Modifier
abbé Grégoire
|
Modifier
Jules Michelet
|
Modifier
Chute de Robespierre
|
Modifier
Prise de la Bastille
|
Modifier
États généraux de 1789
|
Modifier
Terreur (Révolution française)
|
Modifier
Guerre de Vendée
|
Modifier
Jean-Paul Marat
|
Modifier
Vincent-Marie de Vaublanc
|
Modifier
Le Père Duchesne
|
Modifier
Aimé Picquet du Boisguy
|
Modifier
Armand Tuffin de La Rouërie
|
Modifier
Virée de Galerne
|
Charles-Maurice de Talleyrand-Périgord
Charles-Maurice de Talleyrand-Périgord, communément nommé Talleyrand, est un homme d'État et diplomate français, né le 2 février 1754 à Paris, mort dans cette même ville le 17 mai 1838. Issu d'une famille de la haute noblesse, souffrant d'un pied bot, il est orienté par sa famille vers la carrière ecclésiastique en vue de lui permettre de succéder à son oncle, l'archevêque de Reims : ordonné prêtre en 1779, il est nommé en 1788 évêque d'Autun. Il renonce à la prêtrise et quitte le clergé pendant la Révolution pour mener une vie laïque. Talleyrand occupe des postes de pouvoir politique durant la majeure partie de sa vie et sous la plupart des régimes successifs que la France connaît à l'époque : il est notamment agent général du clergé puis député aux États généraux sous l'Ancien Régime, président de l'Assemblée nationale et ambassadeur pendant la Révolution française, ministre des Relations extérieures sous le Directoire, le Consulat puis sous le Premier Empire, président du gouvernement provisoire, ambassadeur, ministre des Affaires étrangères et président du Conseil des ministres sous la Restauration, ambassadeur sous la Monarchie de Juillet. Il assiste aux couronnements de Louis XVI (1775), Napoléon Ier (1804) et Charles X (1825). Il intervient fréquemment dans les questions économiques et financières, pour lesquelles son acte le plus fameux est la proposition de nationalisation des biens du clergé. Toutefois, sa renommée provient surtout de sa carrière diplomatique exceptionnelle, dont l'apogée est le congrès de Vienne. Homme des Lumières, libéral convaincu, tant du point de vue politique et institutionnel que social et économique, Talleyrand théorise et cherche à appliquer un « équilibre européen » entre les grandes puissances. Réputé pour sa conversation, son esprit et son intelligence, il mène une vie entre l'Ancien Régime et le XIXe siècle. Surnommé le « diable boiteux », et décrit comme un traître cynique plein de vices et de corruption, ou au contraire comme un dirigeant pragmatique et visionnaire, soucieux d'harmonie et de raison, admiré ou détesté par ses contemporains, il suscite de nombreuses études historiques et artistiques. |
Modifier
Jacques-Louis David
|
Modifier
Colonnes infernales
|
Modifier
Maximilien de Robespierre
|
Charles-Louis Huguet de Sémonville
Charles-Louis de Sémonville est un homme politique et diplomate français. Il est né à Paris le 9 mars 1759 et y est mort le 11 avril 1839. Devenu conseiller au Parlement de Paris très jeune, Sémonville fait partie des aristocrates éclairés favorables aux idées portées par les Lumières, comme le marquis de La Fayette, le comte de Mirabeau ou l'évêque d'Autun Charles-Maurice de Talleyrand-Périgord, avec lesquels il se lie. Sous la Révolution, il obtient plusieurs postes diplomatiques. Arrêté en Suisse alors qu'il se rend à Constantinople, il passe deux années et demi dans les geôles autrichiennes. Grâce à l'appui de Talleyrand, Sémonville est nommé en 1799 ambassadeur de la République française à La Haye, puis sénateur de l'Empire en 1805. En 1814, il rejoint la cause royaliste et devient grand référendaire de la Chambre des Pairs sous la Restauration. Sémonville conserve cette fonction jusqu'en 1834 et se retire de la vie politique… |
Modifier
Napoléon Ier
|
Modifier
Charles Théveneau de Morande
|
Modifier
Massacre de la Glacière
|
Modifier
Naufrage du Droits de l'Homme
|
Modifier
Jean Chanorier
|
Modifier
Jean-Baptiste Bernard de Vaublanc
|
Advertisement
3 551
pages
Aigles et Lys:Sélection/Révolution française
Advertisement