Ce texte est considéré comme une recommandation dans Aigles et Lys. Il décrit les exigences dont le principe est accepté par un grand nombre d'Aigles-et-Lyséens. |
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Ce petit guide est destiné à répertorier les principales conventions filmographiques mises au point par le Projet:Cinéma et que nous essayons de respecter sur la Aigles et Lys francophone, afin d’assurer dans ce domaine une certaine cohérence entre les articles. Le respect de ces règles n’est pas obligatoire et vous êtes libre de ne pas en tenir compte. Cependant d’autres contributeurs sont également libres de modifier la mise en forme de votre texte pour le rendre conforme aux présentes recommandations.
Des gabarits, définissant la syntaxe et l'ordre des rubriques, sont disponibles sur ces sous-pages : Présentation des films et Présentation d'une biographie.
Titre d'un film[]
Choix du titre[]
Le titre de l'article doit respecter les conventions sur les titres. Si plusieurs titres sont possibles, le plus courant doit être utilisé, par application du principe de moindre surprise. Les autres titres possibles sont évidemment rappelés dès le début de l’article, et peuvent faire l’objet de redirections.
Dans le cas des films, il existe principalement trois possibilités : le titre original, le titre francophone européen et le titre francophone québécois.
- Règle principale : selon le principe précédent, le titre de l'article est le titre francophone européen (ou par simplification « français »)[1].
- Exemples : le titre québécois Trouver Nemo redirige vers Le Monde de Nemo ; le titre original The Shop Around the Corner redirige vers Rendez-vous.
- Les films québécois conservent leur titre francophone original, ainsi que leurs conventions typographiques (voir ci-dessous). Dans le cas où un film est exploité en Europe sous son titre original, c'est ce titre original qui sert à nommer l'article, même si une traduction francophone est exploitée au Québec.
- Exemple : le titre québécois Clanches! redirige vers Speed (film)
Titres doubles[]
- Choix du titre de l'article
- Si le titre est suivi d'un sous-titre précédé de la conjonction « ou »[2], seul le titre principal est retenu, sauf en cas d'homonymie (cf. #Titres homonymes). En revanche, le sous-titre peut-être inclus dans les liens internes par l'usage de la barre verticale (|).
Exemples : ''[[Le Tracassin|Le Tracassin ou les Plaisirs de la ville]]'' donne Le Tracassin ou les Plaisirs de la ville ;
Ludwig ou le Crépuscule des dieux (homonymie possible).
- Note : si le sous-titre commence par un article défini, cet article prend exceptionnellement une minuscule initiale[3].
- Si le titre est composé de deux titres juxtaposés, séparés notamment par un tiret ou deux points, les conventions typographiques s'appliquent à chaque partie, les traitant comme des entités indépendantes (cf. Conventions typographiques). Cette forme est directement héritée du cinéma américain, contrairement à la langue française qui lui préfère par tradition la forme « sous-titre » (cf. paragraphe précédent). La graphie majoritaire constatée utilisant les deux-points plutôt que le tiret, une uniformisation en ce sens s'est installée sur Aigles et Lys.
Exemple : Pirates des Caraïbes : La Malédiction du Black Pearl[4].
- Exceptions
Si le titre est de forme XXXX, le film (la seconde partie désignant la nature de l’œuvre[5]), les deux parties sont séparées par une virgule, la deuxième s’écrivant en minuscules.
Exemples : Les Simpson, le film ; Star Wars, épisode VI : Le Retour du Jedi[6] .
- Principe de non-cumul
- Si le titre double résulte de la juxtaposition du titre original et de sa traduction française[7] – que ce soit directement ou avec un tiret, deux points ou une virgule – c'est le seul titre sous lequel le film a été exploité lors de sa sortie qui fait office de titre principal (généralement le titre français), éventuellement précisé en cas d'homonymie.
Exemples : La Nuit des masques et non Halloween : La Nuit des Masques ;
La Monstrueuse Parade et non Freaks, la monstrueuse parade ;
Le Pacte et non Hellraiser : Le Pacte.
- Si le titre double résulte de la juxtaposition du titre principal et d'un sous-titre, seul le titre principal est retenu[8], sauf en cas d'homonymie (cf. forme avec conjonction « ou » ci-dessus). En revanche, le titre complet peut être utilisé dans le corps de l'article et notamment l'introduction.
Exemples : Evil Dead 3 et non Evil Dead 3 : L'Armée des ténèbres ;
La Cage aux folles 3 et non La Cage aux folles 3 : « Elles » se marient.
Titres homonymes[]
- Si le film est homonyme avec — par exemple — un roman dont il est tiré, on singularise le film en précisant entre parenthèses le mot « film » (sans oublier l'espace avant la parenthèse). Exemple :
- Un amour de Swann pointe vers le livre,
- Un amour de Swann (film) pointe vers le film.
- En cas d'homonymies multiples, que ce soit entre plusieurs films, avec un roman dont ils sont tirés, une personne ou une œuvre déclinée sous plusieurs formes artistiques, il convient d'utiliser plusieurs critères de différenciation entre parenthèses, la syntaxe standard pour les films étant le mot « film » suivi de l'année de sortie. Exemple :
- Les Misérables pointe vers le roman de Victor Hugo, page sur laquelle sont éventuellement listées brièvement les adaptations cinématographiques, musicales ou télévisuelles suivantes ;
- Les Misérables (film, 1934) pointe vers le film réalisé par Raymond Bernard ;
- Les Misérables (film, 1958) pointe vers le film réalisé par Jean-Paul Le Chanois ;
- Les Misérables (film, 1982) pointe vers le film réalisé par Robert Hossein ;
- Les Misérables (feuilleton télévisé, 2000) pointe vers le téléfilm réalisé par Josée Dayan ;
- Les Misérables (comédie musicale) pointe vers la comédie musicale de Claude-Michel Schönberg et Alain Boublil ;
- enfin Les Misérables (homonymie) pointe vers la page d'homonymie répertoriant tous les articles homonymes ci-dessus (ainsi que d'autres non encore liés).
- À titre d'autre exemple, voir l'article d'homonymie sur Cléopâtre (film).
Lors de la saisie dans une filmographie (réalisateur ou acteur), l'usage de la barre verticale | (Alt Gr + 6 sous Windows, clavier français) permettra de différencier aisément le lien hypertexte et le libellé de présentation. La saisie ''[[Un amour de Swann (film)|Un amour de Swann]]'' donnera à l'écran : Un amour de Swann.
Il est même possible d'entrer ''[[Un amour de Swann (film)|]]'', et lors de la sauvegarde, A&L complètera lui-même la partie de droite en dupliquant celle de gauche mais ignorant les parenthèses et leur contenu.
Singularisation[]
Tout article singularisé de A&L, c'est-à-dire qui contient des parenthèses dans son titre, devrait permettre d'accéder facilement à l'article principal, c'est-à-dire sans parenthèse, afin d'expliquer la singularisation de l'article courant.
Le moyen le plus simple consiste à placer en tête de l'article le modèle {{homon|titre de l'article de référence}}.
Conventions typographiques[]
Le titre de l'article doit respecter les conventions typographiques en vigueur sur Aigles et Lys, notamment en ce qui concerne la délicate question des majuscules et de la ponctuation.
Les signes de ponctuation « ? », « ! », « : », « ; », « . », « ... » et « - » respectent des règles particulières d'espacement :
- Les titres en français — originaux ou traduits à l'exception des titres québécois (voir ci-dessous) — respectent les règles d'orthographe et de typographie françaises en vigueur sur Aigles et Lys : espaces avant et après les signes « ! », « ? », « : » et « ; ».
- Exemple : Allô Berlin ? Ici Paris !
- Les signes « . » et « ... » ne sont jamais précédés d'une espace, quelle que soit la langue. Ils sont en revanche suivis d’une espace, sauf dans les titres d'œuvres utilisant une graphie particulière[9].
- Exemple : Madame de...
- Le trait d'union « - » n'est ni précédé ni suivi d'une espace, quelle que soit la langue. Les tirets « — » (cadratin) et « – » (demi-cadratin) sont eux déconseillés dans les titres.
- Exemple : Beau-père
- L'usage de l'esperluette (&)[10] est réservé aux raisons sociales et aux marques commerciales[11]. Elle doit donc être remplacée dans les titres par « et » (pour un titre francophone), « and » (pour un titre anglophone), etc., et ce quelle que soit la graphie utilisée éventuellement lors de la distribution du film.
- Exemples :
- Kate et Léopold
- Fast and Furious
- Exemples :
- Les titres étrangers respectent leurs propres règles typographiques. Dans la majorité des cas, les signes « ! », « ? », « : » et « ; » ne sont jamais précédés d'une espace, sur le modèle anglo-saxon.
- Les titres québécois respectent les règles typographiques d'espacement[12] définies par l'Office québécois de la langue française, basées pour l'essentiel sur le modèle anglo-saxon sauf pour le signe « : »[13].
- Exemples :
- Clanches!
- Une grenade avec ça?
- Exemples :
Suites et chiffres[]
L'usage flottant des chiffres arabes ou romains et des lettres dans les titres pose un problème d'uniformisation de l'encyclopédie. Tout en rappelant que « la nature de l'ouvrage intervient dans le choix du procédé »[14], le Lexique des règles typographiques en usage à l'Imprimerie nationale préconise les règles suivantes[15] :
- Les chiffres de 0 à 9 sont écrits au long (en toutes lettres), de même que les adjectifs numéraux simples (jusqu'à seize, les dizaines, cent et mille)[16],[17],[18].
- Exemples :
- Les Trois Petits Cochons
- Les Douze Salopards
- Le Troisième Homme
- Numéro zéro
- Neuf garçons, un cœur
- Exemples :
- Au-delà, les nombres peuvent être écrits en chiffres arabes ou en toutes lettres, lorsqu'ils comprennent la conjonction « et » ou qu'ils commencent le titre[18].
- Exemples :
- Objectif 500 millions
- 1001 pattes[19]
- Exemples en lettres :
- Les Mille et Une Nuits ;
- Exemples :
- Les dates, années, tailles et degrés sont toujours en chiffres arabes[20]. Idem pour les heures, âges et pourcentages — ces trois catégories pouvant également être écrites en toutes lettres — ou les numéros d'ordre des armées, rues, arrondissements ou des notes, colonnes et pages d'ouvrages.
- Exemples :
- Nés en 68
- Cléo de 5 à 7
- Les demoiselles ont eu 25 ans
- La 317e Section
- Correspondant 17
- 37°2 le matin
- 588, rue Paradis
- Exemples en lettres :
- Deux heures moins le quart avant Jésus-Christ
- Trois heures dix pour Yuma
- Exemples :
- Les siècles et les numéros dynastiques, de manifestations ou de régimes politiques sont toujours en chiffres romains[21],[22].
- Exemples :
- Candide ou l'Optimisme du XXe siècle
- Exemples :
- Les suites (ou sequels) sont indiquées en chiffres arabes[23], sauf lorsqu'elles constituent — spécifiquement — les divisions d'un ensemble conçu dès son origine.
- Exemples :
- High School Musical 2
- Rambo 2 : La Mission
- Star Wars, épisode IV : Un nouvel espoir
- Twilight, chapitre I : Fascination
- Exemples :
Date d’un film[]
La date d'un film apparaissant dans l'en-tête de l'article et servant également à sa catégorisation doit être - sauf exception - celle de la sortie initiale du film, c'est-à-dire de sa première exposition au regard du public et de la critique : première, festival, exploitation, etc.
Parmi les différentes dates de la vie d'un film (comme celles du tournage), c'est celle qui est la moins sujette à caution.
Il est par contre recommandé de ne pas tenir compte des projections lors de marchés du film ni des projections de test-screening, car elles ne sont pas vraiment publiques.
Citer le titre d'un film dans un texte[]
Comme tous les titres d'œuvres, les titres de films sont toujours cités en italique (cf. Conventions typographiques).
- Selon le principe de moindre surprise énoncé ci-dessus, c'est le titre français wikifié (c'est-à-dire avec un lien interne) qui est utilisé. Exemple :
- Le dernier film avec Victor Sjöström est Les Fraises sauvages qui utilise beaucoup de flash-backs.
- Les Fraises sauvages se code : ''[[Les Fraises sauvages]]'', avec deux apostrophes simples de chaque côté et une paire de doubles-crochets pour le lien.
- La citation principale et le lien wiki se font sur le titre en français. Afin d'être plus précis, le titre original (également en italique) et l'année peuvent être cités entre parenthèses. Exemple :
- David Lynch est très connu parmi les cinéastes contemporains. Auteur d’Eraserhead (1976), Elephant man (The Elephant Man, 1980), Dune (1984), Blue Velvet (1986) et Sailor et Lula (Wild at Heart, 1990), David Lynch s'affirme comme un réalisateur en marge de la production classique.
- Cette précision est malvenue si les œuvres citées sont déjà entre parenthèses. Dans ce cas, insérez simplement l'année en omettant le titre original, ou bien utilisez des crochets pour les parenthèses imbriquées. Notez que la présence d'un lien bleu permettra au lecteur d'obtenir les détails de l'œuvre citée et vous affranchit d'avoir besoin de donner trop de détails. Exemples :
- David Lynch est très connu parmi les cinéastes contemporains et auteurs de nombreux films marquants (Eraserhead, 1976, Elephant man, 1980, Dune, 1984, Blue Velvet, 1986, Sailor et Lula , 1990), il s'affirme comme un réalisateur en marge de la production classique.
- David Lynch est très connu parmi les cinéastes contemporains et auteurs de nombreux films marquants (Eraserhead [1976], Elephant man [The Elephant Man, 1980], Dune [1984], Blue Velvet [1986], Sailor et Lula [Wild at heart, 1990]), il s'affirme comme un réalisateur en marge de la production classique.
- D'autres détails peuvent être nécessaires par rapport au propos, pour distinguer des ambiguïtés, préciser des œuvres peu connues qui n'ont pas d'article (lien bleu) : réalisateurs, pays, autres titres français, graphies originales non latines, titre international en anglais par lequel l'œuvre est plus connue... Dans ce cas, les phrases doivent être organisées d'une façon qui permette d'insérer ces éléments sans alourdir.
- Dans une liste de films (hors filmographies d'artiste, traitées ci-dessous), d'autres détails peuvent être ajoutés comme suit :
- Les Fraises sauvages (Smultronstället) d'Ingmar Bergman, Suède, 1957
- avec Victor Sjöström, Bibi Andersson.
- Sailor et Lula (Wild at Heart) de David Lynch, États-Unis, 1990
- avec Nicolas Cage, Laura Dern.
Filmographie[]
- Par convention, les filmographies sont établies par ordre chronologique.
- L'année en tête d'une entrée de filmographie fait l'objet d'un lien. Il est maintenant recommandé que ce lien vise la page dédiée à cette année au cinéma. L'année nnnn sera donc codée [[nnnn au cinéma|nnnn]], même si cet article n'existe pas encore.
- En cas d'entrées qui se suivent avec la même année, il est recommandé de répéter ces liens pour la lisibilité de la liste.
- Selon les conventions typographiques, les titres sont toujours indiqués en italique, les rôles en romain.
Acteur/actrice[]
- Année : Titre de Réalisateur : rôle ou personnage
- 1931 : Une heure près de toi (One Hour With You) de Ernst Lubitsch : André Bertier
- 1932 : dans l'ordre chronologique…
Voir par exemple : Maurice Chevalier (ci-avant), Michel Constantin. Si on veut pousser le détail très loin, on peut s'inspirer de Marilyn Monroe ou Gene Tierney.
Réalisateur/réalisatrice[]
- Année : Titre
- 1931 : Une heure près de toi (One Hour With You)
- 1932 : dans l'ordre chronologique…
Voir par exemple : Ernst Lubitsch (ci-avant), Frank Capra, François Truffaut. Ce dernier exemple montre que la filmographie ne devrait pas être le seul contenu de l'article.
Conseils importants et bonnes pratiques[]
Nombre de bases de données cinématographiques (plus ou moins fiables) sont disponibles sur l'Internet. Aigles et Lys n'a pas vocation à rivaliser avec celles-ci, de par sa démarche encyclopédique. Pensez donc toujours à privilégier l'aspect qualitatif des articles, notamment les synopsis et les biographies (mais attention au copyright : pas de copier-coller !), les commentaires, etc. par rapport aux données brutes. Les anecdotes (généralement regroupées dans la section Autour du film) doivent quant à elles être utilisées avec parcimonie et obligatoirement sourcées de manière fiable[24].
Privilégiez également les articles monographiques sur tous les sujets connexes au cinéma (courants, économie, histoire, techniques, etc.), et tout ce qui ne relève pas de l'actualité cinématographique, abondamment traitée par ailleurs.
Infoboxes[]
Les articles sur le cinéma utilisent principalement deux infoboxes : {{Infobox Cinéma (personnalité)}} et {{Infobox Cinéma (film)}}[25].
Si leur utilisation est recommandée, il ne faut pas perdre de vue qu'une infobox doit rester absolument synthétique : son objectif n'est pas de se substituer au développement des informations dans le corps du texte. Ainsi, l'infobox étant constituée de données principalement reprises de la fiche technique et de la distribution, elle ne peut être incluse que si ces deux rubriques sont déjà présentes dans l'article.
Tableaux[]
L'utilisation des tableaux doit être raisonnée et n'intervenir que lorsque ceux-ci incluent une fonction indisponible dans la syntaxe traditionnelle, comme le tri des données[26]. Ces outils ne doivent jamais être employés au détriment de la rédaction encyclopédique et de la lisibilité de l'article. De plus, leur syntaxe complexe a tendance à rendre la participation des autres contributions plus difficile et à surcharger inutilement le code de l'article, rendant son affichage plus lent. Pour plus d'informations sur la mise en page des articles, voir les gabarits biographies et films.
Ébauche ou pas ébauche ?[]
À partir de quelle quantité et qualité d'informations une ébauche devient-elle un article à part entière ? Réponse difficile à fournir, qui dépend de l'importance du film dans l'histoire du cinéma. Il est proposé qu'a minima, un article doit avoir en tête le bandeau {{ébauche cinéma}} tant qu'il n'a pas l'ensemble des éléments suivants :
- un synopsis, même réduit au pitch
- 5 éléments de fiche technique, hormis les titres, dont au moins les noms de réalisation et scénario
- les acteurs principaux
- un lien Voir aussi, de préférence externe.
Voir aussi[]
- Aigles et Lys:Citez vos sources
- Aigles et Lys:Conventions bibliographiques
- Aigles et Lys:Conventions typographiques
Notes et références[]
- ↑ En effet, le titre français est généralement utilisé dans tous les pays francophones européens (Belgique, France, Suisse, etc.), voire francophones africains, ce qui représente plus de 80 millions de personnes contre 8 millions de Québécois.
- ↑ Le « sous-titre » est une forme présente majoritairement dans la langue française. Également appelée « titre en deux parties » par le Lexique de l'Imprimerie nationale, elle ne concerne que les titres comprenant la conjonction « ou » et étant communément utilisés sous une forme abrégée. Exemple : Le Sicilien ou l’Amour peintre (appelé généralement Le Sicilien).
- ↑ Lexique des règles typographiques en usage à l’Imprimerie nationale, Imprimerie nationale, 1990, rééd. 2008 (ISBN 978-2-7433-0482-9), p.170
- ↑ Dans cet exemple, Pirates des Caraïbes est le nom générique de la série de films, La Malédiction du Black Pearl le titre spécifique désignant l'opus en particulier.
- ↑ Autres exemples : XXX, le dessin animé ; XXX, la série ; XXX, le jeu ; XXXX, épisode α ; etc.
- ↑ Le Retour du Jedi n'est pas un sous-titre mais, à l'origine, le titre de première exploitation encore usité comme spécifique. Il doit donc être mentionné.
- ↑ La forme « titre original + traduction française » est souvent un titre secondaire donné lors des sorties des opus suivants afin de rappeler la filiation avec le premier film.
- ↑ Dans le cas des œuvres anglophones, on constate que le titre principal est souvent l'élément commun entre les titres francophones européen et canadien, le sous-titre étant quant à lui généralement adapté en Europe et traduit littéralement au Canada. Exemple : The Lion King II: Simba's Pride est appelé Le Roi lion 2 : L'Honneur de la tribu en Europe et Le Roi lion 2 : La Fierté de Simba au Canada.
- ↑ Admissible selon les critères de Aigles et Lys, c'est-à-dire lorsque l'auteur a clairement explicité son choix.
- ↑ La ligature « & » est également appelée « et commercial »
- ↑ Lexique des règles typographiques en usage à l'Imprimerie nationale, p. 79.
- ↑ En revanche par souci de simplification, les règles sur les majuscules sont unifiées sur le modèle français, principalement basé par le LRTUIN et adopté par certains organismes (comme l'Université Laval) et publications québécoises, leur usage étant comme dans les autres pays francophones flottant.
- ↑ Ponctuation sur l'Office québécois de la langue française.
- ↑ « Si la tendance actuelle, accentuée par l'extension de la statistique et du langage informatique à tous les domaines, est d'employer de plus en plus les chiffres en tant qu'abréviations, on ne peut cependant pas la généraliser. » LRTUIN, op. cit., p. 122. De fait, la plupart des encyclopédies généralistes ou spécialisées dans le domaine du cinéma (Larousse, Bordas, etc.) privilégient les titres en toutes lettres lorsque le choix est possible.
- ↑ Ces règles, basées sur les œuvres littéraires, n'ont pas de caractère obligatoire mais reflètent les positions des organismes « officiels ». Elles priment cependant, selon les conventions typographiques de Aigles et Lys, sur les graphies utilisées par les différents supports (sauf exception) tels qu'affiches, DVD, dossiers de presse, etc., et qui peuvent varier pour un même titre d'un support à l'autre.
- ↑ LRTUIN, p. 126.
- ↑ Académie française
- ↑ 18,0 et 18,1 OQLF
- ↑ Cette graphie, acceptable typographiquement, a toutefois l'inconvénient de laisser la prononciation ambigüe (« Mille et une pattes », « Mille une pattes » voire « Mille un pattes »...) par rapport à l'exemple des Mille et Une nuits.
- ↑ LRTUIN, op. cit., p. 123. Les titres seront néanmoins classés à la lettre et non au chiffre correspondant. Ex. : 1900 est classé à M.
- ↑ LRTUIN, op. cit., p. 125.
- ↑ Université Laval-Québec
- ↑ Le chiffre est ici considéré comme ayant fonction de numérotage comme pour les opus en musique. Cf. LRTUIN, op. cit., p. 123.
- ↑ Pour mémoire : IMDb, tout comme Aigles et Lys, n'est pas considéré comme une source fiable de par sa nature contributive.
- ↑ Voir aussi Catégorie:Modèle infobox cinéma.
- ↑ Ils sont donc à proscrire des sections Fiche technique, Distribution, Filmographies, etc. où les listes à puces constituent le « standard ».