Aigles et Lys
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Aimé-Charles-Julien
Delarue de la Gréardière
Origine Drapeau de France France
Allégeance Royaume de France Royaume de France
Drapeau français République française
Drapeau de l'Empire français Empire français
Arme Marine
Grade Capitaine de vaisseau
Années de service an II1815
Conflits Guerres révolutionnaires
Guerres napoléoniennes
Commandement La Muiron
Distinctions Légion d'honneur
(Officier)

Aimé-Charles-Julien, baron Delarue de la Gréardière[1] (15 novembre 1769 - Condé-sur-Noireau19 octobre 1816), était un marin français des XVIIIe et XIXe siècles.

Biographie[]

Entré dans la marine militaire le 1er janvier 1784 en qualité d'aspirant, il passa par tous les grades et devint capitaine de vaisseau au mois de Année invalide (an VIII).

Il fit à différentes époques plusieurs voyages aux Indes, fut employé sur la flotte expéditionnaire d'Égypte, dirigea le débarquement général au Marabou, et commanda la frégate la Muiron[2] qui ramena Napoléon Bonaparte en France. Après avoir réussi à éviter la redoutable flotte anglaise qui l'attendait en Méditerranée, il parvint à rejoindre la rade de Fréjus.

En l'an VIII, il prit le commandement du Marengo, fut envoyé de nouveau aux Indes orientales, et nommé membre, puis officier de la Légion d'honneur le Année invalide (an XII).

On ignore ce qu'il est devenu depuis.

Delarue avait épousé, en 1801, Amélie Fanny Gabrielle (1784 ✝ décembre 1812), fille unique de Jacques-Noël Sané, dont il eut 3 filles.

Titres[]

Décorations[]

Armoiries[]

Figure Blasonnement
Armes du baron Delarue de la Gréardière et de l'Empire

Écartelé : au 1, d'azur, à trois étoiles mal-ordonnées, la première d'or, rayonnante de gueules, et les deux autres d'argent ; au 2, du quartier des Barons militaires de l'Empire ; au 3, d'or, à une tour de sable sur un rocher issante d'une eau, le tout au naturel ; au 4, de sinople, à une colombe d'argent, volante au-dessus d'un mont du même, soutenu d'une terrasse de sable.[3]

Annexes[]

Bibliographie[]

  • A. Lievyns, Jean Maurice Verdot, Pierre Bégat, Fastes de la Légion d'honneur : biographie de tous les décorés accompagnée de l'histoire législative et réglementaire de l'ordre, vol. 5, Bureau de l'administration, 1847, 2e éd. [lire en ligne (page consultée le 16 nov. 2009)]  ;

Notes et références[]

  1. On trouve aussi : Delarue de la Gérardière, de La Rue de la Gréardière, de La Rüe de La Gréardière.
  2. Voir le récit officiel dans la Correspondance de Napoléon, tome V, p. 579.
  3. Jacques Declercq, « [[Héraldique napoléonienne]] et symbolisme [[Franc-maçonnerie|maçonnique]]. », sur gen.declercq.free.fr,‎ septembre 2004 (consulté le 31 juillet 2011)

Voir aussi[]

Articles connexes[]

Liens externes[]

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