnoules), chef de bataillon (en retraite), chevalier de l'Empire (8 mai 1812, chevalier héréditaire confirmé le 21 juillet 1818), chevalier de la Légion d'honneur,
D'azur au chevron de gueules accompagné en chef, à dextre d'une forteresse d'or et à senestre d'un sabre de même et en pointe, d'un chien en arrêt aussi d'argent.[10] | |
Louis-François Meifred (1748 - Castellane † 1816), conseiller à la Cour d'appel d'Aix-en-Provence (1811), et chevalier de Suriane et de l'Empire (lettres patentes du 11 juillet 1810),
Tiercé en fasce : au I d'azur à trois étoiles d'argent ; au II de gueules plein ; au III de gueules au signe des chevaliers légionnaires.[10] | |
Alexis des Michels de Champorcin, maréchal de camp, chevalier de l'Empire (1809),
Parti, d'or à la croix de Lorraine de gueules et d'azur à l'épée en barre d'or, la pointe haute; à la champagne de gueules, chargée du signe des chevaliers légionnaires brochant sur le parti.[10] | |
François-Pierre-Benigne Michon (né le 21 janvier 1774 à Nancy), capitaine d'artillerie, chevalier de l'Empire (lettres patentes du 28 janvier 1809),
Tiercé en fasce : au 1, d'argent chargé à dextre d'un vaisseau démâté de sable soutenu d'une mer d'azur, et à senestre de maison démolie de sable, maçonnée et terrassée du mesme; au 2, de gueules, au signe des Chevaliers-Légionnaires; au 3, d'azur, au faucon perché d'argent.[67] | |
Théodore François Millet (15 septembre 1776, Sourdeval ✝ 15 février 1819, Sourdeval), général de brigade, Légionnaire (1805), puis, Officier de la Légion d'honneur le 6 août 1811, Chevalier de Saint-Louis le 20 août 1814, Chevalier de l'Empire puis 1er baron Millet et de l'Empire,
Armes de Chevalier de l'Empire : D'azur à la bande cousue de gueules, chargée en cœur de l'insigne des chevaliers légionnaires ; accompagnée en pointe d'un lion léopardé d'or et en chef de trois grenades d'argent posées en orle[68]. | |
Louis-Jacques-René de Monchy (6 octobre 1748 † 8 avril 1831), chevau-léger de la garde ordinaire du roi, Chevalier de l'Empire (lettres patentes du 20 juillet 1808, confirmé en 1814), chevalier de Saint-Louis (1790),
Tiercé en fasce ; au I d'hermine plain ; au II du gueules à l'insigne des chevaliers légionnaires ; au III, d'azur à la balance d'or.[27] | |
Louis Monge[69] (11 avril 1748, à Beaune (Côte-d'Or) ✝ 6 octobre 1827, astronome, examinateur des aspirants de marine, Chevalier de l'Empire (20 juillet 1808),
D'azur, semé d'étoiles d'argent, à la bande cousue de gueules du tiers de l'écu chargée du signe des chevaliers légionnaires brochant sur le tout.[7] | |
Antoine François Morandini (6 décembre 1766 - Moïta † 1831), chef de bataillon aux Tirailleurs corses, général de brigade puis de division, Chevalier d'Eccataye et de l'Empire (lettres patentes du 2 septembre 1810), Baron de l'Empire,
De sinople au chapé d'argent, chargé d'un lion contourné de gueules, sénestré d'un dextrochère au naturel, mouvant du flancde l'écu et tenant une épée haute de gueules, au tiers en pal de gueules, chargé du signe des chevaliers légionnaires.[30] | |
Louis Victor Moreau[70],[71] (18 décembre 1757, à Chantilly ✝ 22 mai 1816, à Paris), quincaillier et membre du Conseil d'Escompte de la Banque de France (IIe Siège, le 27 avril 1803), puis Régent de la Banque de France (XIVe, Siège du 17 octobre 1804 à sa mort), Chevalier de l'Empire (lettres patentes du 28 mai 1809), anobli par ordonnance royale du 2 août 1814 et lettres patentes du 6 août 1814,
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Antoine-Auguste-Cécile Mossy (né le 12 décembre 1764 - Marseille), imprimeur en lettres[72], adjoint au maire de Marseille, fut créé chevalier d'Empire (2 avril 1812), chevalier de la Légion d'honneur,
D'azur à la fasce de gueules, chargée du signe des chevaliers légionnaires, accompagnées en chef de trois étoiles et en pointe d'un lion passant, le tout d'or.[10] | |
François Louis René Mouchard de Chaban (18 août 1757 - Paris[73] ✝ 23 mars 1814 - Hambourg), Sous-préfet de Vendôme(Année invalide (an VIII)), Préfet de Rhin-et-Moselle (Année invalide (an XI)), Préfet de la Dyle (Chef-lieu : Bruxelles) (Année invalide (an XIII)), Membre de la junte extraordinaire de Toscane (12 mai 1806), Conseiller d'État (19 février 1809), Intendant de l'intérieur et des finances dans les départements anséatiques (18 décembre 1810), Intendant général des finances dans la 32e division militaire (Hambourg) (17 juin 1813), Chevalier de l'Empire (3 mai 1809), Comte de l'Empire (décret impérial du 15 août 1809 et lettres patentes du 9 décembre 1809), Légionnaire (Année invalide (an XII)), puis, Officier de la Légion d'honneur (30 juin 1811),
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Joseph Mourret (né le 26 juillet 1786 - Tarascon), lieutenant au 2e régiment de chevaux-légers, chevalier de l'Empire (19 janvier 1812), chevalier de la Légion d'honneur,
D'or à deux lances de sable au penon coupé de gueules et d'argent, posés en sautoir surmontées au deuxième point du chef d'un casque antique de sable et soutenu d'une molette d'éperon d'azur; à la fasce de gueules brochant, chargée du signe des chevaliers légionnaires.[10] |
N[]
Figure | Nom du chevalier et blasonnement |
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François-Joseph-Michel Noël (12 janvier 1756 - Saint-Germain-en-Laye ✝ 29 janvier 1841 - Paris), successivement diplomate, membre du Tribunat, préfet du Haut-Rhin (1801), inspecteur général de l'Université, puis conseiller, vice-recteur de la Faculté des lettres de Paris, Chevalier de l'Empire (21 décembre 1808),
Parti d'azur et d'argent ; l'azur chargé d'un lys de jardin terrassé d'argent; l'argent chargé de trois arbres arrachés de sinople, 1,2. Champagne de gueules du tiers de l'écu, brochant sur le parti et chargé du signe des chevaliers légionnaires.[7] |
O[]
Figure | Nom du chevalier et blasonnement |
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Marc Antoine Marie Obert (2 avril 1774 - Étaples ✝ 9 décembre 1830 - Saint-Germain-en-Laye), Général de brigade (1813), Lieutenant général (1821), Grand officier de l'Ordre royal de la Légion d'honneur (1823), Commandeur de Saint-Louis (1823), Chevalier de l'Empire (Lettres patentes du 28 mai 1809), Baron sans qualification (24 décembre 1813), Vicomte (1816),
D'argent à une épée et un drapeau replié sur sa hanche posés en sautoir, le tout d'azur, soutenu d'une grenade allumé de gueules ; à la bordure de gueules chargée au point du chef de l'insigne des chevaliers légionnaires.[8] |
P[]
Figure | Nom du chevalier et blasonnement | |
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François Marie Sébastien Pageot (19 juillet 1766 - Cap Français (Saint-Domingue) ✝ 2 janvier 1834 - Paris), * Général de brigade (à titre provisoire le 1er juin 1796, confirmé le 17 août 1796), Lieutenant général (7 janvier 1815), Légionnaire (7 mai 1811), puis, Officier de la Légion d'honneur (28 septembre 1814), Chevalier de Saint-Louis (20 août 1814), Chevalier de l'Empire (lettres patentes du 18 juillet 1811),
D'or à un barre d'azur chargée de deux étoiles d'argent, traversée en cœur par une épée haute de gueules, débouchante en chef ; à la bordure de gueules chargée au point du chef de l'insigne des chevaliers légionnaires.[8] | ||
Boniface Paradis (8 septembre 1751 - Auxerre ✝ 31 mars 1823 - Auxerre), Député de l'Yonne au Conseil des Anciens (Année invalide (an IV), secrétaire, puis président du Conseil (21 décembre 1796 - 20 janvier 1797)), Président de la cour impériale de justice criminelle de l'Yonne (1808), Substitut du procureur général à la cour impériale de Paris (1811-1815, destitué en 1816), Chevalier de Joncreux et de l'Empire (18 juin 1809), Chevalier de la Légion d'honneur (décret impérial du Année invalide (an XII) : 14 juin 1804),
D’or au pommier de sinople, terrassé du même, fruité du champ, accolé d’un serpent d’azur et soutenu d’une champagne de gueules, chargée du signe des chevaliers légionnaires.[12] | ||
Jean-Baptiste-Hyacinthe Pascalis (né le 23 juin 1750 - Barcelonnette), commissaire ordonnateur des guerres, chevalier de l'Empire (lettres patentes du 24 août 1811), chevalier de la Légion d'honneur,
D'azur au chevron de gueules chargé du signe des chevaliers légionnaires et accompagné en pointe d'une brebis d'or.[10] | ||
Paullet, chirurgien-major au 95e régiment d'infanterie de ligne, puis à la Garde impériale, chirurgien en chef adjoint de l'Empereur et de l'hôpital de la Garde, Chevalier de la Légion d'honneur, Chevalier de l'Empire (3 mai 1809),
D'azur, à la bande cousue de gueules, chargée du signe des chevaliers légionnaires, accompagnée en chef de trois têtes d'Hippocrate d'or, 2 et 1, et en pointe d'une croix de Lorraine d'argent.[14] | ||
Guillaume Alexandre Thomas Pégot, général de brigade, Commandeur de l'Ordre des Deux-Siciles (19 mai 1808), Chevalier de Saint-Louis (20 août 1814), Commandeur de la Légion d’honneur (27 avril 1834), Chevalier de l'Empire,
D'azur au rocher à trois coupeaux, sommé d'un pégot d'or, soutenu d'une champagne de gueules, au signe des chevaliers légionnaires. L'écu est sommé d'une toque de velours noir, retroussée de sinople, à un porte-aigrette d'argent, surmonté d'une aigrette blanche.[44] | ||
Philippe-Jean Pelletan (4 mai 1747 - Paris ✝ 16 septembre 1829), Chirurgien en chef des armées et de l'Hôtel-Dieu, professeur à l'École de médecine, premier chirurgien de l'Empereur, Chevalier de l'Empire (16 décembre 1810),
De sable, au palmier d'argent fruité de sinople ; champagne de gueules du tiers de l'écu, au signe des chevaliers légionnaires.[7],[14] | ||
Fichier:Blason famille fr Pierre-Nicolas Perrée-Duhamel.svg |
Pierre-Nicolas Perrée-Duhamel (1752 ✝ 1833), homme politique français, membre du Tribunat (4 nivôse an VIII), régent au sein du Conseil général de la Banque de France (octobre 1800), conseiller-maître de la Cour des Comptes (1807), Chevalier de l'Empire (1808),
D'argent à l'ancre bouclée d'azur ; à la fasce brochante de gueules chargée de l'insigne des Chevaliers légionnaires.[75] | |
Jean-Mathieu Perret (né le 19 juillet 1773 - Lyon), membre du collège électoral du Rhône, maire de la commune de Rivoire, chevalier de la Menue et de l'Empire (lettres patentes du 16 mai 1813, créé chevalier par lettres royales enregistrées le 21 décembre 1816),
D'azur à la fasce d'or accompagnée de trois étoiles d'argent ; sur le tout de gueules occupant le tiers de l'écu, et chargé du signe des chevaliers légionnaires.[6],[30] | ||
Claude-Auguste Petit (1748-1819), député au Corps législatif, membre du collège électoral du département de la Seine, Chevalier Petit et de l'Empire (à la suite du décret du 22 avril 1810 le nommant membre de la Légion d'honneur, lettres patentes signées à Rambouillet le 11 juillet 1810), 1er Baron de Beauverger et de l'Empire (décret du 4 août 1811, lettres patentes signées à Compiègne le 6 septembre 1811), Légionnaire (Légion d'honneur) (décret du 22 avril 1810
D'argent à cinq arbres de sinople en sautoir, fruités chacun de trois pommes de gueules une et deux, à la bordure de gueules au signe des chevaliers posé au premier point en chef[17]. Armes parlantes (Pommier ⇒ verger ⇒ Beauverger).
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Jean-Antoine-Dominique Pichot (né le 27 octobre 1767 - Mormoiron), commissaire des guerres, chevalier de la Légion d'honneur, chevalier de l'Empire (lettres patentes du 14 juin 1810),
Parti, au I d'azur à une gerbe d'or; au II d'argent à un arbre arraché de sinople; le parti soutenu d'une champagne de gueules au signe des chevaliers légionnaires.[10] | ||
Jules Pictet de Sergy, dit Diodati (15 juin 1768 - Genève ✝ 18 juin 1823 - Genève), Président du tribunal criminel du Léman, Député du département du Léman au Corps législatif (Année invalide (an VIII) - 1805, 10 août 1810 - 1814), Membre du conseil représentatif de Genève (1814), Membre correspondant de l'Institut de France, Chevalier de l'Empire, Chevalier de la Légion d'honneur,
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Charles-Antoine Pierre (13 avril 1769 ✝ 9 février 1814), major au 84e de ligne, colonel, chevalier de l'Empire (24 août 1810), chevalier de la Légion d'honneur,
D'argent au rocher de sable sommé d'une colombe posée d'azur, au comble du même chargé d'une épée en fasce d'argent pointant à dextre et soutenue de trois coquilles en fasce d'or, à la champagne de gueules chargée du signe des chevaliers légionnaires. [10] | ||
François-Frédéric Poncet (né le 26 avril 1755 - Toulon), chef de bataillon du génie maritime, chevalier de l'Empire (18 mars 1809), chevalier de la Légion d'honneur,
D'argent à la fasce de gueules, chargée du signe des chevaliers légionnaires, accompagnée en chef d'un lion passant de sable et en pointe d'un croissant d'azur accolé de deux étoiles de même.[10] | ||
Antoine Portal (5 janvier 1742 - Gaillac ✝ 23 juillet 1832, à Paris) - Médecin, anatomiste, professeur au Collège de France, membre de l'Institut de France, président de l'Académie de médecine, premier médecin des rois Louis XVIII et Charles X, président de l'École de médecine (1817), Chevalier de l'Empire (1808), Baron (1824),
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Poussielgue, chirurgien principal des armées, Chevalier de l'Empire (4 mai 1810),
De sable au chevron d'or, accompagné de deux étoiles d'argent en chef, et en pointe d'un serpent tortillant du même; champagne cousue de gueules du tiers de l'écu, chargée du signe des chevaliers légionnaires.[14] |
Q[]
Figure | Nom du chevalier et blasonnement |
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Nicolas-Marie Quinette (13 septembre 1762 - Paris ✝ 14 juin 1821 - Bruxelles), Chevalier de l'Empire puis Baron de Rochemont et de l'Empire (1810), député de l’Aisne à l’Assemblée Législative à la Convention (1792), président du Conseil des Cinq-Cents (1796), ministre de l’Intérieur (1799), préfet de la Somme (1800), conseiller d’État, Pair de France (4 juin 1814, Cent-Jours),
D'azur à une branche de chêne d'or supporté à dextre et à senestre par une chaine brisée d'argent et posée sur une terrasse de sinople ; à la champagne de gueules chargée de l'insigne des chevaliers légionnaires.[5] |
R[]
Figure | Nom du chevalier et blasonnement |
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Antoine Raulet (né le 18 août 1775 - Marseille), chef d'escadron, quartier-maître du 1er régiment de chevau-légers lanciers polonais de la Garde impériale, chevalier de l'Empire (4 juin 1810), chevalier de la Légion d'honneur,
Tranché d'azur et d'or, l'azur chargé en chef d'un dextrochère armé tenant un guidon et en pointe d'un casque de profil, le tout d'argent, l'or chargé d'une tête de cheval en chef et d'un lion léopardé en pointe, le tout de sable, à un écu de geules en abîme chargé du signe des chevaliers légionnaires.[10] | |
Paul Charles Réant (né le 16 septembre 1771 - Paris), capitaine, quartier-maître-trésorier des grenadiers à pied et des vélites de la Garde impériale, chevalier de l'Empire (lettres patentes du 19 janvier 1811),
Tiercé en barre : d'or à trois nains accroupis de carnation, coiffés de chapeaux de sable, chargés d'un bouton d'argent, 2.1 ; de gueules au signe des chevaliers légionnaires ; et d'argent au cheval galopant et contourné de sable.[8],[76] | |
Jean-Baptiste Regnault (9 octobre 1754, à Paris ✝ 12 novembre 1829, à Paris), peintre académique et néoclassique, membre de l'Institut de France, professeur à l'École des beaux-arts. Chevalier de l'Empire (15 janvier 1809), Baron (19 juillet 1819),
D'azur au centaure contourné d'argent, montrant à tirer de l'arc à un jeune homme du même, tous deux armés d'arcs et de flèches d'or, soutenus d'une terrasse de sinople et accostés en chef à dextre d'une étoile à six rais d'argent chargée d'un V d'or, et en pointe à sénestre d'un soleil rayonnant cantonné d'or. Champagne de gueules du tiers de l'écu, chargée du signe des chevaliers légionnaires. (Ces armes rappellent l'Éducation d'Achille, un des tableaux les plus remarquables de Regnault)[7] | |
Charles-Frédéric Reinhard (2 octobre 1761, à Schorndorf ✝ 25 décembre 1837, à Paris), diplomate et homme politique français d’origine allemande, Commandeur de la Légion d'honneur (9 vendemiaire an XII), Chevalier de l'Empire (24 février 1809), Baron de l'Empire (31 décembre 1809), Comte en 1815, pair de France (11 octobre 1832),
Armes de Chevalier de l'Empire : Parti, au 1, d'or à la verge de sable tortillée d'un serpent de sinople, au 2, d'argent au guerrier casqué, cuirassé et armé d'azur, soutenu d'une terrasse de sinople et adextré d'un tertre du même chargé d'un R de sable ; au comble d'azur chargé d'un faucon essoré d'argent s'abattant sur un héron du même. Bordure de gueules du tiers de l'écu, chargée au 2e point en chef du signe des chevaliers légionnaires.[7] | |
Marie-Antoine de Reiset (29 novembre 1775 à Colmar ✝ 25 mars 1836 à Rouen), général de brigade, Grand officier de la Légion d'honneur (15 juillet 1815), Commandeur de l'Ordre royal et militaire de Saint-Louis (1er mai 1821), Chevalier de l'Empire (décret impérial du 15 août 1809), Baron de l'Empire (lettres patentes du 25 mars 1813 et décret impérial du 14 mai 1813), Vicomte (lettres patentes du 17 août 1822),
Armes de Chevalier de l'Empire : Parti au 1 : de sinople au coq d'argent, crêté, barbé et membré de gueules, surmonté de trois croissants, les pointes à dextres, d'or ; au 2 : d'argent à trois chevrons d'azur, l'un sur l'autre, accompagnés de trois dragons ailés de gueules ; le tout soutenu d'une champagne de gueules du tiers de l'écu au signe des chevaliers de l'Empire.[77] | |
Antoine Rémy (14 février 1764 - Thilleux (Haute-Marne) ✝ 24 janvier 1848 - Chaumont), Chef d'escadron aux grenadiers à cheval de la garde impériale (an VIII), Lieutenant-colonel (1807), Chevalier de l'Empire (20 août 1808), Baron de l'Empire (6 octobre 1810), Chevalier de la Légion d'honneur (1804), Chevalier de l'Ordre de la couronne de fer, Chevalier de Saint-Louis,
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Renoult, chirurgien major de la gendarmerie d'élite, Chevalier de l'Empire (5 octobre 1808),
D'azur, au palmier d'or accompagné à senestre d'un serpent ondoyé d'argent rampant au pied de l'arbre, et en chef d'un triangle flamboyant d'or chargé d'un Jéhovah hébraïque de sable; champagne cousue de gueules du tiers de l'écu, chargée du signe des chevaliers légionnaires.[14] | |
Gilbert Louis Robinet du Teil d'Ozanne[78] (9 février 1746 ✝ 24 septembre 1826), sous-gouverneur des pages de la Grande Écurie (1777), lieutenant-colonel (1780), inspecteur aux revues sous le Consulat, Maréchal de camp (2 octobre 1792), commandant du Prytanée militaire de Saint-Cyr sous le premier Empire, Lieutenant général (sous la Restauration), Chevalier du Teil et de l'Empire (29 mars 1809), Chevalier (1806), puis officier de la Légion d'honneur (sous la Restauration),
Tiercé en bande, d'argent, de gueules et d'or; l'argent à la tour crénelée d'azur, ouverte et maçonnée de sable; le gueules, au signe des chevaliers légionnaires; l'or, au pistolet en pal, la crosse en bas, de sable, damasquiné d'argent, accompagné de trois étoiles 1, 2, de gueules.[7] | |
François Roger (17 avril 1776 à Langres ✝ 1er mars 1842, à Paris), Poète comique, conseiller de l'Université impériale, député au Corps législatif, Chevalier de l'Empire (23 décembre 1810),
Coupé, le 1, parti de sable et d'azur; le sable, chargé de deux palmes en sautoir nouées d'une branche d'olivier d'argent ; l'azur, au masque scénique d'or, le 2, échiqueté d'azur et d'or. À la fasce de gueules, brochant sur le coupé, chargée du signe des chevaliers légionnaires.[7] | |
Louis Jacques Rousseau (14 février 1759 - Château-du-Loir ✝ 16 août 1829 - Paris), Président du tribunal de district du Château-du-Loir (1789), Président de l'administration départementale de la Sarthe, Député de la Sarthe à l'Assemblée législative (3 septembre 1791), Juge (Année invalide (an IV)), Conseiller à la cour de cassation (Restauration), Député du 4e arrondissement électoral de la Sarthe (Saint-Calais, le 13 novembre 1822, réélu le 25 février 1824 - 1827), Chevalier de l'Empire (3 juin 1808), Chevalier de la Légion d'honneur,
Tiercé en fasce : au I, d'or chargé d'une chouette entre deux maillets, le tout de sable ; au II, de gueules à l'insigne des chevaliers légionnaires ; au III, d'azur à la balance d'argent.[5] | |
Paul Rouvier (25 novembre 1765 - Tavernes ✝ 7 décembre 1832 - Paris), colonel-commandant d'armes attaché à la 1re division militaire, officier de la Légion d'honneur, chevalier de l'Empire (22 octobre 1810),
Parti : au I d'or à douze étoiles d'azur rangées en fasce trois, trois, trois, trois ; au II d'azur à un bastion d'argent surmonté d'un coq d'or ; le parti soutenu d'une champagne de gueules chargée du signe des chevaliers légionnaires.[10] |
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Figure | Nom du chevalier et blasonnement |
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Antoine Joseph Secrétan (1773 ✝ 1837), colonel-major du 8e régiment de voltigeurs de la Garde impériale, Chevalier Secrétan et de l'Empire, puis Baron Secrétan et de l'Empire, puis Baron Secrétan, ,
D'azur à un chevron de gueules chargé de l'insigne des chevaliers légionnaires de l'Empire, soutenu d'une pointe rebattue d'or chargée d'un sauvage au naturel appuyé sur sa massue, posé sur un mont de sinople ; le chevron surmonté d'une étoile rayonnant d'argent, adextré d'un lévrier contourné et rampant d'argent ; senestré d'une épée haute d'argent garnie d'or.[15] | |
Antoine-Isaac Silvestre de Sacy (21 septembre 1758, à Paris ✝ 21 février 1838), Philologue, linguiste et orientaliste français, membre de l'Institut de France, professeur au collège de France, député du département de la Seine (1808 et 1814), recteur de l'Université de Paris (1815), pair de France (après 1830), Chevalier de l'Empire (3 mai 1809) puis Baron de l'Empire (12 avril 1813, titre confirmé sous la Restauration),
Armes de Chevalier de l'Empire : D'azur au chevron brisé d'argent, accompagné de trois étoiles du même ; champagne cousue de gueules du tiers de l'écu, chargée du signe des chevaliers légionnaires.[7],[7] | |
Marc-Antoine Sirugue (°17 mai 1754 - Vitteaux ✝ 26 avril 1842 - Rouen), colonel de la 14e légion de la gendarmerie impériale du département de l'Aube, député de la Côte-d'Or au Corps législatif, chevalier Sirugue et de l'Empire (décret du 23 mars 1808 (« à la suite du décret du Année invalide (an XII) le nommant membre de la Légion d'honneur »), lettres patentes du 21 décembre 1808 (Madrid)), baron Sirugue et de l'Empire (1814), « Légionnaire » (Année invalide (an XII)), puis, Officier de la Légion d'honneur[79],
D'azur à la bande cousue de gueules au signe des chevaliers, occupant le tiers de l'écu et accompagnée en chef à sénestre d'un sabre d'argent à la poignée d'or accostée de deux étoiles d'argent, et en pointe à dextre d'une tête de cheval d'or ; et pour livrées : bleu, rouge, jaune et blanc.[17] | |
Smette, capitaine, Chevalier de l'Empire,
De gueules à un Hercule de carnation terrassant un lion d'or, soutenu du même et surmonté d'une divise d'azur chargé de trois étoiles d'or ; à la champagne de gueules chargée de l'insigne des chevaliers légionnaires.[5] | |
Etienne Henri Soulages, adjudant-commandant, Chevalier de l'Empire,
D'azur, au chevron de gueules, accomp. en chef de 2 rocs d'échiquier d'or, et en pointe d'un lion d'argent armé d'une épée haute ; à la champagne de gueules chargée de l'insigne des chevaliers légionnaires. | |
Jean-Joseph Sue (1760 ✝ 1830), médecin en chef de la Garde impériale, chirurgien et professeur d'anatomie, membre de l'Académie de médecine, Chevalier de l'Empire (21 décembre 1808),
D'argent à la plante de pervenche au naturel terrassée de sinople, tortillée d'un serpent de sable lampassé de gueules, et senestrée en chef d'une étoile d'azur; champagne de gueules du tiers de l'écu, au signe des chevaliers légionnaires.[14] |
T[]
Figure | Nom du chevalier et blasonnement |
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François Marie Cyprien Teullé (13 septembre 1769, Caumont (Tarn-et-Garonne) ✝ 20 novembre 1848, Caumont (Tarn-et-Garonne)), colonel du 12e de ligne, représentant à la Chambre des Cent-Jours, chevalier de la Légion d'honneur (25 prairial an XII), Officier de la Légion d'honneur après Wagram, commandeur de la Légion d'honneur à la Bataille de la Moskowa, chevalier de l'Empire (28 mai 1809), baron de l'Empire,
D'azur au chevron accompagné en chef de deux épées et en pointe d'un lion, le tout d'argent à la bordure de gueules chargée au point du chef d'insigne des chevaliers légionnaires.[27] | |
Jean-François Teyssère (originaire de Belgentier), colonel de voltigeurs, chevalier de l'Empire (28 novembre 1813), officier de la Légion d'honneur,
D'or à la bande de gueules, chargée du signe des chevaliers légionnaires, accompagnée en chef d'un cor de chasse d'azur embrassant une grenade de même, enflammée de gueules, et en pointe d'un lion de ..., tenant une branche de laurier de sinople.[10] | |
Pierre-Paul-Pascal Thanaron (originaire de Carcès), capitaine de frégate, chevalier de l'Empire (lettres patentes du 2 novembre 1810, renouvelées le 4 mai 1816), chevalier de la Légion d'honneur,
Tiercé en fasce : d'azur à trois étoiles d'or, 1 et 2 ; de gueules au signe des chevaliers légionnaires; et d'or à trois cœurs d'azur, 2 et 1.[10] | |
Jean-Joseph Thomas (originaire des Moustiers-Sainte-Marie), président de la Cour de justice criminelle des Basses-Alpes, conseiller à la Cour d'appel d'Aix-en-Provence, chevalier de l'Empire (lettres patentes du 28 janvier 1809), chevalier de la Légion d'honneur,
Tiercé en bande, d'azur à une étoile d'argent ; de gueules au signe des chevaliers légionnaires; et d'hermine au badelaire d'or en pal et la pointe en haut.[10] | |
Joseph César Tripoul (14 février 1777 - Puget-sur-Argens ✝ 24 mars 1827 - Puget-sur-Argens), Chef d'escadron, officier d'état major (1807), Aide de camp du général Gazan, commandant la 2e division, Colonel (1809), Chevalier de Reiran et de l'Empire (28 janvier 1809), Officier de la Légion d'honneur,
Coupé : au I d'or à quatre épées de sable, croisées en sautoir, deux et deux; au II d'argent à trois pins de sinople, terrassés de même; à la bordure d'azur chargée de dix coquilles d'or, et à la fasce de gueules brochant chargée du signe des chevaliers légionnaires.[10] |
V[]
Figure | Nom du chevalier et blasonnement |
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Pierre Joseph Vallée (18 décembre 1758 - Saint-Mihiel (Meuse) ✝ 3 octobre 1828 - Paris), Accusateur public près le tribunal de la Meuse (1794), Député de la Meuse au Conseil des Cinq-Cents (Année invalide (an V) : 11 avril 1797), Juge au tribunal de cassation (Année invalide (an VIII) : 1er avril 1800), Conseiller à la cour de cassation (Restauration française), Député de la Meuse à la Chambre (20 septembre 1817 - 1821), Chevalier de l'Empire (26 avril 1808), Chevalier de la Légion d'honneur (Année invalide (an XII) : 14 juin 1804),
D'argent, à la bande de gueules, du tiers l'écu (chargée du signe des Chevaliers-Légionnaires), acc. en chef de trois étoiles d'azur rangées en demi-orle, et en pointe d'un rocher de sable mouvant de la pointe. Toque.[6] | |
Louis-Nicolas Vauquelin (16 mai 1763 - Saint-André-d'Hébertot ✝ 14 novembre 1829 - Saint-André-d'Hébertot), chimiste, membre de l'Institut de France, professeur au Collège de France, député (1824), Chevalier Vauquelin et de l'Empire (1er avril 1809),
Tiercé en fasce : au I, d'azur à deux creusets d'or ; au II, de gueules à l'insigne des chevaliers légionnaires ; au III, de sinople à un creuset d'or.[7],[5],[15] | |
Vergez, médecin en chef des pages des maisons impériales d'Ecouen, de Saint-Denis, Chevalier de l'Empire (9 octobre 1813),
Parti d'argent et d'or, coupé d'azur; l'argent, à la jambe de carnation coupée au-dessus du genou; l'or, au serpent se mordant la queue en cercle, de sinople ; l'azur, au canon sur son affût contourné d'argent, flanqué de deux piles de boulets du même, celle à dextre de trois, celle à senestre de six, le tout soutenu de sinople; fascé de gueules du tiers de l'écu, brochant sur le tout, chargée du signe des chevaliers légionnaires.[14] | |
Claude Joseph François Veyron-Lacroix[80] (22 novembre 1766 - Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs ✝ 3 janvier 1839 - Grenoble), ancien colonel, sous-inspecteur aux revues, ancien membre du conseil général de l'Isère, conseiller de préfecture, Chevalier de l'Empire, Chevalier de la Légion d'honneur et Chevalier de Saint-Louis,
Parti : au 1 d'azur à la croix alésée d'argent, soutenue d'une molette d'or, au 2 de sable au dextrochère armé d'or, mouvant de senestre, et tenant une épée haute d'argent, à la bordure de gueules chargée du signe des chevaliers légionnaires.[28] | |
Pierre Vignon (10 novembre 1736 - Neuilly (Seine) ✝ 7 février 1823 - Paris), Juge consulaire (sous l'Ancien Régime), Député du tiers état aux États généraux (13 mai 1789), Président du tribunal de commerce de Paris (sous le Premier Empire), Président de la commission chargée de la rédaction d'un projet de Code de commerce (1803), Adjoint au maire du Xe arrondissement de Paris (Année invalide (an VIII)), Chevalier de l'Empire (lettres patentes du 21 décembre 1808), Légionnaire (14 juillet 1804), puis, Officier de la Légion d'honneur (1808),
D'azur à la fasce de gueules chargée du signe des chevaliers légionnaires, accompagnée en chef d'un vaisseau d'or et en pointe d'une balance de même.[27],[6],[28],[81] | |
Étienne Vincent-Marniola (°6 novembre 1781 - Lyon † 13 octobre 1809), préfet du Pô, chevalier Vincent-Marniola et de l'Empire (titre de chevalier de l'Empire, accordé à la suite du décret du 11 juillet 1807 le nommant membre de la Légion d'honneur, lettres patentes du 5 octobre 1808 (Erfurt)),
D'argent, à la bande de gueules, au signe des chevaliers, accompagnée à sénestre de deux grappes de raisin au naturel surmonté d'un soleil plein d'azur et adextré d'une tour crénelée et ouverte d'azur, maçonnée de sable.[17]
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Ennius-Quirinus ou Ennio Quirino Visconti (30 octobre 1751, à Rome ✝ 7 février 1818, à Paris), archéologue d'origine italienne, Premier conservateur des antiques et tableaux du Musée du Louvre (1803), camériers d'honneur du Pape (1771), Chevalier de l'Empire le 2 juillet 1808, Marquis sous la Restauration française (retour d'un titre ancien), Chevalier de la Légion d'honneur, Chevalier de l'Ordre de la Réunion,
Tiercé en bande, d'argent, de gueules et de sable. L'argent, à la guivre de sinople engoulant un enfant de gueules. Le gueules, au signe des chevaliers légionnaires. Le sable, au sphynx ailé d'argent tenant une roue d'or.[7] |
W[]
Figure | Nom du chevalier et blasonnement | |
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Marc François Jérôme Wolff (1776-1848), colonel des chevau-légers de la Garde westphalienne, général de brigade (1812), lieutenant-général (1835), Donataire (r. 2 000 francs) en Westphalie par décret impérial du 19 mars 1808[82], chevalier Wolff et de l'Empire par lettres patentes du 29 août 1810[83],[82],[6],[84], baron Wolff (par diplôme du roi de Westphalie du 16 septembre 1813[82],[6],[84], baron héréditaire par lettres patentes du roi de France du 5 juin 1819[83],[82],[6],[84])
D'argent à la fasce bretessée de gueules, chargée du signe des chevaliers légionnaires, accompagnée en chef d'un sabre, posé en fasce et la pointe à dextre, de gueules, et, en pointe, d'un cheval galopant de sable, soutenu de sinople[82]. | ||
Gaétan Wysocki (né à Ottwinow (Pologne) le 16 août 1781), capitaine au 1er régiment de la Vistule, membre de la Légion d'honneur lorsqu'il fut nommé chevalier de l'Empire[85], chevalier de l'Empire et donataire (r. 1 000 francs) sur le Canal du Loing par décret impérial du 13 mars 1812[85],[84]. Ses lettres patentes de chevalier furent autorisées pendant les Cent-Jours (17 avril 1815), mais il ne les retira pas[85].
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X[]
Pas de chevalier dans cette catégorie
Y[]
Pas de chevalier dans cette catégorie
Z[]
Figure | Nom du chevalier et blasonnement | |
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Joseph Zangiacomi (Nancy (Lorraine-et-Barrois), 19 mars 1766 - Paris, 12 janvier 1846), juge puis conseiller à la Cour de cassation, chevalier Zangiacomi et de l'Empire (suite au décret le nommant membre de la Légion d'honneur en date du 25 prairial an XII, lettres patentes signées à Bayonne le 26 avril 1808), baron Zangiacomi et de l'Empire (décret du 15 août 1810, lettres patentes signées à Fontainebleau le 27 septembre 1810), légionnaire (25 prairial an XII), puis, officier (1833), puis, commandeur, puis, grand officier de la Légion d'honneur (1843),
D'argent à mouchetures d'hermines, à la champagne de gueules chargée de l'étoile de la Légion d'honneur en date, surmonté d'une branche d'olivier de sinople[17],[86]. | ||
Jean-Baptiste Zanoli (Rossa (Piémont), 21 septembre 1758 – 28 octobre 1836), chef de bataillon, commandant d'armes au Fort de Bardi (it), chevalier de l'Empire (à la suite du décret du 3 messidor an XII le nommant membre de la Légion d'honneur, lettres patentes signées à Saint-Cloud le 6 juin 1811)[17], Membre de la Légion d'honneur (25 prairial an XII (14 juin 1804), décret du 3 messidor an XII (22 juin 1804))[17]
D'argent au zèbre au naturel, surmonté de deux étoiles d'azur et soutenu d'une champagne du tiers de l'écu de gueules au signe des chevaliers légionnaires[17],[86]. | ||
Joseph Zimmer' (Lixheim, 27 décembre 1769 – Saint-Martin-de-Ré, 15 septembre 1840), major du régiment de La Tour d'Auvergne, chevalier de l'Empire (titre accordé à Joseph Zimmer, à la suite du décret du 9 janvier 1809 le nommant officier de la Légion d'honneur, lettres patentes signées à Rambouillet le 15 juillet 1810)[17], titre de chevalier confirmé comme héréditaire, le 3 août 1816, Légionnaire (8 juillet 1807), puis, Officier (9 janvier 1809), puis, Commandeur de la Légion d'honneur (9 juin 1831),
D'argent, au pal de gueules chargé au deuxième point en chef du signe des chevaliers, accompagné à dextre d'une tour de sable, ouverte, ajourée et maçonnée d'or, soutenue de sinople et surmontée d'une grenade d'azur, allumée de gueules ; à sénestre d'une palissade de sable, soutenue de sinople et surmontée d'une grenade d'azur, allumée de gueules[17],[87]. | ||
Ange Zondadari-Chigi (né le 20 mai 1773 à Sienne), adjoint au maire de Sienne, chevalier de l'Empire (lettres patentes du 15 septembre 1811 (Compiègne) : titre de chevalier accordé à la suite du décret du 15 janvier 1810 le nommant membre de la Légion d'honneur), chambellan de S.A.I. et R. le grand-duc de Toscane, à Sienne[88].
Parti, au premier d'azur à l'arbre à deux branches feuillées d'or formant le pairle ; au deuxième de gueules au rocher à six coupeaux d'or, surmonté d'une étoile du même ; le tout soutenu d'une champagne du tiers de l'écu de gueules chargé du signe des chevaliers légionnaires[17],[87].
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Les Chevaliers non légionnaires[]
Figure | Nom du chevalier et blasonnement |
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Charles-Louis Cadet de Gassicourt (3 janvier 1769 ✝ 1821), pharmacien ordinaire de l'Empereur, membre du Conseil de salubrité de Paris (1769-1821), etc..., Chevalier de l'Empire (15 juillet 1810),
D'argent, au palmier terrassé de sinople, fruité d'or, adextré et senestré d'un rejeton aussi de sinople, celui de senestre plus élevé; champagne de gueules du tiers de l'écu, chargée du signe des chevaliers non légionnaires, qui est un annelet d'argent.[14] | |
Gorse[89], Chirurgien-major du 2e Régiment de dragons de la Garde impériale, puis du 1er Régiment de cuirassiers, Chevalier de la Légion d'honneur (14 avril 1807), ancien chirurgien en chef en Hollande,
Tiercé en fasce : au I, de pourpre au caducé d'or ; au II, de gueules à l'insigne des chevaliers non-légionnaires ; au III, de sinople au dragon ailé et passant d'or.[5] | |
Antoine Alexandre Julienne de Bélair (3 juin 1775 - Paris ✝ Année invalide (Saint-Mandé) - Saint-Mandé), Colonel du 8e régiment d'infanterie légère (20 juin 1809), Colonel du 24e régiment d'infanterie légère (8 décembre 1810), Général de brigade (26 février 1813), Chevalier de l'Empire, Baron de l'Empire (lettres patentes du 11 novembre 1813[8]), Grand officier de la Légion d'honneur (9 novembre 1813), Chevalier de Saint-Louis (11 octobre 1814),
Armes parlantes. (Julienne⇔julienne des dames). | |
Antoine Vareliaud (1776 ✝ 1840), Chirurgien des armées, médecin attaché à l'Impératrice Marie-Louise, chirurgien de l'Empereur, Chevalier de l'Empire (16 juillet 1810),
Tiercé en pal, de sinople, d'or et de gueules; le sinople à trois chevrons d'argent ; l'or plein ; le gueules au signe des chevaliers non légionnaires, qui est un annelet d'argent.[14] |
Les Chevaliers de l'Ordre de la Réunion[]
Figure | Nom du chevalier et blasonnement | |
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Dominique Albert Azuni (3 août 1749 - Sassari ✝ 23 janvier 1827 - Cagliari), juriste et magistrat sarde, Sénateur du Royaume de Sardaigne, Juge au tribunal de commerce et maritime de Nice (1782), Président du tribunal d'appel de Gênes (1807-1814), Député du département de Gênes au Corps législatif (3 octobre 1808), Vice-intendant de Nice, Sénateur du royaume d'Italie, Juge et magistrat suprême du consulat de Cagliari (1815), Président de la bibliothèque de l'Université royale de cette ville (1815), Chevalier de l'Empire (19 juin 1813), Chevalier de la Légion d'honneur (1813), Chevalier de l'Ordre de la Réunion (1813),
Coupé, au 1, d'argent au phénix essorant de sable; au 2, d'azur au sautoir d'or accompagné d'une étoile à huit rais du même, posée au deuxième point en chef. Bordure d'azur du tiers de l'écu, chargée, au deuxième point en chef, du signe des chevaliers de l'Ordre impérial de la Réunion, qui est une étoile à douze rayons d'or.[90] | ||
Jean-François Barailon (12 janvier 1743 - Chambon-sur-Voueize ✝ 14 mars 1816 - Chambon-sur-Voueize), docteur en médecine (avant 1789), juge de paix (1790), député du département de la Creuse à la Convention nationale (5 septembre 1792), député de la Creuse au conseil des Cinq-Cents (an IV, an VII), président du Corps législatif (du 7 au 22 décembre 1801), substitut du procureur impérial à Chambon (1806), puis procureur impérial au même tribunal, président du collège électoral de la Creuse (Cent-Jours), chevalier de l'Ordre de la Réunion (21 février 1814),
Parti, au 1, de gueules chargé en abîme d'un E d'argent surmonté d'un filet alaisé mis en fasce du même, et accompagné de six palmes au naturel ( sinople) posées en orle; au 2, d'azur à la verge de sable, accolée d'un serpent d'or (bâton d'Esculape); champagne d'azur du tiers de l'écu, brochant sur le parti et chargée du signe des chevaliers de l'Ordre impérial de la Réunion, qui est une étoile à douze rayons d'or.[90],[14] | ||
Joseph-Vincent-Marie Barel de Saint-Alban, membre du collège électoral du département du Pô, chevalier de l'Ordre de la Réunion (3 août 1813),
Parti, d'argent et d'azur; l'argent, à la tour de gueules ouverte, ajourée et maçonnée de sable, adextrée d'une étoile à six rais et senestrée d'un fer de lance du même, soutenue d'une fasce ondée et abaissée d'azur; l'azur, chargé en pointe d'un chevalier armé à l'antique, monté sur un cheval passant, soutenu d'une terrasse, le tout au naturel, le chevalier tenant de la dextre et appuyée en barre sur l'épaule une bannière de gueules bâtonnée de sable, et en chef un globe d'or cerclé et croiseté d'argent. Champagne d'azur au signe des chevaliers de l'Ordre impérial de la Réunion.[90] | ||
Willem Philip Barnaart (1781 ✝ 1851) bourgmestre de la ville de (nl) Haarlem, (département du Zuyderzée), chevalier de l'Ordre de la Réunion (25 novembre 1813),
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